Morte Vanité
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Morte Vanité
La nuit commençait a descendre sur les ruelles engorgées de L'East End, qui malgré l'heure grouillaient de monde. Les cris de joies et la musique qui provenaient de la Chimère Ecorchée, la petite auberge non loin d'ici se noyaient sous les sabots des chevaux tirant les calèches.
Les riches appartements surplombaient la rue, tandis que la haute société festoyait à la lueur des lampes à gaz. En ce soir d'automne, l'auberge abritait une réception d'un genre particulier, car oui c'était le soir d'Halloween.
Une réception où il était question de fantômes et de fées.
Une réception de contes cruels et de vœux exaucés.
A l'intérieur l'ambiance était aux festivités, les gens dansaient et chantaient, des couples dégustaient de bons petits plats assis à leur tables. Tandis que certains buvaient un coup au bar. Guinevra faisait partie de l'un d'eux, la blondinette était assise toute seule a siroter un cocktail de fruit, un livre sous sa main, mais les odeurs d'alcools commençaient à la déranger un tantinet.
Elle se tourna alors pour éviter certains regards indiscrets, mais d'un geste maladroit renversa une chope de bière posée à sa droite. Elle s'empressa alors de s'excuser auprès de la personne et commença à éponger avec un mouchoir qu'elle avait promptement attrapé dans son sac.
Guinevra : Ho navrée vraiment .... qu'elle idiote je fais ...
Homme : Ne vous en faite pas, ce n'est pas si grave. Dit-il d'une voix rassurante.
La jeune fille releva alors la tête et vit un grand jeune homme brun, les cheveux en batailles lui sourire.
Homme : Je me présente, Amaruko Susuki. Et tu es ?
Guinevra : Ho quelle impolitesse de ma part, je suis Guinevra Matthew, Monsieur. Fit-elle tout en écrivant dans son livre.
Amaruko : Puis je savoir se que tu notes, si ce n'est pas indiscret bien sûr.
Guinevra : Et bien si Monsieur veut tout savoir, j'ai quelques soucis de mémoire alors j'écris pour me rappeler.
Amaruko : Ne m'appelles pas Monsieur voyons, c'est beaucoup trop formel.
Guinevra : Amaru ! .... Ce n'est pas trop formel ?
Amaruko : C'est mignon, mais c'est parfait. Répondit le jeune homme tout en lui tendant une main amicale.
Lady Fairfax, une femme d'âge avancé et maitresse de ces lieux apparut sur la scène qui se trouvait au fond de la pièce.
Tandis qu'entre temps, les deux jeunes gens s'étaient installés à une table joliment dressée où luisait la porcelaine et l'argenterie. L'odeur alléchante de mets savoureux s'échappait des cuisines, alors que des invitées gloussaient d'impatience dans leurs toilettes apprêtées.
Un dernier coup d'œil dans la rue et une jeune femme, une serveuse sans doute ferma aussitôt les rideaux qui habillaient les fenêtres. Car ce qui se tramerait dans l'ombre vespérale, ne devait pas attirer la curiosité. Pas même celle des chats du quartier.
Lady Fairfax : Tout d'abord laissez moi vous souhaiter la bienvenue, Mrs Jackie sera a votre service durant toute la soirée alors n'hésitez pas à la solliciter si besoin. Bien nous pouvons donc commencer.
Elle s'approcha alors des spectateurs.
En cette nuit d'Halloween, une étrange histoire vous sera comptée, celle d'une terrifiante créature. Est-elle réelle, est-elle illusion, rêve ou cauchemars. C'est à vous de voir.
Faîte place a l'horreur.
Les acteurs et actrices commencèrent à monter sur les planches, dans des accoutrements pour le moins étranges. La musique entrainante était tout d'un coup devenu sinistre, ce qui allait de pair avec la pièce jouée devant les spectateurs terrifiés.
Sur scène ce jouait des scènes terribles, la mort, la terreur, l'effrois, voila se qui était représenté. Un tueur, un homme, un animal mais qui était il ?
La serveuse qui était venu apporter deux plats aux deux amis, elle engagea alors la discussion.
Mrs Jackie: C'est si mignon de voir un si jeune couple manger ensemble.
Guinevra tourna alors la tête , gênée.
Amaruko : Ho non non, nous nous sommes rencontrer il y a quelques minutes.
Mrs Jackie: Ho je suis navrée, je ne voulez vous mettre mal à l'aise.
Guinevra : C'est ... Ce ne rien....
Mrs Jackie: Alors le spectacle vous plait ?
Guinevra: Ho oui et les acteurs jouent drôlement bien.
Mrs Jackie: Si ils sont réellement des acteurs ...
Amaruko : Que voulez vous dire ?
Mrs Jacky : Vous n'êtes donc pas au courant. Les rumeurs voila sur quoi ce base toute les histoires jouées ici, dont celle ci, mais ces rumeurs sont elles réelles ou complètement absurdes. Parfois je me le demande... Bon hé bien je dois retourner travailler, j'espère avoir le plaisir de vous revoir.
Elle parti donc en direction d'une autre table.
Amaruko : Ce lieu est plein de mystères, ça me plairait de les percer.
L'inquiétude envahit le visage de Guinevra.
Guinevra : Et moi qui voulait passer des vacances en paix....
Les riches appartements surplombaient la rue, tandis que la haute société festoyait à la lueur des lampes à gaz. En ce soir d'automne, l'auberge abritait une réception d'un genre particulier, car oui c'était le soir d'Halloween.
Une réception où il était question de fantômes et de fées.
Une réception de contes cruels et de vœux exaucés.
A l'intérieur l'ambiance était aux festivités, les gens dansaient et chantaient, des couples dégustaient de bons petits plats assis à leur tables. Tandis que certains buvaient un coup au bar. Guinevra faisait partie de l'un d'eux, la blondinette était assise toute seule a siroter un cocktail de fruit, un livre sous sa main, mais les odeurs d'alcools commençaient à la déranger un tantinet.
Elle se tourna alors pour éviter certains regards indiscrets, mais d'un geste maladroit renversa une chope de bière posée à sa droite. Elle s'empressa alors de s'excuser auprès de la personne et commença à éponger avec un mouchoir qu'elle avait promptement attrapé dans son sac.
Guinevra : Ho navrée vraiment .... qu'elle idiote je fais ...
Homme : Ne vous en faite pas, ce n'est pas si grave. Dit-il d'une voix rassurante.
La jeune fille releva alors la tête et vit un grand jeune homme brun, les cheveux en batailles lui sourire.
Homme : Je me présente, Amaruko Susuki. Et tu es ?
Guinevra : Ho quelle impolitesse de ma part, je suis Guinevra Matthew, Monsieur. Fit-elle tout en écrivant dans son livre.
Amaruko : Puis je savoir se que tu notes, si ce n'est pas indiscret bien sûr.
Guinevra : Et bien si Monsieur veut tout savoir, j'ai quelques soucis de mémoire alors j'écris pour me rappeler.
Amaruko : Ne m'appelles pas Monsieur voyons, c'est beaucoup trop formel.
Guinevra : Amaru ! .... Ce n'est pas trop formel ?
Amaruko : C'est mignon, mais c'est parfait. Répondit le jeune homme tout en lui tendant une main amicale.
Lady Fairfax, une femme d'âge avancé et maitresse de ces lieux apparut sur la scène qui se trouvait au fond de la pièce.
Tandis qu'entre temps, les deux jeunes gens s'étaient installés à une table joliment dressée où luisait la porcelaine et l'argenterie. L'odeur alléchante de mets savoureux s'échappait des cuisines, alors que des invitées gloussaient d'impatience dans leurs toilettes apprêtées.
Un dernier coup d'œil dans la rue et une jeune femme, une serveuse sans doute ferma aussitôt les rideaux qui habillaient les fenêtres. Car ce qui se tramerait dans l'ombre vespérale, ne devait pas attirer la curiosité. Pas même celle des chats du quartier.
Lady Fairfax : Tout d'abord laissez moi vous souhaiter la bienvenue, Mrs Jackie sera a votre service durant toute la soirée alors n'hésitez pas à la solliciter si besoin. Bien nous pouvons donc commencer.
Elle s'approcha alors des spectateurs.
En cette nuit d'Halloween, une étrange histoire vous sera comptée, celle d'une terrifiante créature. Est-elle réelle, est-elle illusion, rêve ou cauchemars. C'est à vous de voir.
Faîte place a l'horreur.
Les acteurs et actrices commencèrent à monter sur les planches, dans des accoutrements pour le moins étranges. La musique entrainante était tout d'un coup devenu sinistre, ce qui allait de pair avec la pièce jouée devant les spectateurs terrifiés.
Sur scène ce jouait des scènes terribles, la mort, la terreur, l'effrois, voila se qui était représenté. Un tueur, un homme, un animal mais qui était il ?
La serveuse qui était venu apporter deux plats aux deux amis, elle engagea alors la discussion.
Mrs Jackie: C'est si mignon de voir un si jeune couple manger ensemble.
Guinevra tourna alors la tête , gênée.
Amaruko : Ho non non, nous nous sommes rencontrer il y a quelques minutes.
Mrs Jackie: Ho je suis navrée, je ne voulez vous mettre mal à l'aise.
Guinevra : C'est ... Ce ne rien....
Mrs Jackie: Alors le spectacle vous plait ?
Guinevra: Ho oui et les acteurs jouent drôlement bien.
Mrs Jackie: Si ils sont réellement des acteurs ...
Amaruko : Que voulez vous dire ?
Mrs Jacky : Vous n'êtes donc pas au courant. Les rumeurs voila sur quoi ce base toute les histoires jouées ici, dont celle ci, mais ces rumeurs sont elles réelles ou complètement absurdes. Parfois je me le demande... Bon hé bien je dois retourner travailler, j'espère avoir le plaisir de vous revoir.
Elle parti donc en direction d'une autre table.
Amaruko : Ce lieu est plein de mystères, ça me plairait de les percer.
L'inquiétude envahit le visage de Guinevra.
Guinevra : Et moi qui voulait passer des vacances en paix....
Mrs-Fatale- Cruella de Vil
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Re: Morte Vanité
La journée avait commencé durement pour Amaruko et son équipage. A l’approche d’une certaine île la pluie s’était abattue sur leur barque. Ils avaient alors atteint tant bien que mal le port et s’étaient séparés. Séparés car ils voulaient en savoir plus sur l’île sur laquelle ils venaient d’échouer. La pluie battante ne cessait de tomber sur les pavés déjà détrempés. Les gens vêtus de noir passaient tels des fantômes. La noirceur de cette ville avait tout de suite frappé le jeune capitaine. Les maisons, les rues et même les gens : tout transpirait la tristesse. Amaruko qui était parti seul de son côté, jeter un œil aux alentours avait déambulé en zigzaguant à travers les flaques d’eau. Lorsqu’une nième calèche l’avait éclaboussé il avait décidé d’entrer dans une auberge de laquelle la lumière et la chaleur suintait. Il était alors allé s’assoir à une table, avait commandé une chope de bière puis écouté le discours de cette Lady Fairfax. La scène macabre avait alors débuté devant ses yeux ébahis. L’histoire de cette personne qui tuait sans distinction les hommes de la ville avec une extrême violence. Une ombre furtive qui terrorisait les gens. D’après les rumeurs il s’agissait plus d’un monstre que d’un être humain. Les rares qui avaient assisté à la scène sans pour autant mourir parlaient d’un démon rouge comme le sang de ses victimes. Le rire qui résonnait durant et après le carnage glaçait les témoins. Les victimes étaient tuées avec une immense cruauté, plus que des meurtres il s’agissait d’avantage de carnages. A la fin de la pièce, Amaruko avait ensuite engagé la discussion avec cette jeune femme un peu étrange. A présent il se demandait comment il allait retrouver Nupsos et Isgny pour initier leur enquête.
Après avoir salué la jeune Guinerva, Amaruko se leva, jeta un dernier regard à l’intérieur puis sorti sous la pluie toujours aussi omniprésente. Des gouttières des maisons et des bas-côtés dégoulinait une impressionnante quantité d’eau. Il croisa un homme au long manteau sombre, au chapeau haut de forme et au regard fuyant. Il le suivit un instant des yeux, sa démarche pressante était différente de celle des autres, quelque chose clochait. Maintenant qu’il connaissait les rumeurs tout le monde lui paraissait suspect. Il avançait la tête perdue dans ses pensées, transit par le froid et la pluie. Impossible de mettre la main sur ces deux énergumènes. Il se dirigea alors vers leur point de rencontre en cas de problèmes de ce genre. L’énorme tour à l’horloge qui trônait au centre de la ville, indiquant à qui le voulait le temps qui passait. Une notion qui ne semblait pas avoir réellement d’impact dans cette étrange cité. Il partit dans sa direction sans réellement prêter attention aux rues qu’il arpentait. Cela n’avait sans doute pas vraiment d’importance pour le moment, mais c’était surtout parce qu’il ne pouvait se détacher des meurtres sanglants qui prenaient place dans ces mêmes rues et auxquels personne n’avait réellement porté son attention. La nature humaine et sa capacité à ignorer ce qui la dérangeait l’étonnerait sans doute toujours.
Il arriva assez rapidement au pied de la tour. Il commença alors à prendre son mal en patience, abrité sous le parapet de la tour. Il observa la vie de cette bien étrange ville, les passants à l’air maussade et au pas pressant. Tous avaient les yeux rivés au sol, avançant tête baissée à la fin de cette journée de travail. Ils se faisaient rares, sans doute l’heure était tardive mais l’obscurité omniprésente due à la pluie empêchait le capitaine d’en avoir le cœur net. Comme pour confirmer sa pensée la cloche sonna neuf coups, déjà. Il leva la tête comme alerté par un pressentiment et vit arriver en courant deux silhouettes familières. « Enfin » pensa-t-il, « l’enquête peut commencer ».
Après avoir salué la jeune Guinerva, Amaruko se leva, jeta un dernier regard à l’intérieur puis sorti sous la pluie toujours aussi omniprésente. Des gouttières des maisons et des bas-côtés dégoulinait une impressionnante quantité d’eau. Il croisa un homme au long manteau sombre, au chapeau haut de forme et au regard fuyant. Il le suivit un instant des yeux, sa démarche pressante était différente de celle des autres, quelque chose clochait. Maintenant qu’il connaissait les rumeurs tout le monde lui paraissait suspect. Il avançait la tête perdue dans ses pensées, transit par le froid et la pluie. Impossible de mettre la main sur ces deux énergumènes. Il se dirigea alors vers leur point de rencontre en cas de problèmes de ce genre. L’énorme tour à l’horloge qui trônait au centre de la ville, indiquant à qui le voulait le temps qui passait. Une notion qui ne semblait pas avoir réellement d’impact dans cette étrange cité. Il partit dans sa direction sans réellement prêter attention aux rues qu’il arpentait. Cela n’avait sans doute pas vraiment d’importance pour le moment, mais c’était surtout parce qu’il ne pouvait se détacher des meurtres sanglants qui prenaient place dans ces mêmes rues et auxquels personne n’avait réellement porté son attention. La nature humaine et sa capacité à ignorer ce qui la dérangeait l’étonnerait sans doute toujours.
Il arriva assez rapidement au pied de la tour. Il commença alors à prendre son mal en patience, abrité sous le parapet de la tour. Il observa la vie de cette bien étrange ville, les passants à l’air maussade et au pas pressant. Tous avaient les yeux rivés au sol, avançant tête baissée à la fin de cette journée de travail. Ils se faisaient rares, sans doute l’heure était tardive mais l’obscurité omniprésente due à la pluie empêchait le capitaine d’en avoir le cœur net. Comme pour confirmer sa pensée la cloche sonna neuf coups, déjà. Il leva la tête comme alerté par un pressentiment et vit arriver en courant deux silhouettes familières. « Enfin » pensa-t-il, « l’enquête peut commencer ».
Monkey D Kurama- Flemmard émérite
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Re: Morte Vanité
Ayant salué Amaruko, Guinevra se leva encore chamboulée par la pièce de théatre qu'elle venait de voir.
Zigzagant entre les tables, la jeune femme passa près du comptoir et jetta un rapide coup d'oeil derrière elle.
Hormis Mrs Jacky qui débarassait les dernières assiettes, un silence apaisant regnait.
Elle posa alors sa main, la faisant glisser sur la rampe d'escalier.
Epuisée de cette soirée, elle voulait au plus vite rejoindre sa chambre et se laissait tomber sur le lit moelleux.
Elle poussa doucement la porte de cette dernière en essayant de faire le moins de bruit possible, pour ne pas reveiller ses deux amies.
Elle avançait a tâton dans l'obscurité de cette pièce. Seulement c'était sans compter l'ouïe très fine de la jeune fée, qui alluma sa lampe de chévet.
Clochette : Hé bien alors, c'est a cette heure ci que tu rentres ? Tu sais que Cora commençait a s'impatienter.
Guinevra : Je ne suis plus une enfant, je peux sortir comme il me plait.
Clochette eu un moment de réflexion, puis s'assit en tailleur.
Clochette : Alors raconte c'était comment ?!
Guinevra : C'était magique, j'ai bu un cocktail absolument délicieux, et j'ai vu une pièce de théâtre a faire frémir le plus courageux des soldats... Oh et j'ai parlé avec un garçon.
La jeune fille était stupéfaite, Guinevra la fille la plus timide du monde avait adressé la parole a un homme.
Clochette : Et alors raconte, je veux tout savoir !
Guinevra : Nous avons juste discuté, rien d'autre tu sais.
Clochette : Mais comment il est !
Guinevra : Très grand, avec les cheveux en batailles qui lui donne un air rebelle mais sérieux a la fois.
Clochette : Ho je craque !
Guinevra : Bon il va falloir dormir maintenant.
La jeune navigatrice se plaça derrière la paravent pour enlever ses affaires et enfiler un pyjama. Elle s'installa alors confortablement sous sa couette, la tête enfoncée dans son oreiller.
Guinevra : Tu sais il y a des rumeurs qui circulent sur une créature qui rôde en ville. Cora voudra surement en savoir plus.
Clochette : C'est super, un peu d'aventure ne fait jamais de mal. D'ailleurs demain nous serons lundi , ce qui signifie perte de mémoire pour toi.
Guinevra : Ne t'en fais pas, j'ai tout écrit. Bonne nuit.
Clochette : Bonne nuit l'intello.
Le rayons du soleil venaient de traverser les rideaux, une nouvelle semaine commençait tandis que pour Guinevra c'était une nouvelle vie, encore et toujours. Comme a son habitude elle avait soigneusement déposé un livre sur sa table de chevet, une noté posé dessus "Lis moi". Ce que la jeune femme fit, comme tout les lundi matin.
Cora, qui n'était pas accompagnée de Lotie, cette dernière étant resté au palais, avait decidé de prendre quelques jours de vacances avec ses deux acolytes. Mais c'était sans compter l'histoire que lui avait conté Clochette au réveil, cette histoire de "créature" l'a faisait jubiler. Elle voulait savoir.
Cora : Quelle douce semaine allons nous passer.
Zigzagant entre les tables, la jeune femme passa près du comptoir et jetta un rapide coup d'oeil derrière elle.
Hormis Mrs Jacky qui débarassait les dernières assiettes, un silence apaisant regnait.
Elle posa alors sa main, la faisant glisser sur la rampe d'escalier.
Epuisée de cette soirée, elle voulait au plus vite rejoindre sa chambre et se laissait tomber sur le lit moelleux.
Elle poussa doucement la porte de cette dernière en essayant de faire le moins de bruit possible, pour ne pas reveiller ses deux amies.
Elle avançait a tâton dans l'obscurité de cette pièce. Seulement c'était sans compter l'ouïe très fine de la jeune fée, qui alluma sa lampe de chévet.
Clochette : Hé bien alors, c'est a cette heure ci que tu rentres ? Tu sais que Cora commençait a s'impatienter.
Guinevra : Je ne suis plus une enfant, je peux sortir comme il me plait.
Clochette eu un moment de réflexion, puis s'assit en tailleur.
Clochette : Alors raconte c'était comment ?!
Guinevra : C'était magique, j'ai bu un cocktail absolument délicieux, et j'ai vu une pièce de théâtre a faire frémir le plus courageux des soldats... Oh et j'ai parlé avec un garçon.
La jeune fille était stupéfaite, Guinevra la fille la plus timide du monde avait adressé la parole a un homme.
Clochette : Et alors raconte, je veux tout savoir !
Guinevra : Nous avons juste discuté, rien d'autre tu sais.
Clochette : Mais comment il est !
Guinevra : Très grand, avec les cheveux en batailles qui lui donne un air rebelle mais sérieux a la fois.
Clochette : Ho je craque !
Guinevra : Bon il va falloir dormir maintenant.
La jeune navigatrice se plaça derrière la paravent pour enlever ses affaires et enfiler un pyjama. Elle s'installa alors confortablement sous sa couette, la tête enfoncée dans son oreiller.
Guinevra : Tu sais il y a des rumeurs qui circulent sur une créature qui rôde en ville. Cora voudra surement en savoir plus.
Clochette : C'est super, un peu d'aventure ne fait jamais de mal. D'ailleurs demain nous serons lundi , ce qui signifie perte de mémoire pour toi.
Guinevra : Ne t'en fais pas, j'ai tout écrit. Bonne nuit.
Clochette : Bonne nuit l'intello.
Le rayons du soleil venaient de traverser les rideaux, une nouvelle semaine commençait tandis que pour Guinevra c'était une nouvelle vie, encore et toujours. Comme a son habitude elle avait soigneusement déposé un livre sur sa table de chevet, une noté posé dessus "Lis moi". Ce que la jeune femme fit, comme tout les lundi matin.
Cora, qui n'était pas accompagnée de Lotie, cette dernière étant resté au palais, avait decidé de prendre quelques jours de vacances avec ses deux acolytes. Mais c'était sans compter l'histoire que lui avait conté Clochette au réveil, cette histoire de "créature" l'a faisait jubiler. Elle voulait savoir.
Cora : Quelle douce semaine allons nous passer.
Mrs-Fatale- Cruella de Vil
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Re: Morte Vanité
Amaruko, Nupsos et Isgny étaient toujours au pied de la tour à l’horloge et discutaient. Ils devaient prendre une décision concernant le monstre qui rodait en ville.
- Alors vous en pensez quoi ? Commença Amaruko après avoir expliqué la situation à ses compagnons.
- Tu veux vraiment qu’on parte à la recherche de ce meurtrier ? Répondit Nupsos. Après tout cela ne nous concerne pas vraiment.
- J’y tiens oui, ça m’a l’air assez exaltant comme histoire ! Continua joyeusement le capitaine.
- Personnellement ça ne me dérange pas. Exposa Isgny. Si vous y tenez on peut s’en charger.
- Alors Nupsos, tu es partant ? Questionna Amaruko.
- Ouais ouais ça va, allons-y. Conclus la vieille méduse dans un soupir.
Les trois compagnons observèrent alors les alentours. Toute âme avait quitté la ville. Les bruits des passants, déjà peu présents, faisaient maintenant place à un silence redoutable. Seule la pluie battante continuait de rappeler que les aiguilles du temps tournaient encore. Ils ne savaient pas vraiment par où commencer, la ville était immense et ils ne la connaissaient pas du tout. Amaruko songea un instant à retourner au bar, mais il se doutait qu’on ne lui servirait que des fables. Ils devaient trouver une personne digne d’intérêt, qui avait assisté à l’un des meurtres ou alors qui avait une idée du meurtrier. Pour cela ils allaient devoir se plonger dans les bas-fonds de la ville, là où nulle lumière ne perçait à travers les nuages.
- Que diriez-vous de commencer par le port ? Proposa Isgny. Les rats de la pire espèce ont souvent tendance à s’y retrouver…
Nupsos et Amaruko avaient toute confiance en Isny lorsqu’il s’agissait de trouver les bonnes personnes, dignes d’un macabre intérêt, ils lui emboitèrent donc le pas avec confiance. Afin de se protéger de la pluie le groupe rasait les murs, restant à l’abri sous les parapets des sombres bâtisses qui composaient la ville. Le vent se leva alors brusquement emportant avec lui un haut de forme, Amaruko leva un sourcil, une impression de déjà vu l’avait saisi avec ce chapeau. Il le regarda virevolter dans le vent.
- Hey Amaruko, tu viens ? Lança Nupsos.
- Je… oui j’arrive. Répondit le capitaine la voix dans le vague, en proie à un terrible pressentiment.
Il rejoignit d’un pas pressant et mal assuré les deux autres hommes. Ils continuèrent en direction du port. Seule direction qu’ils connaissaient étant arrivé en barque. Ils empruntèrent de sombres ruelles afin de trouver l’un de ces bistros où les malfrats avaient pour habitude de se retrouver. Ils finirent par trouver l’un d’entre eux, une bicoque noire, parmi tant d’autres, avec une petite lanterne pendue au-dessus de la porte. Le vent la faisait bouger et le petit écriteau sur lequel était indiqué le nom voyait des ombres passé par intermittence. Amaruko parvint à voir le nom, « Au rat perdu ». Un nom qui reflétait sans doute la clientèle. Isgny passa en tête et poussa la porte d’où s’échappait des chants emprunts d’alcool. La lumière fut éblouissante dans un premier temps mais après s’être habitué Amaruko pu distinguer l’intérieur de la bâtisse. La musique était assourdissante, un homme jouait du piano dans un coin, un vieil air de jazz. Les hommes riaient à gorges déployés tous plus saouls les uns que les autres. Le capitaine remarqua aussi les femmes à moitié nues qui offraient leur service. Il fronça les sourcils avec un air de dégoût puis suivit Isgny. Celui-ci se dirigea vers le bar et commença à parler avec le barman.
- Bonsoir tavernier, avez-vous entendu parler des meurtres qui sévissent dans cette ville ? Questionna Isgny.
L’homme leva les yeux vers l’homme chat quelques secondes puis reparti à sa besogne, l’air de rien. Isgny soupira et repris la parole.
- Nous aimerions trois bières et des renseignements tavernier, 100 berrys suffiront-ils ?
- Très bien monsieur, votre commande arrive tout de suite. Répondit l’homme, cette fois beaucoup plus bavard.
Une fois que leurs boissons étaient servies Isgny réitéra sa question. Ils ne parvinrent pas à apprendre grand-chose d’intéressant. Les meurtres touchaient seulement des hommes, c’était la première et la seule constatation qu’ils pouvaient faire pour l’instant. Ils ressortirent avec un goût amer et se décidèrent alors à partir à la recherche d’un endroit où passer la nuit. Alors qu’ils se rapprochaient de la monstrueuse horloge ils entendirent un cri horrible. Dans le silence régnant dans la ville il parut encore plus désespéré.
- Le cri d’un mort… Murmura Isgny.
Ils partirent tous les trois en courant en direction du hurlement. Ils s’engouffrèrent en quatrième vitesse dans les ruelles de la ville. Arrivé à un c*l de sac ils s’arrêtèrent net. Un corps était étendu par terre, déchiré tandis que du sang se rependait sur les pavés. Un homme au long manteau sombre avec un regard semblant tenter de fuir la mort elle-même. Amaruko leva la tête et vit une silhouette courir sur les toits en poussant un rire de fou. Les trois compères baissèrent les yeux vers le cadavre. Nupsos n’avait pas besoin de confirmer la mort, la scène était bien assez explicite…
- Alors vous en pensez quoi ? Commença Amaruko après avoir expliqué la situation à ses compagnons.
- Tu veux vraiment qu’on parte à la recherche de ce meurtrier ? Répondit Nupsos. Après tout cela ne nous concerne pas vraiment.
- J’y tiens oui, ça m’a l’air assez exaltant comme histoire ! Continua joyeusement le capitaine.
- Personnellement ça ne me dérange pas. Exposa Isgny. Si vous y tenez on peut s’en charger.
- Alors Nupsos, tu es partant ? Questionna Amaruko.
- Ouais ouais ça va, allons-y. Conclus la vieille méduse dans un soupir.
Les trois compagnons observèrent alors les alentours. Toute âme avait quitté la ville. Les bruits des passants, déjà peu présents, faisaient maintenant place à un silence redoutable. Seule la pluie battante continuait de rappeler que les aiguilles du temps tournaient encore. Ils ne savaient pas vraiment par où commencer, la ville était immense et ils ne la connaissaient pas du tout. Amaruko songea un instant à retourner au bar, mais il se doutait qu’on ne lui servirait que des fables. Ils devaient trouver une personne digne d’intérêt, qui avait assisté à l’un des meurtres ou alors qui avait une idée du meurtrier. Pour cela ils allaient devoir se plonger dans les bas-fonds de la ville, là où nulle lumière ne perçait à travers les nuages.
- Que diriez-vous de commencer par le port ? Proposa Isgny. Les rats de la pire espèce ont souvent tendance à s’y retrouver…
Nupsos et Amaruko avaient toute confiance en Isny lorsqu’il s’agissait de trouver les bonnes personnes, dignes d’un macabre intérêt, ils lui emboitèrent donc le pas avec confiance. Afin de se protéger de la pluie le groupe rasait les murs, restant à l’abri sous les parapets des sombres bâtisses qui composaient la ville. Le vent se leva alors brusquement emportant avec lui un haut de forme, Amaruko leva un sourcil, une impression de déjà vu l’avait saisi avec ce chapeau. Il le regarda virevolter dans le vent.
- Hey Amaruko, tu viens ? Lança Nupsos.
- Je… oui j’arrive. Répondit le capitaine la voix dans le vague, en proie à un terrible pressentiment.
Il rejoignit d’un pas pressant et mal assuré les deux autres hommes. Ils continuèrent en direction du port. Seule direction qu’ils connaissaient étant arrivé en barque. Ils empruntèrent de sombres ruelles afin de trouver l’un de ces bistros où les malfrats avaient pour habitude de se retrouver. Ils finirent par trouver l’un d’entre eux, une bicoque noire, parmi tant d’autres, avec une petite lanterne pendue au-dessus de la porte. Le vent la faisait bouger et le petit écriteau sur lequel était indiqué le nom voyait des ombres passé par intermittence. Amaruko parvint à voir le nom, « Au rat perdu ». Un nom qui reflétait sans doute la clientèle. Isgny passa en tête et poussa la porte d’où s’échappait des chants emprunts d’alcool. La lumière fut éblouissante dans un premier temps mais après s’être habitué Amaruko pu distinguer l’intérieur de la bâtisse. La musique était assourdissante, un homme jouait du piano dans un coin, un vieil air de jazz. Les hommes riaient à gorges déployés tous plus saouls les uns que les autres. Le capitaine remarqua aussi les femmes à moitié nues qui offraient leur service. Il fronça les sourcils avec un air de dégoût puis suivit Isgny. Celui-ci se dirigea vers le bar et commença à parler avec le barman.
- Bonsoir tavernier, avez-vous entendu parler des meurtres qui sévissent dans cette ville ? Questionna Isgny.
L’homme leva les yeux vers l’homme chat quelques secondes puis reparti à sa besogne, l’air de rien. Isgny soupira et repris la parole.
- Nous aimerions trois bières et des renseignements tavernier, 100 berrys suffiront-ils ?
- Très bien monsieur, votre commande arrive tout de suite. Répondit l’homme, cette fois beaucoup plus bavard.
Une fois que leurs boissons étaient servies Isgny réitéra sa question. Ils ne parvinrent pas à apprendre grand-chose d’intéressant. Les meurtres touchaient seulement des hommes, c’était la première et la seule constatation qu’ils pouvaient faire pour l’instant. Ils ressortirent avec un goût amer et se décidèrent alors à partir à la recherche d’un endroit où passer la nuit. Alors qu’ils se rapprochaient de la monstrueuse horloge ils entendirent un cri horrible. Dans le silence régnant dans la ville il parut encore plus désespéré.
- Le cri d’un mort… Murmura Isgny.
Ils partirent tous les trois en courant en direction du hurlement. Ils s’engouffrèrent en quatrième vitesse dans les ruelles de la ville. Arrivé à un c*l de sac ils s’arrêtèrent net. Un corps était étendu par terre, déchiré tandis que du sang se rependait sur les pavés. Un homme au long manteau sombre avec un regard semblant tenter de fuir la mort elle-même. Amaruko leva la tête et vit une silhouette courir sur les toits en poussant un rire de fou. Les trois compères baissèrent les yeux vers le cadavre. Nupsos n’avait pas besoin de confirmer la mort, la scène était bien assez explicite…
Monkey D Kurama- Flemmard émérite
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Re: Morte Vanité
Après avoir avalé leur copieux petit déjeuner les trois jeunes femmes sortirent de La Chimère Ecorchée, les rayons du soleil étaient comme aspirés dans les ténèbres qu'offrait la robe de la Reine.
Elle comptait bien trouver cette dite créature et l'empêcher de nuire à nouveau, bien que cette dernière servait le mal Cora ne supportait pas l'idée même de devoir faire face à un être plus cruel qu'elle. La rue était pleine de vie, les marchants tiraient avec peine leurs lourdes charrettes tandis que les riches passants les regardaient avec dédain. Le bruit des sabots sur la route pavée, les odeurs de pains chaud englobaient l'avenue. Pourtant un sentiment d'inquiétude pouvait se lire sur le visage des habitants, riches comme pauvres, un parfum de peur se faisait sentir, un parfum que Cora reconnu aussitôt.
Elle se tourna vers ses deux compagnes.
Cora : Bon par où commencer les recherches ?
Clochette : Il faudrait dans un premier temps savoir depuis quand durent ces meurtres.
Guinevra se tapa alors dans la main.
Guinevra : La mairie !
Cora : Et alors ?
Guinevra : Alors, consultons les registres de la ville. Nous verrons bien où ça va nous mener, il faut bien commencer quelque part de toute manière.
La mairie était un bâtiment imposant mais qui tombait en ruine, la bâtisse ne devait pas être entretenue et la végétation commençait a reprendre le dessus sur cette dernière. Une fois a l'intérieur Guinevra s'installa au bureau et ouvrit les différents tiroirs, un fort grincement se fit entendre.
Guinevra : Dans ces petites villes il y a souvent un registre où sont archivés les faits divers et les légendes locales. Si il faut tout éplucher on est pas près de finir.
Clochette quand à elle n'avait que faire des propos de la jeune navigatrice et s'amusait avec un objet trouvé sur l'une des nombreuses bibliothèques. Tout en tournant sur elle même elle percuta l'une d'elle et fit tomber une petite boite.
Clochette: Je pense qu'en fin de compte ce qu'on cherche n'est pas un livre mais plutôt une boite.
Elle l'a posa alors sur la table, Guinevra s'empressa de l'ouvrir sous l'œil attentif de Cora.
Guinevra : Regardez des pages de journaux.
Il y était écrit en gros titre "La créature a encore frappée", puis une deuxième "Un nouveau meurtre hante la petite ville".
Cora : Regardez la date, cela remonte à quarante ans. Comment est ce possible ?
Guinevra : Il y a autre chose.
La petite blondinette sortit une sorte de vieux grimoire tombant en morceau, une dague était dessiné sur la couverture.
Guinevra : C'est une sorte de chronique, il y est écrit "Et le cinquième jour nous utilisâmes le pouvoir de la Sïca, pour parfaire sa volonté". C'est étrange.
Clochette : On dirait une sorte de cérémonie.
La reine leva la tête, un sourire malfaisant aux lèvres.
Cora : Que diriez vous de procéder à quelques interrogatoires ?
Guinevra prit alors la tête de la marche, le nez en l'air, et perdu dans ses pensées la jeune fille ne vit pas arriver le garçon en face d'elle.
La collision fut brève mais tout de même brutale.
"Aïe !!" s'écria la jeune blondinette en atterrissant sur le derrière.
"Ouille !" Renchérit le jeune homme.
Amaruko : Oh c'est toi, pardonne moi j'aurai du faire plus attention.
Il s'avança alors vers elle et lui tendis une main amical.
Guinevra : Ne t'inquiète pas, c'est moi. Oh mais laisse moi te présenter mes amies. Voici ma capitaine la Reine Cora. Et voila Clochette.
Amaruko : Enchantés Mesdames, je vous présente Nupsos et Isgny mes deux acolytes.
Après avoir échangé des poignées de mains amicales Guinevra leur fit part des indices qu'elles avaient trouvé, et leur montra la fameuse chronique.
Une alliance se forma alors entre les deux équipages.
Elle comptait bien trouver cette dite créature et l'empêcher de nuire à nouveau, bien que cette dernière servait le mal Cora ne supportait pas l'idée même de devoir faire face à un être plus cruel qu'elle. La rue était pleine de vie, les marchants tiraient avec peine leurs lourdes charrettes tandis que les riches passants les regardaient avec dédain. Le bruit des sabots sur la route pavée, les odeurs de pains chaud englobaient l'avenue. Pourtant un sentiment d'inquiétude pouvait se lire sur le visage des habitants, riches comme pauvres, un parfum de peur se faisait sentir, un parfum que Cora reconnu aussitôt.
Elle se tourna vers ses deux compagnes.
Cora : Bon par où commencer les recherches ?
Clochette : Il faudrait dans un premier temps savoir depuis quand durent ces meurtres.
Guinevra se tapa alors dans la main.
Guinevra : La mairie !
Cora : Et alors ?
Guinevra : Alors, consultons les registres de la ville. Nous verrons bien où ça va nous mener, il faut bien commencer quelque part de toute manière.
La mairie était un bâtiment imposant mais qui tombait en ruine, la bâtisse ne devait pas être entretenue et la végétation commençait a reprendre le dessus sur cette dernière. Une fois a l'intérieur Guinevra s'installa au bureau et ouvrit les différents tiroirs, un fort grincement se fit entendre.
Guinevra : Dans ces petites villes il y a souvent un registre où sont archivés les faits divers et les légendes locales. Si il faut tout éplucher on est pas près de finir.
Clochette quand à elle n'avait que faire des propos de la jeune navigatrice et s'amusait avec un objet trouvé sur l'une des nombreuses bibliothèques. Tout en tournant sur elle même elle percuta l'une d'elle et fit tomber une petite boite.
Clochette: Je pense qu'en fin de compte ce qu'on cherche n'est pas un livre mais plutôt une boite.
Elle l'a posa alors sur la table, Guinevra s'empressa de l'ouvrir sous l'œil attentif de Cora.
Guinevra : Regardez des pages de journaux.
Il y était écrit en gros titre "La créature a encore frappée", puis une deuxième "Un nouveau meurtre hante la petite ville".
Cora : Regardez la date, cela remonte à quarante ans. Comment est ce possible ?
Guinevra : Il y a autre chose.
La petite blondinette sortit une sorte de vieux grimoire tombant en morceau, une dague était dessiné sur la couverture.
Guinevra : C'est une sorte de chronique, il y est écrit "Et le cinquième jour nous utilisâmes le pouvoir de la Sïca, pour parfaire sa volonté". C'est étrange.
Clochette : On dirait une sorte de cérémonie.
La reine leva la tête, un sourire malfaisant aux lèvres.
Cora : Que diriez vous de procéder à quelques interrogatoires ?
Guinevra prit alors la tête de la marche, le nez en l'air, et perdu dans ses pensées la jeune fille ne vit pas arriver le garçon en face d'elle.
La collision fut brève mais tout de même brutale.
"Aïe !!" s'écria la jeune blondinette en atterrissant sur le derrière.
"Ouille !" Renchérit le jeune homme.
Amaruko : Oh c'est toi, pardonne moi j'aurai du faire plus attention.
Il s'avança alors vers elle et lui tendis une main amical.
Guinevra : Ne t'inquiète pas, c'est moi. Oh mais laisse moi te présenter mes amies. Voici ma capitaine la Reine Cora. Et voila Clochette.
Amaruko : Enchantés Mesdames, je vous présente Nupsos et Isgny mes deux acolytes.
Après avoir échangé des poignées de mains amicales Guinevra leur fit part des indices qu'elles avaient trouvé, et leur montra la fameuse chronique.
Une alliance se forma alors entre les deux équipages.
Mrs-Fatale- Cruella de Vil
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Re: Morte Vanité
Amaruko et ses compagnons écoutèrent attentivement les explications de Guinerva. Toute cette affaire était bien étrange. Ces crimes qui sévissaient depuis quarante ans, ça ne faisait aucun sens. Le meurtrier devait avoir commencé à tuer en étant très jeune, ou alors aujourd’hui il était relativement âgé mais continuait dans sa soif de sang.
- Une autre possibilité serait qu’il s’agisse aujourd’hui d’un imitateur. Avança Isgny
- C’est en effet une idée à retenir. Continua Guinerva
- Nous avons d’ailleurs trouvé une victime à l’instant. Poursuivit Amaruko. Nous étions en train de chercher son tueur justement. Mais c’est sans
doute peine perdue. Maintenant que nous sommes plus nombreux nous pourrions sans doute nous diviser, qu’en pensez-vous ? Proposa le capitaine.
- Je suis d’accord avec cette idée, je propose de faire deux groupes, le premier va rechercher des indices sur le corps et le second par interroger de potentielles sources d’informations. Exposa la reine Cora. Guinerva, tu iras avec ce jeune homme puisque tu le donnais déjà. Clochette et moi irons avec cet être étrange. Ordonna-t-elle ensuite.
Sur ces quelques mots le groupe se sépara. Cora parti suivit de Clochette, Nupsos en fit de même après l’approbation de son capitaine. C’est ainsi qu’Amaruko, Isgny et Guinerva partirent en direction de la scène de crime. Il ne leur fallut pas bien longtemps pour retrouver le corps, déjà froid, étalé dans sa mare de sang.
Amaruko s’approcha du corps avec ses deux compères et examina les blessures. Au moins c’était clair, le meurtrier utilisait un poignard, les lacérations et les blessures plus ou moins profondes sur son corps le prouvaient.
- Pourquoi est-ce qu’il s’est acharné à ce point… Murmura Amaruko.
- Je vois l’empreinte de la folie dans ce meurtre. Exposa l’homme chat Il n’a pas été torturé pour obtenir une information ou quoi que ce soit, ce sont des marques bestiales et sanguinaires.
- Vous avez vu cette marque au niveau du cœur ? Nota la jeune femme. Je ne connais aucune sorte d’arme qui pourrait provoquer ça. C’est assez petit et ça semble presque parfaitement cylindrique.
- Je n’ai jamais rien vu de telle non plus. Approuva Isgny après avoir consciencieusement ausculté la blessure
Amaruko s’approcha du visage de l’homme, persuadé de l’avoir déjà vu. Il se rappela alors du chapeau qu’il avait vu voler un peu plus tôt et la vérité le frappa de plein fouet. Il avait vu cet homme vivant plus tôt, il ne pouvait oublier ce regard fuyant et pressé. C’était l’homme au chapeau qu’il avait rencontré en sortant du bar. Cette constatation fit un choc au jeune pirate, il aurait sans doute pu le sauver s’il avait su.
Nupsos suivait la femme étrange qui lui avait ordonné de la suivre. A première vu il l’avait trouvé très belle mais il avait maintenant le sentiment qu’elle était maléfique. Une aura étrange émanait d’elle et il savait au fond de lui qu’il fallait qu’il reste un minimum sur ses gardes. Ils se dirigeaient actuellement vers le post de garde le plus proche. Ils avaient acté que c’était le premier lieu à visiter puisqu’ils avaient sans doute commencé une enquête pour déterminer qui était ce monstre. Une femme leur avait indiqué que le poste se trouvait non loin de la tour à l’horloge. Cela les arrangeait puisqu’il s’agissait d’un monument facilement reconnaissable. Arrivé sur la place de l’horloge ils se dirigèrent vers la rue indiquée par la femme et tombèrent sur le poste de garde. C’était un bâtiment sombre comme tous les autres. Mais il en imposait tout de même. Il faisait un peu penser à un château fort avec deux tours sur les côtés, en moins grand bien sûr. Les pierres noires comme la suie encadraient une porte de grande taille, en bois clouté. Une pancarte surmontait l’arche de cette dernière et il y était indiqué « Poste de garde ».
- Bon au moins nous avons pût trouver assez facilement. Dit Clochette
- Oui, nous allons pouvoir avancer dans notre enquête. Renchérit Cora
Nupsos se contenta d’acquiescer d’un hochement de tête, il n’était pas encore prêt à leur faire entièrement confiance. Ils frappèrent à la porte et une voix roque leur répondit.
- C’est pour quoi ? Dit-elle.
- Ouvrez la porte ! Nous sommes ici pour avoir des renseignements ! Répondit avec assurance la reine.
Ils entendirent quelques mouvements derrière la porte. Sans doute le portier était-il en train de les scruter et de les jauger derrière le judas. Toujours était-il qu’il finit par leur ouvrir sans un mot. C’était un homme trapus, de petite taille mais qui semblait tout de même posséder une forte musculature. Ces yeux témoignaient d’un grand sens de l’observation il n’était sans doute pas à ce poste pour rien. Il leur indiqua d’un geste le couloir et ils partirent dans cette direction. Ils arrivèrent alors dans une sorte de hall avec un petit bureau en son centre, c’était sans doute une sorte de réceptionniste qui gérait les allés et venus des détenus et des visiteurs. L’homme derrière ce bureau paraissait cette fois grand, il était habillé sombrement comme tout un chacun dans cette ville. De petites lunettes étaient vissées sur son nez et il semblait absorbé par des papiers. Il leva la tête lorsque les trois visiteurs d’approchèrent de son bureau.
- Que puis-je pour vous ? Demanda-t-il très poliment.
- Nous souhaitons nous entretenir avec les responsables d’une enquête.Exposa Nupsos.
- De laquelle s’agit-il ? Questionna l’homme.
- Celle des meurtres sanglants qui prennent place dans cette ville. Répondit la méduse.
Sur ces mots l’homme sembla se raidir et son visage pâlit. Il leur répondit prestement qu’il allait demander à ses supérieurs puis s’éclipsa. Le petit groupe se regarda. Pourquoi un tel malaise ? Etait-ce dû à l’incapacité des forces de l’ordre à mettre le grappin sur le meurtrier ?
- Une autre possibilité serait qu’il s’agisse aujourd’hui d’un imitateur. Avança Isgny
- C’est en effet une idée à retenir. Continua Guinerva
- Nous avons d’ailleurs trouvé une victime à l’instant. Poursuivit Amaruko. Nous étions en train de chercher son tueur justement. Mais c’est sans
doute peine perdue. Maintenant que nous sommes plus nombreux nous pourrions sans doute nous diviser, qu’en pensez-vous ? Proposa le capitaine.
- Je suis d’accord avec cette idée, je propose de faire deux groupes, le premier va rechercher des indices sur le corps et le second par interroger de potentielles sources d’informations. Exposa la reine Cora. Guinerva, tu iras avec ce jeune homme puisque tu le donnais déjà. Clochette et moi irons avec cet être étrange. Ordonna-t-elle ensuite.
Sur ces quelques mots le groupe se sépara. Cora parti suivit de Clochette, Nupsos en fit de même après l’approbation de son capitaine. C’est ainsi qu’Amaruko, Isgny et Guinerva partirent en direction de la scène de crime. Il ne leur fallut pas bien longtemps pour retrouver le corps, déjà froid, étalé dans sa mare de sang.
Amaruko s’approcha du corps avec ses deux compères et examina les blessures. Au moins c’était clair, le meurtrier utilisait un poignard, les lacérations et les blessures plus ou moins profondes sur son corps le prouvaient.
- Pourquoi est-ce qu’il s’est acharné à ce point… Murmura Amaruko.
- Je vois l’empreinte de la folie dans ce meurtre. Exposa l’homme chat Il n’a pas été torturé pour obtenir une information ou quoi que ce soit, ce sont des marques bestiales et sanguinaires.
- Vous avez vu cette marque au niveau du cœur ? Nota la jeune femme. Je ne connais aucune sorte d’arme qui pourrait provoquer ça. C’est assez petit et ça semble presque parfaitement cylindrique.
- Je n’ai jamais rien vu de telle non plus. Approuva Isgny après avoir consciencieusement ausculté la blessure
Amaruko s’approcha du visage de l’homme, persuadé de l’avoir déjà vu. Il se rappela alors du chapeau qu’il avait vu voler un peu plus tôt et la vérité le frappa de plein fouet. Il avait vu cet homme vivant plus tôt, il ne pouvait oublier ce regard fuyant et pressé. C’était l’homme au chapeau qu’il avait rencontré en sortant du bar. Cette constatation fit un choc au jeune pirate, il aurait sans doute pu le sauver s’il avait su.
Nupsos suivait la femme étrange qui lui avait ordonné de la suivre. A première vu il l’avait trouvé très belle mais il avait maintenant le sentiment qu’elle était maléfique. Une aura étrange émanait d’elle et il savait au fond de lui qu’il fallait qu’il reste un minimum sur ses gardes. Ils se dirigeaient actuellement vers le post de garde le plus proche. Ils avaient acté que c’était le premier lieu à visiter puisqu’ils avaient sans doute commencé une enquête pour déterminer qui était ce monstre. Une femme leur avait indiqué que le poste se trouvait non loin de la tour à l’horloge. Cela les arrangeait puisqu’il s’agissait d’un monument facilement reconnaissable. Arrivé sur la place de l’horloge ils se dirigèrent vers la rue indiquée par la femme et tombèrent sur le poste de garde. C’était un bâtiment sombre comme tous les autres. Mais il en imposait tout de même. Il faisait un peu penser à un château fort avec deux tours sur les côtés, en moins grand bien sûr. Les pierres noires comme la suie encadraient une porte de grande taille, en bois clouté. Une pancarte surmontait l’arche de cette dernière et il y était indiqué « Poste de garde ».
- Bon au moins nous avons pût trouver assez facilement. Dit Clochette
- Oui, nous allons pouvoir avancer dans notre enquête. Renchérit Cora
Nupsos se contenta d’acquiescer d’un hochement de tête, il n’était pas encore prêt à leur faire entièrement confiance. Ils frappèrent à la porte et une voix roque leur répondit.
- C’est pour quoi ? Dit-elle.
- Ouvrez la porte ! Nous sommes ici pour avoir des renseignements ! Répondit avec assurance la reine.
Ils entendirent quelques mouvements derrière la porte. Sans doute le portier était-il en train de les scruter et de les jauger derrière le judas. Toujours était-il qu’il finit par leur ouvrir sans un mot. C’était un homme trapus, de petite taille mais qui semblait tout de même posséder une forte musculature. Ces yeux témoignaient d’un grand sens de l’observation il n’était sans doute pas à ce poste pour rien. Il leur indiqua d’un geste le couloir et ils partirent dans cette direction. Ils arrivèrent alors dans une sorte de hall avec un petit bureau en son centre, c’était sans doute une sorte de réceptionniste qui gérait les allés et venus des détenus et des visiteurs. L’homme derrière ce bureau paraissait cette fois grand, il était habillé sombrement comme tout un chacun dans cette ville. De petites lunettes étaient vissées sur son nez et il semblait absorbé par des papiers. Il leva la tête lorsque les trois visiteurs d’approchèrent de son bureau.
- Que puis-je pour vous ? Demanda-t-il très poliment.
- Nous souhaitons nous entretenir avec les responsables d’une enquête.Exposa Nupsos.
- De laquelle s’agit-il ? Questionna l’homme.
- Celle des meurtres sanglants qui prennent place dans cette ville. Répondit la méduse.
Sur ces mots l’homme sembla se raidir et son visage pâlit. Il leur répondit prestement qu’il allait demander à ses supérieurs puis s’éclipsa. Le petit groupe se regarda. Pourquoi un tel malaise ? Etait-ce dû à l’incapacité des forces de l’ordre à mettre le grappin sur le meurtrier ?
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Re: Morte Vanité
Cora et ses deux amis attendaient avec impatience l'arrivée de la personne chargée de cette mystérieuse enquête. Après plusieurs minutes, la porte s'ouvrit enfin et un homme apparût. Son imposante carrure forçait le respect, un chapeau sur la tête et un long manteau posé sur les épaules il s'avança vers le bureau.
Cora, qui était loin d'être impressionnée, garda la tête haute et posa sans aucune distinction la question qui lui brûlait les lèvres.
"-C'est vous l'homme que l'on recherche ?"
L'homme releva la tête, il tira une dernière fois sur sa cigarette et l'écrasa dans le cendrier. Son visage étant caché par la fumée qu'il venait d'expulser regarda au plus profond des yeux de la Reine.
"-Je sens le mal en vous .... Cela ne me plais guère. Murmura l'homme.
-Suffit ! Je ne suis pas venu ici pour faire une thèse, veuillez répondre à ma question."
Clochette qui était restée en retrait, donna un petit coup sur l'épaule de Cora et lui dit quelque chose de peu audible du coin de la bouche.
"-S'il vous plais, Mademoiselle. Il faut dire "s'il vous plais".
-... s'il vous plais ... Grommela Cora.
-Je vois que vous êtes entourée de personnes pour le moins intéressantes. Ce jeune homme qui vous accompagne, je ressent son courage mais sur son visage je peux lire une naïveté presque risible.
Et vous jeune fille, vous dégagez une aura incroyable et pourtant vous êtes fébriles. Je sens en vous une certaine instabilité, comment dire .. psychologique.
-Quelle belle analyse, vraiment. Mais nous avons simplement des question à vous poser, sur ce qu'il se passe en ville. Renchérît Nupsos.
-Nous avons trouvé ceci dans les archives de la mairie, vous avez déjà vu cette boite ? Et qu'est ce que la Sïca ? Demanda Clochette.
L'inspecteur pris la boite et regarda fixement ce mot "Sïca"...
-Ecoutez, cela ne vous regarde pas ! Quittez ces lieux et arrêtez de fouiner dans les affaires des autres, vous m'avez compris ?! Cria t-il en se levant brusquement."
Et en quelques minutes seulement le groupe se retrouva dehors, sous la pluie. Les gouttes de cristals qui explosaient sur le sol mettaient en joie Clochette, qui adorait la pluie.
___________________________
Du côté de l'autre groupe, l'enquête piétinait, ils n'avaient pas pu identifier l'homme. Ils n'avaient donc plus aucunes pistes a suivre. Pourtant En passant près d'un jeune coupe, les trois amis entendirent parler d'un bal, une réception qui serait donné en l'honneur d'un jeune homme.
"-Vous avez entendu, le tueur va peut être profiter de cette occasion pour frapper à nouveau. Dit Amaruko.
-Je suis tout à fais d'accord, mais faudrait pouvoir y rentrer sans se faire repérer. Fit remarque Isgny.
-Ne vous inquiétez pas pour ça. Rigola Guinevra. Il nous suffit de trouver une boutique et de prévenir les autres. "
Cora, qui était loin d'être impressionnée, garda la tête haute et posa sans aucune distinction la question qui lui brûlait les lèvres.
"-C'est vous l'homme que l'on recherche ?"
L'homme releva la tête, il tira une dernière fois sur sa cigarette et l'écrasa dans le cendrier. Son visage étant caché par la fumée qu'il venait d'expulser regarda au plus profond des yeux de la Reine.
"-Je sens le mal en vous .... Cela ne me plais guère. Murmura l'homme.
-Suffit ! Je ne suis pas venu ici pour faire une thèse, veuillez répondre à ma question."
Clochette qui était restée en retrait, donna un petit coup sur l'épaule de Cora et lui dit quelque chose de peu audible du coin de la bouche.
"-S'il vous plais, Mademoiselle. Il faut dire "s'il vous plais".
-... s'il vous plais ... Grommela Cora.
-Je vois que vous êtes entourée de personnes pour le moins intéressantes. Ce jeune homme qui vous accompagne, je ressent son courage mais sur son visage je peux lire une naïveté presque risible.
Et vous jeune fille, vous dégagez une aura incroyable et pourtant vous êtes fébriles. Je sens en vous une certaine instabilité, comment dire .. psychologique.
-Quelle belle analyse, vraiment. Mais nous avons simplement des question à vous poser, sur ce qu'il se passe en ville. Renchérît Nupsos.
-Nous avons trouvé ceci dans les archives de la mairie, vous avez déjà vu cette boite ? Et qu'est ce que la Sïca ? Demanda Clochette.
L'inspecteur pris la boite et regarda fixement ce mot "Sïca"...
-Ecoutez, cela ne vous regarde pas ! Quittez ces lieux et arrêtez de fouiner dans les affaires des autres, vous m'avez compris ?! Cria t-il en se levant brusquement."
Et en quelques minutes seulement le groupe se retrouva dehors, sous la pluie. Les gouttes de cristals qui explosaient sur le sol mettaient en joie Clochette, qui adorait la pluie.
___________________________
Du côté de l'autre groupe, l'enquête piétinait, ils n'avaient pas pu identifier l'homme. Ils n'avaient donc plus aucunes pistes a suivre. Pourtant En passant près d'un jeune coupe, les trois amis entendirent parler d'un bal, une réception qui serait donné en l'honneur d'un jeune homme.
"-Vous avez entendu, le tueur va peut être profiter de cette occasion pour frapper à nouveau. Dit Amaruko.
-Je suis tout à fais d'accord, mais faudrait pouvoir y rentrer sans se faire repérer. Fit remarque Isgny.
-Ne vous inquiétez pas pour ça. Rigola Guinevra. Il nous suffit de trouver une boutique et de prévenir les autres. "
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