Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Fruit complétement modifié , j'ai perdu , tu as été plus fort que moi , et j'ai bien aimé tes arguments . ^^
La répulssion est libre non ? Alors voilà .
Si il ressemble à d'autres fruits bas j'ai marqué sur la fiche la différence ^^.
La répulssion est libre non ? Alors voilà .
Si il ressemble à d'autres fruits bas j'ai marqué sur la fiche la différence ^^.
kurotsu of mist- Nyan-cat
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Personnage validé
Bon jeu Kurotsu !
EDIT Skull_joke : il est vrai que le YAL est refusé sans fondement valable
Bon jeu Kurotsu !
EDIT Skull_joke : il est vrai que le YAL est refusé sans fondement valable
-ED-- Conquérant de l'univers
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Bon nouveau perso ( encore ! oui je sais ! )
Rare personnage non mort... Ah bah non en fait il est mort aussi.
Nom: Sakuraba
Prénom: Neku
Surnom: "Rythm Scythe "
Sexe: Garçon
Age: 15 ans
Race: Humain
Métier: Musicien, Médecin
Histoire: Neku a été abandonné très jeune par ses parents, vers ses 4 ans. La grande ville dans laquelle laissé était connu pour sa dépravation. Mais un groupe de musiciens des rues le trouva. Ils décidèrent de s'occuper un peu de l'enfant.
Ils habitaient dans une vieille cave avec des lits et quelque chose qui leur servait de cuisine. Neku aimait bien cet endroit, il lui trouvait quelque chose de réconfortant.
Il vécu sans rien faire pendant 2 ans dans cette cave, les membres du groupe descendaient le soir, lui racontait ce qu'il se passait ne haut, lui jouait des musiques qu'ils composaient. Mais ils étaient heureux, même si ils étaient pauvres. Neku développa ici son gout de la musique. Un membre savait faire des graffitis, Neku s'amusait à le reproduire, il développa aussi a passion pour les graffitis.
À 7 ans, Neku décida de jouer de la guitare, bizarrement il en jouait bien, très bien. Les membres du groupe, après un an d'entrainement, il paru à la surface, le "concert" de rue qu'il donna fit un succès fulgurent.
Pendant 4 ans ils vécurent de cela. Bizarrement ils n'utilisaient l'argent que pour s'acheter à manger.
Ils restaient dans leur cave. Neku aimait jouer et entendre les compositions du groupe. Mais un jour la Marine arriva et tua tous les membres du groupe. C'étaient des anciens pirates reconvertis.... Grâce à l'aide d'un des membres il réussit à s'enfuir.
Il se retrouva à vivre dans la rue, à 13 ans. Il commença à devenir fort pour survivre dans cette ville de chacals. Il vola un casque avec des audio-dials à un bourgeois et enregistra toutes les chansons, celles du groupe, celles du monde..... Il continua après, à vivre de petits concerts de rue, dans la cave un peu détruite jusqu'à 15 ans, à attendre quelqu'un.
Description physique : Neku a les cheveux oranges. Il fait 1m60 pour 50 kilos.
Il est entraîné pour être rapide. Il porte un grand pull noir et violet dont le col cache à moitié la bouche de Neku. Il a toujours un casque avec des audio-dials sur la tête pour écouter de la musique.
Il a un short blanc.
Description mentale : Neku a un caractère difficile. Il adore les graffitis et la musique.
Il a toujours son casque sur la tête pour écouter, il l'écoute quasiment tout le temps. Il écoute tous les types de musiques sauf le rap et pour les graffitis il a toujours des bombes de peintures sur lui. Il aime pas vraiment les gens, si il était tout seul sur la Terre avec sa musique et ses graffitis ce serait parfait. L'équipage est la seule exception, il considère Erin comme un grand frère, il s'entend bien avec Roxas et les autres. Il est souvent calme, il chantonne de temps en temps ses chansons.
Il sait jouer de n'importe quel instrument.
Navire :
Prime:
Fruit du Démon:
Dials: Il a 2 audio-dials. Ils sont dans son casque. Ils lui servent à écouter de la musique. Mais il peut s'en servir comme un sonar de temps en temps.
Techniques: Il a un style de combat bizarre. C'est du "Rythm-Fu" . Un style de combat qui mélange la danse et les arts martiaux. Sa musique l'aide à rester en rythme et donc l'aide à combattre. Il a aussi une faux, un faux noire, attachée à une chaîne qui est reliée à son bras.
Moonwalk : Il fait un moonwalk très rapide (comme Michael Jackson) pour se déplacer très vite.
Bloody Dance : il fait le mouvement de hip-hop qui consiste à tourner au sol sur le dos, il fait pareil en tournant sa faux.
Night Party : il tourne dur lui même comme si il dansait et lance sa faux après avoir prit de la vitesse en tournant.
Rare personnage non mort... Ah bah non en fait il est mort aussi.
Nom: Sakuraba
Prénom: Neku
Surnom: "Rythm Scythe "
Sexe: Garçon
Age: 15 ans
Race: Humain
Métier: Musicien, Médecin
Histoire: Neku a été abandonné très jeune par ses parents, vers ses 4 ans. La grande ville dans laquelle laissé était connu pour sa dépravation. Mais un groupe de musiciens des rues le trouva. Ils décidèrent de s'occuper un peu de l'enfant.
Ils habitaient dans une vieille cave avec des lits et quelque chose qui leur servait de cuisine. Neku aimait bien cet endroit, il lui trouvait quelque chose de réconfortant.
Il vécu sans rien faire pendant 2 ans dans cette cave, les membres du groupe descendaient le soir, lui racontait ce qu'il se passait ne haut, lui jouait des musiques qu'ils composaient. Mais ils étaient heureux, même si ils étaient pauvres. Neku développa ici son gout de la musique. Un membre savait faire des graffitis, Neku s'amusait à le reproduire, il développa aussi a passion pour les graffitis.
À 7 ans, Neku décida de jouer de la guitare, bizarrement il en jouait bien, très bien. Les membres du groupe, après un an d'entrainement, il paru à la surface, le "concert" de rue qu'il donna fit un succès fulgurent.
Pendant 4 ans ils vécurent de cela. Bizarrement ils n'utilisaient l'argent que pour s'acheter à manger.
Ils restaient dans leur cave. Neku aimait jouer et entendre les compositions du groupe. Mais un jour la Marine arriva et tua tous les membres du groupe. C'étaient des anciens pirates reconvertis.... Grâce à l'aide d'un des membres il réussit à s'enfuir.
Il se retrouva à vivre dans la rue, à 13 ans. Il commença à devenir fort pour survivre dans cette ville de chacals. Il vola un casque avec des audio-dials à un bourgeois et enregistra toutes les chansons, celles du groupe, celles du monde..... Il continua après, à vivre de petits concerts de rue, dans la cave un peu détruite jusqu'à 15 ans, à attendre quelqu'un.
Description physique : Neku a les cheveux oranges. Il fait 1m60 pour 50 kilos.
Il est entraîné pour être rapide. Il porte un grand pull noir et violet dont le col cache à moitié la bouche de Neku. Il a toujours un casque avec des audio-dials sur la tête pour écouter de la musique.
Il a un short blanc.
- Spoiler:
Description mentale : Neku a un caractère difficile. Il adore les graffitis et la musique.
Il a toujours son casque sur la tête pour écouter, il l'écoute quasiment tout le temps. Il écoute tous les types de musiques sauf le rap et pour les graffitis il a toujours des bombes de peintures sur lui. Il aime pas vraiment les gens, si il était tout seul sur la Terre avec sa musique et ses graffitis ce serait parfait. L'équipage est la seule exception, il considère Erin comme un grand frère, il s'entend bien avec Roxas et les autres. Il est souvent calme, il chantonne de temps en temps ses chansons.
Il sait jouer de n'importe quel instrument.
Navire :
Prime:
Fruit du Démon:
Dials: Il a 2 audio-dials. Ils sont dans son casque. Ils lui servent à écouter de la musique. Mais il peut s'en servir comme un sonar de temps en temps.
Techniques: Il a un style de combat bizarre. C'est du "Rythm-Fu" . Un style de combat qui mélange la danse et les arts martiaux. Sa musique l'aide à rester en rythme et donc l'aide à combattre. Il a aussi une faux, un faux noire, attachée à une chaîne qui est reliée à son bras.
Moonwalk : Il fait un moonwalk très rapide (comme Michael Jackson) pour se déplacer très vite.
Bloody Dance : il fait le mouvement de hip-hop qui consiste à tourner au sol sur le dos, il fait pareil en tournant sa faux.
Night Party : il tourne dur lui même comme si il dansait et lance sa faux après avoir prit de la vitesse en tournant.
Dernière édition par kurotsu of mist le Mer 3 Juin - 10:48, édité 15 fois
kurotsu of mist- Nyan-cat
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Awesome ! C'est moi qui m'en occupe !
Tout d'abord bonjour Kuro ou bonsoir en fonction de l'heure où tu verras mon post.
Tu dois sans doute savoir que le talon d'Achille de ton personnage est son FDD, voici les raisons qui me poussent à le refuser:
1° On avait déjà dit que la race des anges dans One Piece rendait impossible l’existence d'Ange dans le sens Biblique, Coranique où Hébraïque du terme. Imagine qu'on tolère un FDD où une Race plusieurs fois sous prétexte que plusieurs mythologies l'utilise. Par exemple:
Pégase est issus de la Mythologie Greco Romaine
El Bouraqu lui vient du Coran
Les deux représentent un cheval ailé possédant les même caractéristiques, doit-on accepter tout les deux sous prétexte qu'ils sont issus de deux Mythologies différentes ? Nous sommes très nombreux à penser que non. Et ça tombe bien, vu que la réponse à cette question est non.
2° Les Modos l'ont déjà refusé il y a quelques mois alors que son utilisation était beaucoup plus light que la tienne (très proche du level d'Aizen et ses parades de l'index)
3° Comme on l'a fait remarqué au record man du refus pour son FDD de L'Ifrit, un être constitué d'une matière n'est pas automatiquement maître de cette dernière. Or selon toi, les anges sont fait de lumière donc ils contrôlent la lumière (et le feu en bonus parce que... aucune idée).
Contre Exemple: Nous sommes (les êtres humains) soit disant fait d'argile, est ce que cela fait des êtres capable de contrôler l'argile? Non
4° Ange modèle Sephiroth qui semble justifier ta forme avec une seule aile noire.... Ça se passe de commentaire.
5° Des techniques d'un autre monde, en l’occurrence "Shiro Ubi" digne d'Aizen Sama, et "Replay" qui a même était refusé à Skull Joke. Et dis toi que pour refuser une technique à un MODO, faut vraiment qu'il y ait un souci majeur.
Pour finir je laisserai la parole à Barney Stinson:
EDIT ED: Quoi Skull a volé le post de TS
Aucune description des sephiroths ne fait mention d'ailes a la différence des anges du catholicisme et aucun ange du catholicisme n'a d'ailes noir de toute façon.
Pour les pouvoirs de feu je dit plus un, pour les pouvoirs de lumière seul les anges masculins peuvent l'émettre. Les anges féminins peuvent seulement la recevoir donc oublies les pouvoirs lumineux.
La plus grade force et la plus grande rapidité sont les pouvoirs du fruit de l'accroissement musculaire que possède déjà Riku et de toute façon aucun texte ne dit que les anges ont des capacités surhumaines.
EDIT TS: Ce post est magnifique, si puissant et tellement tranchant ! L'oeuvre d'un véritable briseur de FDD.
Tout d'abord bonjour Kuro ou bonsoir en fonction de l'heure où tu verras mon post.
Tu dois sans doute savoir que le talon d'Achille de ton personnage est son FDD, voici les raisons qui me poussent à le refuser:
1° On avait déjà dit que la race des anges dans One Piece rendait impossible l’existence d'Ange dans le sens Biblique, Coranique où Hébraïque du terme. Imagine qu'on tolère un FDD où une Race plusieurs fois sous prétexte que plusieurs mythologies l'utilise. Par exemple:
Pégase est issus de la Mythologie Greco Romaine
El Bouraqu lui vient du Coran
Les deux représentent un cheval ailé possédant les même caractéristiques, doit-on accepter tout les deux sous prétexte qu'ils sont issus de deux Mythologies différentes ? Nous sommes très nombreux à penser que non. Et ça tombe bien, vu que la réponse à cette question est non.
2° Les Modos l'ont déjà refusé il y a quelques mois alors que son utilisation était beaucoup plus light que la tienne (très proche du level d'Aizen et ses parades de l'index)
3° Comme on l'a fait remarqué au record man du refus pour son FDD de L'Ifrit, un être constitué d'une matière n'est pas automatiquement maître de cette dernière. Or selon toi, les anges sont fait de lumière donc ils contrôlent la lumière (et le feu en bonus parce que... aucune idée).
Contre Exemple: Nous sommes (les êtres humains) soit disant fait d'argile, est ce que cela fait des êtres capable de contrôler l'argile? Non
4° Ange modèle Sephiroth qui semble justifier ta forme avec une seule aile noire.... Ça se passe de commentaire.
5° Des techniques d'un autre monde, en l’occurrence "Shiro Ubi" digne d'Aizen Sama, et "Replay" qui a même était refusé à Skull Joke. Et dis toi que pour refuser une technique à un MODO, faut vraiment qu'il y ait un souci majeur.
Pour finir je laisserai la parole à Barney Stinson:
EDIT ED: Quoi Skull a volé le post de TS
Aucune description des sephiroths ne fait mention d'ailes a la différence des anges du catholicisme et aucun ange du catholicisme n'a d'ailes noir de toute façon.
Pour les pouvoirs de feu je dit plus un, pour les pouvoirs de lumière seul les anges masculins peuvent l'émettre. Les anges féminins peuvent seulement la recevoir donc oublies les pouvoirs lumineux.
La plus grade force et la plus grande rapidité sont les pouvoirs du fruit de l'accroissement musculaire que possède déjà Riku et de toute façon aucun texte ne dit que les anges ont des capacités surhumaines.
EDIT TS: Ce post est magnifique, si puissant et tellement tranchant ! L'oeuvre d'un véritable briseur de FDD.
Skull_joke- Admin Lama
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Bon j'ai tout effacé pour trouver une idée.
Pour la force physique j'ai amassé des preuves avec l'aide de Riku mais ça plait pas à tout le monde....
Tous les Zoans ont une augmentation de force ( bon moi j'en ai fais le pouvoir principal de mon fruit) . Mais j'ai quoi comme pouvoir spécial sinon ?!
Je vais pas tester les ondes de choc comme Sengoku ( où est écris que Bouddha peut envoyer des ondes de choc ?oO ) et le dernier truc qui me restai, la Lumière a été refusé.
Donc je cherche des idées mais c'est dur à trouver....
EDIT TS: "Un claquement de doigt de Bouddha se fait entendre au delà des Dix Mondes", en partant de ce principe là, un de ses coup de poing dans le vide peut crée une onde de choc, c'est la moindre des choses tout de même.
Sinon si j'ai bien compris tu persévère a vouloir faire passer le FDD de l'Ange, laisse moi te dire que c'est inutile, Skull a pourtant était assez clair dans son post, aucune de tes pirouettes ne pourra évincer les arguments 1 et 2 de Skull (sauf petit miracle).
Si tu veux un bon conseil, gaspilles tes forces dans un autre projet de FDD.
Pour la force physique j'ai amassé des preuves avec l'aide de Riku mais ça plait pas à tout le monde....
Tous les Zoans ont une augmentation de force ( bon moi j'en ai fais le pouvoir principal de mon fruit) . Mais j'ai quoi comme pouvoir spécial sinon ?!
Je vais pas tester les ondes de choc comme Sengoku ( où est écris que Bouddha peut envoyer des ondes de choc ?oO ) et le dernier truc qui me restai, la Lumière a été refusé.
Donc je cherche des idées mais c'est dur à trouver....
EDIT TS: "Un claquement de doigt de Bouddha se fait entendre au delà des Dix Mondes", en partant de ce principe là, un de ses coup de poing dans le vide peut crée une onde de choc, c'est la moindre des choses tout de même.
Sinon si j'ai bien compris tu persévère a vouloir faire passer le FDD de l'Ange, laisse moi te dire que c'est inutile, Skull a pourtant était assez clair dans son post, aucune de tes pirouettes ne pourra évincer les arguments 1 et 2 de Skull (sauf petit miracle).
Si tu veux un bon conseil, gaspilles tes forces dans un autre projet de FDD.
Dernière édition par kurotsu of mist le Jeu 20 Juin - 21:24, édité 1 fois
kurotsu of mist- Nyan-cat
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Après la refonte totale du personnage je pense pouvoir le dire :
Personnage validé Kurotsu.
Bon jeu.
Personnage validé Kurotsu.
Bon jeu.
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Bon pour faire un équipage avec des pouvoirs originaux, voilà mon nouveau perso. (Ce perso me plait alors j'y vais ! )
.
.Fiche non à jour, transférée sur la première
Nom: ???
Prénom: Shaka
Surnom: Le Chaotique
Sexe: Masculin
Age: 20 ans
Race: Humain
Métier: Second
Grade:
Histoire: Shaka considère sa vie comme une chute. Il est né enfant des rues, allait à une école minable, son corps frêle faisait de lui un bouc émissaire. Il n'était pas heureux de cette vie mais essayait de survivre.
À 15 ans, il se fit enlevé par la Marine pour qu'il devienne un soldat, cela ne le dérangeait plus que ça. Il s’entraînait, il commença à devenir fort, de plus en plus fort, mais cette vie ne lui plaisait pas.
À 17 ans, il tua un de ses camarades à l'entrainement, sans faire exprès, tout le monde était étonné, ils pensaient que c'était un accident. Ses supérieurs comprirent qu'il l'avait tué par sa force, ils commencèrent à le craindre. Shaka lui n'était pas choqué de tuer un humain, il n'était ni heureux ni triste. Il avait toujours sur sa main une trace du sang de son adversaire. Pour l'enlever il la lécha, tout à coup il eut une sensation, la première de sa vie, il aimait ce gout, le sang... était délicieux.
Il entendit tout à coup une voix, il descendit les étages du QG où il était et tomba sur une cellule, la cellule ne contenait personne, elle contenait... une épée. Une immense épée noire, c'était une sorte de nodachi noir avec un début de pommeau en dragon, une multitude de petites lames qui entouraient de chaque côtés le nodachi ce qui lui donnait un air d'épée géante.
Il ouvrit la porte, et dès qu'il toucha l'épée il vit une femme, une jeune femme, incroyablement belle, la peau mate, les yeux avec la rétine noire et des drôles de marques noires sur son visage, elle avait 2 ailes d'ange noires.
??? : "Toi.. Tu es celui que j'attends ! "
Shaka : "....Qui es-tu ?"
??? : "Je suis l'épée maudite Namida (trad : Larme ), je ne peux être vu que par celui qui pourra me libérer et me contrôler... Tu es celui -ci, tu seras mon adoré ! Tu réponds à mes attentes ! On a quelque en commun."
Shaka : "C'est quoi tes attentes ?"
Namida : "Je cherche un homme qui parait faible, qui se cache.. Alors qu'il est fort, et... On a tout les deux la soif du sang. Libère-moi, ensemble nous nous nourrirons ! "
Shaka fut intéressé par cette offre, cette femme, même si elle représentait une épée l'attirait, et elle voulait ce que Shaka aimait, le sang.
Il libéra l'épée et fit un carnage resté dans les annales des Marines.
Namida : "Tu deviendras le roi à la place des rois ! Mon Shaka ! "
Shaka commença son voyage à travers le monde, en étanchant sa soif de sang et celle de son épée.
Description psychologique : Shaka est impitoyable, sanglant et antisocial. Il ne montra jamais ses émotions. Il aime le sang, quand je dis aimer c'est adorer, il peut tuer des dizaines de personnes pour boire leur sang. C'est en partie à cause de son épée, mais il aime vraiment le gout du sang. Il ne s'énerve jamais, il garde toujours son air clame et effrayant, quasiment rien ne peut le faire sortir de ses gonds, il pourrait perdre il s'en fiche. Il n'aime pas les groupes car il était souvent exclu de ses derniers, sauf l'équipage qui lui permet d'être lui-même tout en l'acceptant.
Description physique : Shaka est moyennement grand, 1m75. Il a des yeux jaunes, la rétine de ses yeux est noire au lieu d'être blanche. Il porte sur lui des bandelettes, il a une épaisse touffe rouge de cheveux. Il est fin. Mais malgré son apparence il est très fort. Il porte toujours son épée sur son dos.
C'est pourtant le plus fort de l'équipage.
Il est entouré de bandages à cause de son sabre.
Navire : Death Card
Prime:
Fruit du Démon:
Dials:
Techniques:
Armes : Namida : Lame maudite noire, représentée dans le dos de Shaka à sa description physique. Taille, 2 mètres
Namida est un nodachi noir qui est entourée de petites lames (nommées "Les Larmes" ) qui peuvent s'attacher et se détacher de l'épée grâce à des aimants occultes qui ne réagissent qu'à elle, elles doivent restés à un périmètre de 3 mètres autour de la lame pour se recoller ils restent à terre. Shaka joue sur le temps qu'elles ont pour se recoller et fait des mouvements rapides pour qu'elles se suivent jusqu'à ce qu'elles se recollent. Si la lame se retrouve "nue" (cela fait un nodachi ) Shaka ne peut combattre que 5 minutes sinon il s'évanouie, cela cause aussi des séquelles sur son corps, si il porte des bandages c'est du à son entrainement pour augmenter le temps de 2 à 5 minutes. Il y a 20 petites lames, 10 de chaque côtés.
Namida a une conscience, elle n'apparaît qu'aux yeux de Shaka, elle est amoureuse de Shaka, sentiment réciproque, elle aime le carnage et le sang, sentiment partagé par Shaka ce qui attise sa soif. C'est à cause d'elle que Shaka a sa rétine noire.
Shaka manie Namida, il est d'une force et d'une vitesse monstrueuse, il est largement supérieur à Erin pour le combat. Il est aussi un spécialiste du corps à corps et des arts martiaux.
Techniques à mains nue = sans couleur
Techniques avec Namida complète ou avec des petites lames = noir
Techniques avec Namida "nue" = indigo
Hand Sonic : Met sa main comme une épée et transperce son adversaire avec.
Pluie de désespoir : il donne un coup d'épée dans le vide, il détacha en même temps 5 petites lames qui foncent vers la direction indiquée.
Larmes noires : Il décolle 3 Larmes, il fonce et attire les trois Larmes, il tranche l'adversaire et les Larmes qui suivent aussi avant de se recoller sur l'épée.
Lune de désespoir : il donne un puissant coup d'épée dans le vent ce qui crée un tranchant d'air très puissant.
.
.Fiche non à jour, transférée sur la première
Nom: ???
Prénom: Shaka
Surnom: Le Chaotique
Sexe: Masculin
Age: 20 ans
Race: Humain
Métier: Second
Grade:
Histoire: Shaka considère sa vie comme une chute. Il est né enfant des rues, allait à une école minable, son corps frêle faisait de lui un bouc émissaire. Il n'était pas heureux de cette vie mais essayait de survivre.
À 15 ans, il se fit enlevé par la Marine pour qu'il devienne un soldat, cela ne le dérangeait plus que ça. Il s’entraînait, il commença à devenir fort, de plus en plus fort, mais cette vie ne lui plaisait pas.
À 17 ans, il tua un de ses camarades à l'entrainement, sans faire exprès, tout le monde était étonné, ils pensaient que c'était un accident. Ses supérieurs comprirent qu'il l'avait tué par sa force, ils commencèrent à le craindre. Shaka lui n'était pas choqué de tuer un humain, il n'était ni heureux ni triste. Il avait toujours sur sa main une trace du sang de son adversaire. Pour l'enlever il la lécha, tout à coup il eut une sensation, la première de sa vie, il aimait ce gout, le sang... était délicieux.
Il entendit tout à coup une voix, il descendit les étages du QG où il était et tomba sur une cellule, la cellule ne contenait personne, elle contenait... une épée. Une immense épée noire, c'était une sorte de nodachi noir avec un début de pommeau en dragon, une multitude de petites lames qui entouraient de chaque côtés le nodachi ce qui lui donnait un air d'épée géante.
Il ouvrit la porte, et dès qu'il toucha l'épée il vit une femme, une jeune femme, incroyablement belle, la peau mate, les yeux avec la rétine noire et des drôles de marques noires sur son visage, elle avait 2 ailes d'ange noires.
??? : "Toi.. Tu es celui que j'attends ! "
Shaka : "....Qui es-tu ?"
??? : "Je suis l'épée maudite Namida (trad : Larme ), je ne peux être vu que par celui qui pourra me libérer et me contrôler... Tu es celui -ci, tu seras mon adoré ! Tu réponds à mes attentes ! On a quelque en commun."
Shaka : "C'est quoi tes attentes ?"
Namida : "Je cherche un homme qui parait faible, qui se cache.. Alors qu'il est fort, et... On a tout les deux la soif du sang. Libère-moi, ensemble nous nous nourrirons ! "
Shaka fut intéressé par cette offre, cette femme, même si elle représentait une épée l'attirait, et elle voulait ce que Shaka aimait, le sang.
Il libéra l'épée et fit un carnage resté dans les annales des Marines.
Namida : "Tu deviendras le roi à la place des rois ! Mon Shaka ! "
Shaka commença son voyage à travers le monde, en étanchant sa soif de sang et celle de son épée.
Description psychologique : Shaka est impitoyable, sanglant et antisocial. Il ne montra jamais ses émotions. Il aime le sang, quand je dis aimer c'est adorer, il peut tuer des dizaines de personnes pour boire leur sang. C'est en partie à cause de son épée, mais il aime vraiment le gout du sang. Il ne s'énerve jamais, il garde toujours son air clame et effrayant, quasiment rien ne peut le faire sortir de ses gonds, il pourrait perdre il s'en fiche. Il n'aime pas les groupes car il était souvent exclu de ses derniers, sauf l'équipage qui lui permet d'être lui-même tout en l'acceptant.
Description physique : Shaka est moyennement grand, 1m75. Il a des yeux jaunes, la rétine de ses yeux est noire au lieu d'être blanche. Il porte sur lui des bandelettes, il a une épaisse touffe rouge de cheveux. Il est fin. Mais malgré son apparence il est très fort. Il porte toujours son épée sur son dos.
- Spoiler:
Dessiné par moi même
C'est pourtant le plus fort de l'équipage.
Il est entouré de bandages à cause de son sabre.
Navire : Death Card
Prime:
Fruit du Démon:
Dials:
Techniques:
Armes : Namida : Lame maudite noire, représentée dans le dos de Shaka à sa description physique. Taille, 2 mètres
Namida est un nodachi noir qui est entourée de petites lames (nommées "Les Larmes" ) qui peuvent s'attacher et se détacher de l'épée grâce à des aimants occultes qui ne réagissent qu'à elle, elles doivent restés à un périmètre de 3 mètres autour de la lame pour se recoller ils restent à terre. Shaka joue sur le temps qu'elles ont pour se recoller et fait des mouvements rapides pour qu'elles se suivent jusqu'à ce qu'elles se recollent. Si la lame se retrouve "nue" (cela fait un nodachi ) Shaka ne peut combattre que 5 minutes sinon il s'évanouie, cela cause aussi des séquelles sur son corps, si il porte des bandages c'est du à son entrainement pour augmenter le temps de 2 à 5 minutes. Il y a 20 petites lames, 10 de chaque côtés.
Namida a une conscience, elle n'apparaît qu'aux yeux de Shaka, elle est amoureuse de Shaka, sentiment réciproque, elle aime le carnage et le sang, sentiment partagé par Shaka ce qui attise sa soif. C'est à cause d'elle que Shaka a sa rétine noire.
Shaka manie Namida, il est d'une force et d'une vitesse monstrueuse, il est largement supérieur à Erin pour le combat. Il est aussi un spécialiste du corps à corps et des arts martiaux.
Techniques à mains nue = sans couleur
Techniques avec Namida complète ou avec des petites lames = noir
Techniques avec Namida "nue" = indigo
Hand Sonic : Met sa main comme une épée et transperce son adversaire avec.
Pluie de désespoir : il donne un coup d'épée dans le vide, il détacha en même temps 5 petites lames qui foncent vers la direction indiquée.
Larmes noires : Il décolle 3 Larmes, il fonce et attire les trois Larmes, il tranche l'adversaire et les Larmes qui suivent aussi avant de se recoller sur l'épée.
Lune de désespoir : il donne un puissant coup d'épée dans le vent ce qui crée un tranchant d'air très puissant.
Dernière édition par kurotsu of mist le Mer 3 Juin - 10:50, édité 1 fois
kurotsu of mist- Nyan-cat
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Personnage annulé ! (Vous pouvez la considérer comme morte.)
Dernière édition par kurotsu of mist le Dim 26 Avr - 14:14, édité 5 fois
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Alors Kuro' pour ta dernière perso', trois éléments principaux à modifier:
- Le premier concerne l'histoire. On reste sur un forum tout public donc essaie de te modérer dans tes paroles, par exemple limite son "viol" (déjà que je trouve ça assez chaud) résume le en une toute petite et minuscule phrase, pas besoin de rentrer dans les détails. Un truc du genre "le parrain profita d'elle" suffira largement, surtout que j'trouve déjà cette petite phrase limite à faire passer... C'est pas un reproche mais on a quand même des règles à faire respecter et nous sommes sur un forum tout public.
- Vu justement qu'on est sur un forum tout public tu pourras aussi modifier son but, un truc du genre "rencontrer l'homme de sa vie" suffira largement aussi pas besoin d'étaler ses pulsions aux yeux de tous
- Pour l'hypnose, à la limite vu que je suis un peu pour les perso' non utilisateurs de FDD qui restent originaux je serais pour. Par contre pour le rendre plus crédible, essaie de te baser sur une sorte de poison par exemple, qui pourrait être administré par le trident. Le poison rendrait les paroles de ta perso' très "crédibles" et perturberait donc l'adversaire. Mais ça resterait quelque chose de très limité, par exemple que ton adversaire croit qu'il y a plus que deux balles je veux bien, mais qu'il croit avoir une autre personne en face de lui non. Et bien sûr ça rendrait l'histoire des yeux non crédible... Enfin j'te laisse voir si l'idée t'intéresse ou pas.
Comme d'hab quand tout ça est bon repasse sur l'état perso'.
EDIT: Pour la partie de l'histoire j'ai édité le dernier détail qui pour moi ne passait pas (et encore j'continu de trouver ça limite...), toujours au même passage, si ça te va vraiment pas tu peux toujours re-modifier.
Sinon ça sera bon...
EDIT 2: C'est bon tout est ok.
Par contre je le précise quand même, toutes les techniques que tu utilises avec l'hypnose doivent apparaitre dans ta fiche perso' et être validées par un modo, même les plus communes. Histoire qu'on se retrouve pas avec des trucs hors de contrôle en aventure
Personnage Validé
- Le premier concerne l'histoire. On reste sur un forum tout public donc essaie de te modérer dans tes paroles, par exemple limite son "viol" (déjà que je trouve ça assez chaud) résume le en une toute petite et minuscule phrase, pas besoin de rentrer dans les détails. Un truc du genre "le parrain profita d'elle" suffira largement, surtout que j'trouve déjà cette petite phrase limite à faire passer... C'est pas un reproche mais on a quand même des règles à faire respecter et nous sommes sur un forum tout public.
- Vu justement qu'on est sur un forum tout public tu pourras aussi modifier son but, un truc du genre "rencontrer l'homme de sa vie" suffira largement aussi pas besoin d'étaler ses pulsions aux yeux de tous
- Pour l'hypnose, à la limite vu que je suis un peu pour les perso' non utilisateurs de FDD qui restent originaux je serais pour. Par contre pour le rendre plus crédible, essaie de te baser sur une sorte de poison par exemple, qui pourrait être administré par le trident. Le poison rendrait les paroles de ta perso' très "crédibles" et perturberait donc l'adversaire. Mais ça resterait quelque chose de très limité, par exemple que ton adversaire croit qu'il y a plus que deux balles je veux bien, mais qu'il croit avoir une autre personne en face de lui non. Et bien sûr ça rendrait l'histoire des yeux non crédible... Enfin j'te laisse voir si l'idée t'intéresse ou pas.
Comme d'hab quand tout ça est bon repasse sur l'état perso'.
EDIT: Pour la partie de l'histoire j'ai édité le dernier détail qui pour moi ne passait pas (et encore j'continu de trouver ça limite...), toujours au même passage, si ça te va vraiment pas tu peux toujours re-modifier.
Sinon ça sera bon...
EDIT 2: C'est bon tout est ok.
Par contre je le précise quand même, toutes les techniques que tu utilises avec l'hypnose doivent apparaitre dans ta fiche perso' et être validées par un modo, même les plus communes. Histoire qu'on se retrouve pas avec des trucs hors de contrôle en aventure
Personnage Validé
Mam'Rik- Roi Lion
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Nom: De son vrai nom Targaryen, Korhakos sinon
Prénom: Drhaenys
Surnom: "Puppets' Master"
Sexe: Masculin
Age: 15 ans
Race: Ange aux ailes noires
Métier: Charpentier, Chirurgien
Grade:
Histoire: C'était il y a des centaines d'années et des centaines d'années. Près du Cap des Jumeaux. Une immense île céleste, presque un continent faite de terre prônait dans les cieux. Mais un jour, cette partie de GrandLine subit le FallenWind. Un caprice de la nature du même genre que le Knock-up-stream, un immense vent, une sorte de tornade pouvant aller aussi haut que cette île. Ce terrible vent rencontra donc notre île et l'emporta sur la Mer Bleue. Ne laissant que peu de survivants, mais 7 grandes familles de guerriers, comparables à des chevaliers, de l'île, qui se distinguaient par leur couleur de leurs ailes (typique de cette île céleste que les ailes aient des couleurs différentes), décidèrent de changer leurs manières de vivre avec ce nouveau départ sur la mer bleue. Ces familles divisèrent l'île en 7 parties, chacune dirigée par une famille. Tout le monde était content, que ça soit le peuple ou les familles. Mais 40 ans après, les Lyonistras, aux cheveux et ailes d'or avec comme symbole le Lion Céleste, redoutable créature, décidèrent d'avoir plus que leur part. Ils envahirent le territoire des beaux anges de la famille Rytell, aux ailes ayant des reflets verts élégants et au blason de rose des nuages, connue pour osn poison, et se proclamèrent dirigeants de l'île, qu'ils allaient aussi asservir les 5 familles restantes.
Ces dernières firent un conseil de guerres, à la demande des Targaryens, anges aux ailes rouges et noires dont le dragon et la vouivre représentent. Cette famille était respectée, car juste et puissante, leurs plus proches amis, tout aussi puissants et dont l'honneur valait plus que la vie, les Korhakos, dont les ailes étaient teintées du noir jais et dont le symbole était le corbeau, accoururent aussitôt. Suivirent les Thonaraéon, aux ailes blanches avec leur symbole d'un ange armé d'une lance, les Starks (Winter is coming ), ailes grises avec comme emblème le seul loup qui avait été vu sur les îles célestes tueur impitoyable que seul cette maison de guerriers réussit à tuer au prix de grands efforts, et la famille Jeylnerd, ceux uqi avaient réussi à savoir naviguer sur cette Mer Bleue le plus vite possible, ils ont fait du requin leur blason et leurs ailes étaient bleues claires.
Ce fut le plus grand rassemblement de guerriers sur cette île/continent, ils menèrent l'assaut contre les Lyonistras, le soulèvement fut mâté. Puis, toutes les familles, à l'exception de celle concernée, votèrent, elles votèrent qu'il fallait un dirigeant pour ce pays, bien sûr sans détruire le principe des familles. Ce dirigeant devait être un Targaryen selon l'avis de tous les alliés. Cette famille fut élevée au pouvoir et fut comme tout le monde l'attendait, juste et forte. Tellement forte que le Gouvernement Mondiale ne voulait jamais avoir à faire avec ce continent à part pour le commerce.
Ce continent évolua, les méthodes de guerres s'améliorèrent, la végétation repoussa, des climats différents s'installèrent sur l'île, chacune des familles en adopta un. D'autres familles se créèrent. Des rébellions passèrent, comme celles des Greys, association des bâtards de la maison Stark, Korhakos, et Targaryen. Même si on raconte que le plus proche fils du dirigeant de cette époque, un bâtard des Targaryen et des Korhahos faisait parti de ce complot et avait pris la fuite.
Les ailes commençaient à disparaître, quand un enfant naissait avec des ailes d'ange, c'était un magnifique présage. Mais ce fut de plus en plus rare. Seul dans la maison Targaryen, les enfants avaient toujours des ailes, pas par inceste, mais car leur sang était toujours le plus fort. Et à chaque fois, ces enfants faisaient de grandes choses.
Sauf qu'un jour, 600 ans après la décision de mettre les Targaryens au pouvoir, 3 enfants furent nés. Deux d'entre-eux avaient des ailes, pas le troisième. Mais ce troisième était l’aîné, donc l'héritier. Chacun avait un mauvais pressentiment quand il monta sur le Trône. Et ils eurent raison. Cet homme, Jyareys, était cruel, sadique et surtout fou. Il devint un tyran, détruit le peuple, obligeait à son frère et à sa soeur de obéir à chacun de ses ordres les plus cruels, massacra en premier ses plus proches alliés, les Korhakos, grande famille influente du Nord, qui en ressortit brisée. Les familles, à leur tête le jeune chef des Tonaraéons, qui développa une haine immense envers les Targaryens. La rébellion triompha, les Targaryens tués jusqu'au dernier, non, pas tous, la plus jeune soeur, âgée de 10 ans du tyran avait survécu, grâce au jeune Ser Eyron Korhakos qui, sur le compte de l'honneur immense qui régissait cette famille du Nord, l'épargna et la fit fuir, ne tuant pas les femmes aussi jeunes et innocentes qu'elle.
Le chef Tonaraéon monta sur le Trône, furieux que cet fille se soit enfuie, il priva cette maison beaucoup de ses terres et de son influence alors que l'assaut des Targaryens était toujours douloureux. Mais ils ne se plaignirent pas et acceptèrent cette situation.
Vingt ans plus tard, Eyron Korhakos régnait toujours sur sa petite montagne du Nord, sans se plaindre de tous les désastres que la vie lui apportait. Sa femme était morte avec son second enfant, son premier était trop faible pour régner, il était mort il y a quelques mois d'une tuberculose. Mais il restait un bon dirigeant de ses fiefs et restait dur, rigide.
Un jour, une femme toqua à la porte de son château, il vint l'ouvrir en personne, estimant qu'écouter osn peuple était la seule chose qu'il pouvait faire lui même. Et là, sur son seuil, il vit un enfant, un enfant frêle mais énergique de deux/trois ans. Et cet enfant, avait des ailes noires.... Mais quelques de ses plumes étaient rouges foncées, mais pas grave, la plupart était noir, comme un corbeau ! Il serait le prochain dirigeant des Korhakos, et il serait fort, oui, il a des ailes.
Ce petit garçon n'avait pas de souvenirs de sa mère mais il était mature, droit et accepta les devises de la maison Korhakos avait facilité et plaisir.
Il était studieux mais son physique frêle et assez féminin l'empêchait d'être un vrai chevalier. Mais il savait faire de très bons plans, pendant un cours, il a même refait le plan d'attaque d'une famille uqi avait échoué sans une conquête. Mais une facette de la personnalité de Drhaenys était quelque peu bizarre. Il aimait "réparer", dans tous les sens du terme, de façon manuelle ou morale. Dans ces cas-là on aurait vraiment dit un enfant, car il parlait de façon enfantine, et comme un enfant, il ne lâchait pas l'affaire, il ne supportait pas qu'une chose reste "brisée". Cela amusait son "père" avec qui il entretenait une forte relation de respect et de confiance. Mais les hommes ne sont pas éternels, Eyron ne fit pas exception à la règle. Il s'affaiblissait et un jour, sur ce uqi allait être dans 2 semaines son lit de mort, il avoua quelque chose à son fils. Que dès l'arrivée de celui-ci, Eyron avait fait des recherches pour connaître son origine, car il n'était pas son fils par la chair, même s'il l'était de l'âme. Il donna comme seul indice l'adresse d'une chambre du château souterrain, duquel notre jeune héritier de 13 ans n'avait jamais entendu parler.
Il s'y rendit et découvrit une servante qu'il avait déjà aperçu de vue. Elle avait la quarantaine, avait de longs et élégants cheveux blancs/argentés et ses yeux étaient mauves. Mais ce qui le frappa fut sa paire d'ailes rouges. Cette personne... était sa mère, qui ne s'était jamais enfui, Eyron avait fait de ce château son refuge. Il apprit qu'il était un Targaryen, l'héritier du Trône de ce pays. Mais il lui demanda juste son prénom, il voulait savoir comment sa mère l'avait appelé.
"Drhaenys."
Après quelques bavardages émotifs ils se quittèrent. À la demande de Drhaenys, assez précipitamment. Il décida de se diriger vers les tombes de sa famille d'accueil. Et il les regarda, pendant 3 heures, inquiet, son père avait dépêché son maître d'armes. Quand il aperçut le jeune homme en train de réfléchir il lui fit signe de le suivre maintenant qu'il connaissait la vérité. Ce qu'il fit, arrivant dans la chambre de son père il dit juste:
"Je deviens Drhaenerys maintenant, c'est comme ça que je suis né, je ne changerais pas ce prénom. Mais ce nom... Vous m'avez élevé, vous m'avez appris les codes de la famille, je reste un Korhakos. "
Il resta à méditer dans son château du Nord. Le problème était que les murs ont des oreilles, et ce qu'elles ont entendu est tombé à un conseil du Roi. Dès qu'il apprit qu'un héritier des Targaryens vivait encore, il leva une armée en secret et la lança vers le Nord.
L'alerte fut donné à un petit matin, trop tard. Les soldats se ruèrent dans le château et tuèrent. Les servantes, les paysans venus faire des réclamations, les chevaliers, son père, juste avant d'être transpercé, cacha Drhaenys dans les tombeaux de la famille. De sa cachette dans le noir, il entendit chaque coup d'épée, chaque mort, chaque bruit qu'une lame faisant en s'enfonçant dans un corps. Mais il resta, presque sur le point de pleurer.
Quand il sortit, il n'y avait personne, le château était tombé, des cadavres jonchaient sous les ruines. Il observa avec peur, avec effroi les visages de ceux qu'ils connaissaient depuis toujours. Puis il sentit une tête sous son pied, il regarda et vit les traits de la personne qui, quelques jours avant, s'était présentée comme sa mère, juste à côté, son père, il tentait de protéger la jeune femme. L'épée familiale avait disparu. Mais il s'en fichait, Drhaenys hurlait, comme un enfant, il disait qu'il allait les soigner, les revoir, qu'ils ne pouvaient pas partir comme ça.
Après s'être repris, il vit le guerrier des Tonaraéons sur un drapeau qui plombait au-dessus des ruines. Juste à côté, se tenait celui du Gouvernement Mondial, dont un accord venait d'être signer avec le royaume pour pouvoir le renforcer militairement, les Korhakos en ont fait les frais.
-Je réparerais l'honneur des Korhakos, des Targaryens, je me vengerai. Je ne vivrais que pour me venger et pour l'honneur ! Pour réparer tout ce qui est détruit pour notre famille.
Description physique: Drhaenys est un jeune garçon, à l'allure assez féminine (longs cils, peu de pilosité), frêle et petit (1m46) malgré osn appartenance aux Targaryens. En physique, il ressemble à Ciel Phantomhive. > Il a un oeil d'un magnifique bleu, pas un bleu "froid", "bâtard" comme Erin. Il a perdu son autre oeil en combattant un guerrier aux cheveux rouges nommé Shaka contre lequel il tient une terrible rancoeur. Ses cheveux sont bleus/verts foncés. >Bref il ressemble un peu à ça
2ème cycle : Il n'a pas changé vraiment en deux ans, Erin a en plus souvent tendance à l'embêter avec ce point.
Il porte souvent des vêtements assez chics, souvent bleus ou verts.
Ses deux ailes sont noires comme la nuit, quelques plumes sont en revanche rouges sombres.
Description psychologique: Calme, il peut perdre contenance facilement comme un enfant et utilise toujours en public (c'est à dire quand il y a présence d'une personne étrangère à l'équipage) le dialecte de son île, un langage chevaleresque et de temps en temps pompeux qui a tendance à attirer l'attention sur lui mais pas forcément pour de bonnes raisons mais il ne se rend jamais compte du ridicule de la chose. Jeune, il a tendance à s'énerver assez vite, surtout à cause des blagues et autres réactions d'Erin : celui-ci en fait alors sa cible préférée de taquinerie. Il est le plus "normal" de l'équipage.
Mais des fois, il est stoppé par son sens de l'honneur, que son père a aiguisé chaque année de sa vie. Il peut montrer énormément d'honneur dans des situations improbables, ça le prend comme ça. Donc il a des remords pour ses méthodes assez "noires" mais se reprend pour sa famille.
Sa personnalité a une facette spéciale, il a une fixation sur "réparer". Il aime, adore "réparer", de façon manuelle sur des choses en fers, en bois ou mêmes "réparer" des humains comme un médecin. Il a de très bonnes connaissances en médecine. Mais aussi sur le plan moral, il veut "réparer" l'honneur de sa famille, "réparer" psychologiquement des personnes. Quand il répare, il parle et ressemble à un enfant innocent. Il est très habile de ses mains et cherche toujours des pièces pour ses futures créations, que ça soit dans des magasins que sur des cadavres.
2ème cycle :
Il continue toujours à parler de façon vieillotte et à s'énerver rapidement devant les remarques cyniques d'Erin. Il est sinon, soucieux, poli et sérieux. Déterminé à "réparer" son capitaine et l'équipage, il est prêt à sauter sur n'importe quelle chose pour attirer l'attention d'Erin et avoir de l'action... Ce qu'il regrette des fois car ça les emmène bien loin.
Il est inquiet de la santé de son capitaine et est sou_vent abattu lorsque celui-ci sort une vérité pessimiste.
But: "Réparer" l'honneur de sa famille. Retrouver Stormbringer, la première épée de la maison Korhakos. Et pouvoir un jour savoir "réparer" une vie brisée.
Navire : n/a
Prime:
Aventures:
Fruit du Démon: n/a
Dials: Pas pour le moment.
Armes: C'est un marionnettiste, il attache des fils de fer résistants, qui ne peuvent se plier, aux membres de ses marionnettes pour les bouger avec ses doigts. IL peut pousser et tirer grâce à la résistance des fils qui ne peuvent se plier. Ce qui permet à la marionnette de faire des gestes précis mais Drhaenerys doit conserver une certaine distance avec elle, car les fils ne se pliant pas ne peuvent pas permettre de se rapprocher sans faire avancer la marionnette (il est à une distance de deux/trois mètres de ses marionnettes). Bien sûr, les fils ne sont pas à la même longueur pour chaque membre attaché selon le type de mouvement prévu pour le membre. Il se déplace aussi beaucoup pour permettre à ses marionnettes de bouger rapidement sur des longues distances.
Pour ses marionnettes, il utilise des matériaux légers, du bois léger, pour les lames, un métal léger, il peut utiliser des os, que ça soit d'animaux ou d'humains. car selon lui, quand il est mort, le corps humain est un matériau comme un autre.
Dans chacune de ses marionnettes, il y a une réserve de poudre, sur les fils de Drhaenys il y a un mince film inflammable. Il a toujours un briquet sur lui. Les armes blanches des marionnettes ne sont pas empoisonnées (il inventera une marionnette "poison plus tard" ) mais il les crée de façon à ces que sur les lames des petites dents en métal incurvées vers l'arrière puissent arracher le maximum de chair.
On peut classer ses marionnettes en deux parties. Les "éphémères", ce sont des petites qui sont toutes en bois et dont le but est de foncer sur l'ennemi pour exploser. Elles ressemblent souvent à des petits animaux ou des insectes et sont souvent colorées de façon enfantines, comme des jouets. Drhaenys n'a besoin que de ses cinq doigts pour les contrôler.
Après il y a ses marionnettes principales. Il peut les déplier assez souvent, que ça soit pour ses combats ou pour la vie quotidienne. Il habille ou colorie ces marionnettes de façon très réalistes car il veut qu'elles aient l'air le plus réaliste possible. C'est à cause de son obsession de vouloir "réparer" la vie. Ces marionnettes sont complexes à faire bouger, il utilise ses dix doigts.
Pour le moment il en a construit que deux qu'ils jugent "parfaitement opérationnels".
Khazayiox :
Cette marionnette fait 1m65 quand elle est totalement relevée. Car elle a toujours les jambes pliées, des jambes semblables à celles des sauterelles. Il peut faire des bonds immenses car Drhaenys a installé des sortes de ressorts prévus à cet effet. Il possède des "ailes" de tissus qui ressemblent à celles d'une libellule. Son crane est comme celui du monstre d'ALien. Une bouche avec des crocs de tigre à dents de sabre mais il a des yeux (deux grosses ouvertures peintes en vertes). Il a des bras de mantes religieuses, avec des lames c*nçues avec la technique citée ci-dessus, ces bras ont aussi des sortes de ressorts pour pouvoir leur donner de la puissance. Malgré que l'on voit les rotules aux coudes, aux genoux ou au cou, la peinture violette mélangée avec ses deux yeux verts clairs le rendent très vivant. Il le sort parfois pour faire une sorte d'animal de compagnie.
Hedge Korhakos, surnommée "Le Pantin Pourpre" : Sa marionnette favorite.
Marionnette humanoïde, faisant 1m70. Il est léger car très vide. Il peut être pris pour un humain car il porte un masque blanc avec deux fentes noires qui sert d'yeux avec juste un trait un milieu et un long manteau rouge déchiré à capuche (capuche tout le temps sur sa tête) qui recouvre tout son corps. Il n'a qu'un seul bras, entièrement noir. Son corps ressemble à un squelette très résistant, il a des jambes ressemblant aussi à celles d'un squelette et porte des bottes, tout son corps est peint en noir. Il est composé en entier d'os humains, des os de son père. Il fait combattre cette marionnette avec la seconde épée de la maison Korhakos, Lame d’Ébène. Sur le dos d'Hedge, se trouve l'emblème de la maison Korhakos. Selon Dhranys, Hedge représente le chevalier qu'il devait être mais n'aurait jamais pu devenir dû à son corps frêle.
Dhraenys replie Hedge que très rarement. Malgré le fait que "ça lui épuise les doigts", il l'utilise comme une sorte de majordome, il lui parle de temps en temps et lui fait faire des signes pour qu'Hedge lui donne un semblant de réponse. C'est sa seule marionnette qu'il n'a pas chargée de poudre.
Deimos, « Le Bourreau » :
• Surnommé comme cela avec le fait qu’il met à mort en leur coupant la tête. La sienne est ornée de pierres précieuses. Son visage est un crâne de cheval mais somptueusement ornée. Il a un superbe manteau violet. Un corps d’homme… mais sa poitrine est ouvert, au lieu d’avoir des côtes, il a des grandes aiguilles qu’il peut utiliser pour le combat. Ses bras sont des os de bœuf que Drhaenys a renforcé avec des os humains. Les jambes de Deimos sont celles d’un humain qu’il a recouvert de conservateurs naturels pour qu’elles ne pourrissent pas (même si un jour, le problème va finir par se poser). Il porte dans son dos une paire de ciseaux immense, il peut les séparer pour combattre et il s’en sert pour décapiter.
Sinon, Drhaenys l’utilise comme couturier, car il possède des ciseaux et des aiguilles plus petits.
Techniques: Avec marionnette éphémère.
Avec Khazayiox
Avec Hedge.
Kamikaze : Jette une marionnette sur l'ennemi et allume les fils pour la faire exploser.
Bond terrifiant : Il tire sur un fil qui active le ressort dans les jambes de Khazayiox ce qui le fait sauter sur l'ennemi, puis il ouvre la bouche de la marionnette pour qu'elle morde l'ennemi surpris par le bond.
Gout de la peur : il place les bras de Khazaiyox en croix juste devant l'ennemi, il tire sur un fil pour enlever les ressorts sur les bras de l'insecte/monstre en bois ce qui produit une attaque croisée pour les lames de Khazayiox sur l'ennemi.
Corbeau pourpre : Dhraenys fait tourner Hedge rapidement pour que l'ennemi soit aveuglé par le manteau rouge. Il lui fait décrire en suite une attaque surprise avec Lame d’Ébène vers le côté de droit sur visage de l'ennemi en tournant toujours.
Prénom: Drhaenys
Surnom: "Puppets' Master"
Sexe: Masculin
Age: 15 ans
Race: Ange aux ailes noires
Métier: Charpentier, Chirurgien
Grade:
Histoire: C'était il y a des centaines d'années et des centaines d'années. Près du Cap des Jumeaux. Une immense île céleste, presque un continent faite de terre prônait dans les cieux. Mais un jour, cette partie de GrandLine subit le FallenWind. Un caprice de la nature du même genre que le Knock-up-stream, un immense vent, une sorte de tornade pouvant aller aussi haut que cette île. Ce terrible vent rencontra donc notre île et l'emporta sur la Mer Bleue. Ne laissant que peu de survivants, mais 7 grandes familles de guerriers, comparables à des chevaliers, de l'île, qui se distinguaient par leur couleur de leurs ailes (typique de cette île céleste que les ailes aient des couleurs différentes), décidèrent de changer leurs manières de vivre avec ce nouveau départ sur la mer bleue. Ces familles divisèrent l'île en 7 parties, chacune dirigée par une famille. Tout le monde était content, que ça soit le peuple ou les familles. Mais 40 ans après, les Lyonistras, aux cheveux et ailes d'or avec comme symbole le Lion Céleste, redoutable créature, décidèrent d'avoir plus que leur part. Ils envahirent le territoire des beaux anges de la famille Rytell, aux ailes ayant des reflets verts élégants et au blason de rose des nuages, connue pour osn poison, et se proclamèrent dirigeants de l'île, qu'ils allaient aussi asservir les 5 familles restantes.
Ces dernières firent un conseil de guerres, à la demande des Targaryens, anges aux ailes rouges et noires dont le dragon et la vouivre représentent. Cette famille était respectée, car juste et puissante, leurs plus proches amis, tout aussi puissants et dont l'honneur valait plus que la vie, les Korhakos, dont les ailes étaient teintées du noir jais et dont le symbole était le corbeau, accoururent aussitôt. Suivirent les Thonaraéon, aux ailes blanches avec leur symbole d'un ange armé d'une lance, les Starks (Winter is coming ), ailes grises avec comme emblème le seul loup qui avait été vu sur les îles célestes tueur impitoyable que seul cette maison de guerriers réussit à tuer au prix de grands efforts, et la famille Jeylnerd, ceux uqi avaient réussi à savoir naviguer sur cette Mer Bleue le plus vite possible, ils ont fait du requin leur blason et leurs ailes étaient bleues claires.
Ce fut le plus grand rassemblement de guerriers sur cette île/continent, ils menèrent l'assaut contre les Lyonistras, le soulèvement fut mâté. Puis, toutes les familles, à l'exception de celle concernée, votèrent, elles votèrent qu'il fallait un dirigeant pour ce pays, bien sûr sans détruire le principe des familles. Ce dirigeant devait être un Targaryen selon l'avis de tous les alliés. Cette famille fut élevée au pouvoir et fut comme tout le monde l'attendait, juste et forte. Tellement forte que le Gouvernement Mondiale ne voulait jamais avoir à faire avec ce continent à part pour le commerce.
Ce continent évolua, les méthodes de guerres s'améliorèrent, la végétation repoussa, des climats différents s'installèrent sur l'île, chacune des familles en adopta un. D'autres familles se créèrent. Des rébellions passèrent, comme celles des Greys, association des bâtards de la maison Stark, Korhakos, et Targaryen. Même si on raconte que le plus proche fils du dirigeant de cette époque, un bâtard des Targaryen et des Korhahos faisait parti de ce complot et avait pris la fuite.
Les ailes commençaient à disparaître, quand un enfant naissait avec des ailes d'ange, c'était un magnifique présage. Mais ce fut de plus en plus rare. Seul dans la maison Targaryen, les enfants avaient toujours des ailes, pas par inceste, mais car leur sang était toujours le plus fort. Et à chaque fois, ces enfants faisaient de grandes choses.
Sauf qu'un jour, 600 ans après la décision de mettre les Targaryens au pouvoir, 3 enfants furent nés. Deux d'entre-eux avaient des ailes, pas le troisième. Mais ce troisième était l’aîné, donc l'héritier. Chacun avait un mauvais pressentiment quand il monta sur le Trône. Et ils eurent raison. Cet homme, Jyareys, était cruel, sadique et surtout fou. Il devint un tyran, détruit le peuple, obligeait à son frère et à sa soeur de obéir à chacun de ses ordres les plus cruels, massacra en premier ses plus proches alliés, les Korhakos, grande famille influente du Nord, qui en ressortit brisée. Les familles, à leur tête le jeune chef des Tonaraéons, qui développa une haine immense envers les Targaryens. La rébellion triompha, les Targaryens tués jusqu'au dernier, non, pas tous, la plus jeune soeur, âgée de 10 ans du tyran avait survécu, grâce au jeune Ser Eyron Korhakos qui, sur le compte de l'honneur immense qui régissait cette famille du Nord, l'épargna et la fit fuir, ne tuant pas les femmes aussi jeunes et innocentes qu'elle.
Le chef Tonaraéon monta sur le Trône, furieux que cet fille se soit enfuie, il priva cette maison beaucoup de ses terres et de son influence alors que l'assaut des Targaryens était toujours douloureux. Mais ils ne se plaignirent pas et acceptèrent cette situation.
Vingt ans plus tard, Eyron Korhakos régnait toujours sur sa petite montagne du Nord, sans se plaindre de tous les désastres que la vie lui apportait. Sa femme était morte avec son second enfant, son premier était trop faible pour régner, il était mort il y a quelques mois d'une tuberculose. Mais il restait un bon dirigeant de ses fiefs et restait dur, rigide.
Un jour, une femme toqua à la porte de son château, il vint l'ouvrir en personne, estimant qu'écouter osn peuple était la seule chose qu'il pouvait faire lui même. Et là, sur son seuil, il vit un enfant, un enfant frêle mais énergique de deux/trois ans. Et cet enfant, avait des ailes noires.... Mais quelques de ses plumes étaient rouges foncées, mais pas grave, la plupart était noir, comme un corbeau ! Il serait le prochain dirigeant des Korhakos, et il serait fort, oui, il a des ailes.
Ce petit garçon n'avait pas de souvenirs de sa mère mais il était mature, droit et accepta les devises de la maison Korhakos avait facilité et plaisir.
Il était studieux mais son physique frêle et assez féminin l'empêchait d'être un vrai chevalier. Mais il savait faire de très bons plans, pendant un cours, il a même refait le plan d'attaque d'une famille uqi avait échoué sans une conquête. Mais une facette de la personnalité de Drhaenys était quelque peu bizarre. Il aimait "réparer", dans tous les sens du terme, de façon manuelle ou morale. Dans ces cas-là on aurait vraiment dit un enfant, car il parlait de façon enfantine, et comme un enfant, il ne lâchait pas l'affaire, il ne supportait pas qu'une chose reste "brisée". Cela amusait son "père" avec qui il entretenait une forte relation de respect et de confiance. Mais les hommes ne sont pas éternels, Eyron ne fit pas exception à la règle. Il s'affaiblissait et un jour, sur ce uqi allait être dans 2 semaines son lit de mort, il avoua quelque chose à son fils. Que dès l'arrivée de celui-ci, Eyron avait fait des recherches pour connaître son origine, car il n'était pas son fils par la chair, même s'il l'était de l'âme. Il donna comme seul indice l'adresse d'une chambre du château souterrain, duquel notre jeune héritier de 13 ans n'avait jamais entendu parler.
Il s'y rendit et découvrit une servante qu'il avait déjà aperçu de vue. Elle avait la quarantaine, avait de longs et élégants cheveux blancs/argentés et ses yeux étaient mauves. Mais ce qui le frappa fut sa paire d'ailes rouges. Cette personne... était sa mère, qui ne s'était jamais enfui, Eyron avait fait de ce château son refuge. Il apprit qu'il était un Targaryen, l'héritier du Trône de ce pays. Mais il lui demanda juste son prénom, il voulait savoir comment sa mère l'avait appelé.
"Drhaenys."
Après quelques bavardages émotifs ils se quittèrent. À la demande de Drhaenys, assez précipitamment. Il décida de se diriger vers les tombes de sa famille d'accueil. Et il les regarda, pendant 3 heures, inquiet, son père avait dépêché son maître d'armes. Quand il aperçut le jeune homme en train de réfléchir il lui fit signe de le suivre maintenant qu'il connaissait la vérité. Ce qu'il fit, arrivant dans la chambre de son père il dit juste:
"Je deviens Drhaenerys maintenant, c'est comme ça que je suis né, je ne changerais pas ce prénom. Mais ce nom... Vous m'avez élevé, vous m'avez appris les codes de la famille, je reste un Korhakos. "
Il resta à méditer dans son château du Nord. Le problème était que les murs ont des oreilles, et ce qu'elles ont entendu est tombé à un conseil du Roi. Dès qu'il apprit qu'un héritier des Targaryens vivait encore, il leva une armée en secret et la lança vers le Nord.
L'alerte fut donné à un petit matin, trop tard. Les soldats se ruèrent dans le château et tuèrent. Les servantes, les paysans venus faire des réclamations, les chevaliers, son père, juste avant d'être transpercé, cacha Drhaenys dans les tombeaux de la famille. De sa cachette dans le noir, il entendit chaque coup d'épée, chaque mort, chaque bruit qu'une lame faisant en s'enfonçant dans un corps. Mais il resta, presque sur le point de pleurer.
Quand il sortit, il n'y avait personne, le château était tombé, des cadavres jonchaient sous les ruines. Il observa avec peur, avec effroi les visages de ceux qu'ils connaissaient depuis toujours. Puis il sentit une tête sous son pied, il regarda et vit les traits de la personne qui, quelques jours avant, s'était présentée comme sa mère, juste à côté, son père, il tentait de protéger la jeune femme. L'épée familiale avait disparu. Mais il s'en fichait, Drhaenys hurlait, comme un enfant, il disait qu'il allait les soigner, les revoir, qu'ils ne pouvaient pas partir comme ça.
Après s'être repris, il vit le guerrier des Tonaraéons sur un drapeau qui plombait au-dessus des ruines. Juste à côté, se tenait celui du Gouvernement Mondial, dont un accord venait d'être signer avec le royaume pour pouvoir le renforcer militairement, les Korhakos en ont fait les frais.
-Je réparerais l'honneur des Korhakos, des Targaryens, je me vengerai. Je ne vivrais que pour me venger et pour l'honneur ! Pour réparer tout ce qui est détruit pour notre famille.
Description physique: Drhaenys est un jeune garçon, à l'allure assez féminine (longs cils, peu de pilosité), frêle et petit (1m46) malgré osn appartenance aux Targaryens. En physique, il ressemble à Ciel Phantomhive. > Il a un oeil d'un magnifique bleu, pas un bleu "froid", "bâtard" comme Erin. Il a perdu son autre oeil en combattant un guerrier aux cheveux rouges nommé Shaka contre lequel il tient une terrible rancoeur. Ses cheveux sont bleus/verts foncés. >Bref il ressemble un peu à ça
2ème cycle : Il n'a pas changé vraiment en deux ans, Erin a en plus souvent tendance à l'embêter avec ce point.
Il porte souvent des vêtements assez chics, souvent bleus ou verts.
Ses deux ailes sont noires comme la nuit, quelques plumes sont en revanche rouges sombres.
Description psychologique: Calme, il peut perdre contenance facilement comme un enfant et utilise toujours en public (c'est à dire quand il y a présence d'une personne étrangère à l'équipage) le dialecte de son île, un langage chevaleresque et de temps en temps pompeux qui a tendance à attirer l'attention sur lui mais pas forcément pour de bonnes raisons mais il ne se rend jamais compte du ridicule de la chose. Jeune, il a tendance à s'énerver assez vite, surtout à cause des blagues et autres réactions d'Erin : celui-ci en fait alors sa cible préférée de taquinerie. Il est le plus "normal" de l'équipage.
Mais des fois, il est stoppé par son sens de l'honneur, que son père a aiguisé chaque année de sa vie. Il peut montrer énormément d'honneur dans des situations improbables, ça le prend comme ça. Donc il a des remords pour ses méthodes assez "noires" mais se reprend pour sa famille.
Sa personnalité a une facette spéciale, il a une fixation sur "réparer". Il aime, adore "réparer", de façon manuelle sur des choses en fers, en bois ou mêmes "réparer" des humains comme un médecin. Il a de très bonnes connaissances en médecine. Mais aussi sur le plan moral, il veut "réparer" l'honneur de sa famille, "réparer" psychologiquement des personnes. Quand il répare, il parle et ressemble à un enfant innocent. Il est très habile de ses mains et cherche toujours des pièces pour ses futures créations, que ça soit dans des magasins que sur des cadavres.
2ème cycle :
Il continue toujours à parler de façon vieillotte et à s'énerver rapidement devant les remarques cyniques d'Erin. Il est sinon, soucieux, poli et sérieux. Déterminé à "réparer" son capitaine et l'équipage, il est prêt à sauter sur n'importe quelle chose pour attirer l'attention d'Erin et avoir de l'action... Ce qu'il regrette des fois car ça les emmène bien loin.
Il est inquiet de la santé de son capitaine et est sou_vent abattu lorsque celui-ci sort une vérité pessimiste.
But: "Réparer" l'honneur de sa famille. Retrouver Stormbringer, la première épée de la maison Korhakos. Et pouvoir un jour savoir "réparer" une vie brisée.
Navire : n/a
Prime:
Aventures:
Fruit du Démon: n/a
Dials: Pas pour le moment.
Armes: C'est un marionnettiste, il attache des fils de fer résistants, qui ne peuvent se plier, aux membres de ses marionnettes pour les bouger avec ses doigts. IL peut pousser et tirer grâce à la résistance des fils qui ne peuvent se plier. Ce qui permet à la marionnette de faire des gestes précis mais Drhaenerys doit conserver une certaine distance avec elle, car les fils ne se pliant pas ne peuvent pas permettre de se rapprocher sans faire avancer la marionnette (il est à une distance de deux/trois mètres de ses marionnettes). Bien sûr, les fils ne sont pas à la même longueur pour chaque membre attaché selon le type de mouvement prévu pour le membre. Il se déplace aussi beaucoup pour permettre à ses marionnettes de bouger rapidement sur des longues distances.
Pour ses marionnettes, il utilise des matériaux légers, du bois léger, pour les lames, un métal léger, il peut utiliser des os, que ça soit d'animaux ou d'humains. car selon lui, quand il est mort, le corps humain est un matériau comme un autre.
Dans chacune de ses marionnettes, il y a une réserve de poudre, sur les fils de Drhaenys il y a un mince film inflammable. Il a toujours un briquet sur lui. Les armes blanches des marionnettes ne sont pas empoisonnées (il inventera une marionnette "poison plus tard" ) mais il les crée de façon à ces que sur les lames des petites dents en métal incurvées vers l'arrière puissent arracher le maximum de chair.
On peut classer ses marionnettes en deux parties. Les "éphémères", ce sont des petites qui sont toutes en bois et dont le but est de foncer sur l'ennemi pour exploser. Elles ressemblent souvent à des petits animaux ou des insectes et sont souvent colorées de façon enfantines, comme des jouets. Drhaenys n'a besoin que de ses cinq doigts pour les contrôler.
Après il y a ses marionnettes principales. Il peut les déplier assez souvent, que ça soit pour ses combats ou pour la vie quotidienne. Il habille ou colorie ces marionnettes de façon très réalistes car il veut qu'elles aient l'air le plus réaliste possible. C'est à cause de son obsession de vouloir "réparer" la vie. Ces marionnettes sont complexes à faire bouger, il utilise ses dix doigts.
Pour le moment il en a construit que deux qu'ils jugent "parfaitement opérationnels".
Khazayiox :
Cette marionnette fait 1m65 quand elle est totalement relevée. Car elle a toujours les jambes pliées, des jambes semblables à celles des sauterelles. Il peut faire des bonds immenses car Drhaenys a installé des sortes de ressorts prévus à cet effet. Il possède des "ailes" de tissus qui ressemblent à celles d'une libellule. Son crane est comme celui du monstre d'ALien. Une bouche avec des crocs de tigre à dents de sabre mais il a des yeux (deux grosses ouvertures peintes en vertes). Il a des bras de mantes religieuses, avec des lames c*nçues avec la technique citée ci-dessus, ces bras ont aussi des sortes de ressorts pour pouvoir leur donner de la puissance. Malgré que l'on voit les rotules aux coudes, aux genoux ou au cou, la peinture violette mélangée avec ses deux yeux verts clairs le rendent très vivant. Il le sort parfois pour faire une sorte d'animal de compagnie.
Hedge Korhakos, surnommée "Le Pantin Pourpre" : Sa marionnette favorite.
Marionnette humanoïde, faisant 1m70. Il est léger car très vide. Il peut être pris pour un humain car il porte un masque blanc avec deux fentes noires qui sert d'yeux avec juste un trait un milieu et un long manteau rouge déchiré à capuche (capuche tout le temps sur sa tête) qui recouvre tout son corps. Il n'a qu'un seul bras, entièrement noir. Son corps ressemble à un squelette très résistant, il a des jambes ressemblant aussi à celles d'un squelette et porte des bottes, tout son corps est peint en noir. Il est composé en entier d'os humains, des os de son père. Il fait combattre cette marionnette avec la seconde épée de la maison Korhakos, Lame d’Ébène. Sur le dos d'Hedge, se trouve l'emblème de la maison Korhakos. Selon Dhranys, Hedge représente le chevalier qu'il devait être mais n'aurait jamais pu devenir dû à son corps frêle.
Dhraenys replie Hedge que très rarement. Malgré le fait que "ça lui épuise les doigts", il l'utilise comme une sorte de majordome, il lui parle de temps en temps et lui fait faire des signes pour qu'Hedge lui donne un semblant de réponse. C'est sa seule marionnette qu'il n'a pas chargée de poudre.
Deimos, « Le Bourreau » :
• Surnommé comme cela avec le fait qu’il met à mort en leur coupant la tête. La sienne est ornée de pierres précieuses. Son visage est un crâne de cheval mais somptueusement ornée. Il a un superbe manteau violet. Un corps d’homme… mais sa poitrine est ouvert, au lieu d’avoir des côtes, il a des grandes aiguilles qu’il peut utiliser pour le combat. Ses bras sont des os de bœuf que Drhaenys a renforcé avec des os humains. Les jambes de Deimos sont celles d’un humain qu’il a recouvert de conservateurs naturels pour qu’elles ne pourrissent pas (même si un jour, le problème va finir par se poser). Il porte dans son dos une paire de ciseaux immense, il peut les séparer pour combattre et il s’en sert pour décapiter.
Sinon, Drhaenys l’utilise comme couturier, car il possède des ciseaux et des aiguilles plus petits.
Techniques: Avec marionnette éphémère.
Avec Khazayiox
Avec Hedge.
Kamikaze : Jette une marionnette sur l'ennemi et allume les fils pour la faire exploser.
Bond terrifiant : Il tire sur un fil qui active le ressort dans les jambes de Khazayiox ce qui le fait sauter sur l'ennemi, puis il ouvre la bouche de la marionnette pour qu'elle morde l'ennemi surpris par le bond.
Gout de la peur : il place les bras de Khazaiyox en croix juste devant l'ennemi, il tire sur un fil pour enlever les ressorts sur les bras de l'insecte/monstre en bois ce qui produit une attaque croisée pour les lames de Khazayiox sur l'ennemi.
Corbeau pourpre : Dhraenys fait tourner Hedge rapidement pour que l'ennemi soit aveuglé par le manteau rouge. Il lui fait décrire en suite une attaque surprise avec Lame d’Ébène vers le côté de droit sur visage de l'ennemi en tournant toujours.
Dernière édition par kurotsu of mist le Dim 9 Aoû - 10:34, édité 9 fois
kurotsu of mist- Nyan-cat
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
ma vision du marionnettiste est malheureusement limité par celle de Naruto.
Je vois comment pourrait marcher les mouvements de recul et de coup d'épée encore mais j'ai du mal à comprendre comment ton perso pourrait faire avancer les marionnettes, ou leur faire faire n'importe quel mouvement vers l'avant, comment leur donner un "impulsion" ?
Après bien sûr en pratique ce serait vraiment impossible dans la vraie vie mais on est dans un RPG manga alors faut faire des concessions. Tu peux le dire franchement si tu demandes à ce qu'on en fasse une là, ou alors tu essaies de m'expliquer ça.
Sinon, tu peux placer un ventio-dial ou un jet-dial ou les deux dans le dos de Hedge pour qu'il avance/fonce vers l'ennemi.
Je vois comment pourrait marcher les mouvements de recul et de coup d'épée encore mais j'ai du mal à comprendre comment ton perso pourrait faire avancer les marionnettes, ou leur faire faire n'importe quel mouvement vers l'avant, comment leur donner un "impulsion" ?
Après bien sûr en pratique ce serait vraiment impossible dans la vraie vie mais on est dans un RPG manga alors faut faire des concessions. Tu peux le dire franchement si tu demandes à ce qu'on en fasse une là, ou alors tu essaies de m'expliquer ça.
Sinon, tu peux placer un ventio-dial ou un jet-dial ou les deux dans le dos de Hedge pour qu'il avance/fonce vers l'ennemi.
Skull_joke- Admin Lama
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Je te comprends Skull. À part Naruto, on pense pas aux marionnettes dans les mangas. J'ai eu cette idée en passant devant un magasin de Noël (véridique). J'ai comblé avec toutes les idées de marionnettistes que j'ai pu trouver.
Donc je vais essayer de faire plus réaliste. Les fils sont non-pliables. Ce qui l'oblige à se déplacer constamment pour faire bouger sa marionnette. En plus, ça pourra placer son endurance dans les combats, déjà au niveau des doigts (ça doit tuer de faire bouger des personnages avec ses dix doigts quand même) et sur le total de déplacements qu'il doit faire (et accessoirement, ça me force à décrire beaucoup).
Bref. Ces changements ne sont pas validables ?
Donc je vais essayer de faire plus réaliste. Les fils sont non-pliables. Ce qui l'oblige à se déplacer constamment pour faire bouger sa marionnette. En plus, ça pourra placer son endurance dans les combats, déjà au niveau des doigts (ça doit tuer de faire bouger des personnages avec ses dix doigts quand même) et sur le total de déplacements qu'il doit faire (et accessoirement, ça me force à décrire beaucoup).
Bref. Ces changements ne sont pas validables ?
kurotsu of mist- Nyan-cat
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Personnage validé, hâte de le voir mourir néanmoins
Skull_joke- Admin Lama
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Désolé du double-post mais ça ne tenait pas en un post...
Nom: Oblige
Prénom: Arthez
Surnom: Arthez aux lettres rouges.
Sexe: Masculin.
Age: 19 ans.
Race: Humain.
Groupe/Camp: Pirate.
Métier: Cartographe, historien, écrivain.
Grade: Membre indépendant de l’équipage des Cards Games.
Histoire:
Nom: Oblige
Prénom: Arthez
Surnom: Arthez aux lettres rouges.
Sexe: Masculin.
Age: 19 ans.
Race: Humain.
Groupe/Camp: Pirate.
Métier: Cartographe, historien, écrivain.
Grade: Membre indépendant de l’équipage des Cards Games.
Histoire:
- L’enfance.:
Dans une rue tout à fait banale sur une île quelconque de North Blue, un splendide garçon naquit.
La famille élue était celle d'un petit professeur, Mr Guillemin, apprécié en ville pour son travail rigoureux et admiré pour son incroyable culture. Dans un de ses nombreux passages à la bibliothèque, il avait fait la connaissance d’Anaelle Oblige, la dernière branche d'une famille de nobles déchus. Elle avait brillé auprès de lui pour sa gentillesse, sa grande beauté et son attention pour les petits détails qui sont la quotidien de la vie en couple. Anaelle avait été séduite, elle, par l'humilité, la sagesse et l'intelligence de son mari. Cette intelligence qui le poussait toujours à discuter des moindres problèmes qui auraient pu arriver pour ainsi les éviter, qui le permettait à tenir ses classes dans le plus grand calme et qui lui donnait une immense légitimité quand il défendait un de ses chers élèves. De plus, il transmettait son savoir avec un talent fou, il était encore un des rares professeurs qui n'étaient pas là par hasard et se vengeaient sur les enfants qui ne semblaient pas vouloir coopérer avec leur malheur. Que cela soit son humeur ou les sujets abordés, il gardait toujours sa voix, cette intonation qui lui était propre et qui captivait tous ses auditeurs. Et enfin, il choisissait absolument tout comme sujet, quelque soit l'époque, même si elle était passée sous 100 ans de silence. Car il devait la Vérité à ses étudiants.
Et aujourd'hui naissait son fils. Anaelle resplendissait de joie, et Guillemin l'observait avec tendresse, malgré quelques inquiétudes intérieures qu'il fit taire sur le champ. Après avoir observé son chef-d'oeuvre, la jeune femme se tourna vers son cher et lui dit :
-Il aura ce qu'il y a de mieux en nous, je te le promets.
Et cette prière fut entendue. Car en grandissant, Arthez prenait des traits aussi fins et beaux que sa mère, ses magnifiques yeux bleus-gris la faisaient fondre à chaque fois.
Vers ses trois ans, quand elle l'eut quitté rapidement du regard durant une journée d'été banale, elle le retrouva devant un livre de son père. Il feuilletait les pages en balbutiant. Anaelle, par prudence pour le livre de son mari, avait pour idée de le reprendre gentiment et de l'occuper avec autre chose, le tout calmement pour qu'Arthez ne commence pas à pleurer. En s'approchant, des mots se faisaient de plus en plus audibles. Ce n'était pas étonnant, l'enfant commençait à parler depuis quelques mois. Mais elle fut surprise en voyant que les mots prononcés furent ceux du livre. Un immense sourire se dessina sur son visage, sa main laissa tomber son chiffon et prit son fils sur les genoux pour partager son plaisir de la lecture, ce que l'enfant apprécia aussitôt. Le bonheur de la jeune femme fut immense, elle en tirait une certaine fierté, mais ce qui la réconfortait était le sourire du garçon quand il lisait un paragraphe entier. Pourtant un doute sur ce talent soudain lui apparut. Le soir, après avoir couché l'enfant, elle attendit son mari, occupé par le trajet qui se dressait entre son lieu de travail et son foyer. Arrivé chez lui, le professeur embrassa sa femme, lui demanda les nouvelles de la journée et prit avec elle le dîner. Après quelques rapides coups d'oeil observateurs, il la coupa tandis qu'elle parlait d'une broutille :
-Qu'est ce qui ne va pas ?
Elle vit, comme à son habitude, son reflet dans les lunettes rondes de son mari, devant ces deux petits yeux perspicaces. Soupir.
-Arthez sait lire.
-Quoi ?! C'est vrai ?! Mais c'es fan... " Eructa-t-il.
-Attends ! J'espère que ce n'est pas toi qui l'as entraîné comme un singe ! Il avait beau être heureux quand on lisait ensemble, je refuse que les joies de mon fils soient crées pour en faire un modèle !
Le petit professeur se rembrunit, quitta la table tranquillement et prit un verre d'eau qu'il vida d'un trait, puis il se tourna vers sa femme, en affrontant ce regard accusateur.
-Non. C'est lui qui a commencé. Une des rares fois où je l'ai croisé, il me voyait lire un livre. Il a ensuite pointé son doigt sur la couverture, signe de curiosité. Je l'ai mis sur mes genoux avant de lui lire ce que j'avais sous les yeux. Il me l'a demandé plusieurs fois par la suite, toujours un livre différent. Mais jamais je lui ai demandé à lire, ce n'est pas un de mes élèves.
Elle le regarda profondément et dit :
-Je ne t'ai jamais demandé cela. Mais sache qu'il adore ça, donc ne lui enlève pas, il doit avoir une enfance heureuse !
Anaelle soupira et partit dans la chambre de l'enfant. Guillemin la suivit d'un regard triste, c'était la première fois qu'ils se disputaient.
Arthez fut conforté dans sa curiosité, sa soif de savoir et ses lectures par sa mère. Elle se réjouissait de voir ce petit ange aussi heureux en tournant des pages. Elle lui demandait quels livres il voulait, le laissait tranquillement dans sa chambre pendant les repas, lui apportant avec amour le sien pour ne pas le déranger. Puis il entra à l'école avec cet avantage. Les professeurs, pour l'occuper lui apprirent à écrire. Art dans lequel il excella. Sa main droite, devint rapidement habile avec une plume, les lettres qui se créaient à ses gestes étaient fines et élégantes. "Une écriture de femme" disait un instituteur à l'enseignant qui avait d'Arthez dans sa classe. "Mais une écriture riche, et une écriture ! À 6 ans ! Et il sait aussi lire. Il faut le faire passer dans une autre classe. Cela vous dérange Mr Guillemin ?". Guillemin posa son café et les regarda tristement.
-Faîtes ce que vous semblez croire bon pour lui. Je pense qu'il ne faut pas le laisser sur un piedestal.
-Mais il s'ennuie à mourir, ce gamin a votre goût et votre don pour les lettres !
Guillemin soupira et acquiesça. Il espérait que tout se passerait bien pour son fils. Et cela se passait bien, il était brillant. Il lisait en quantité, tout en étant entouré de bons amis. Un enfant qui semblait parfait. Sa mère se coupait en quatre pour lui et était heureuse en voyant son fils heureux. Son père était peu présent et quand il était là, il calmait souvent les ardeurs du jeune garçon. Mais l'entraînait toujours à plus lire et écrire.
-Il faut que tu travailles, que tu t'exerces. La réussite ne s'obtient qu'après un long travail.
Avec cette phrase, il avait terrifié Arthez qui rentrait avec un contrôle quasiment parfait. Le petit garçon venait de prendre une douche froide rien que par ces mots. Le père, voyant qu'il avait été peut-être un peu dur, lui proposa ensuite de venir chercher un nouveau livre, la tristesse fondit comme neige au soleil.
Le garçon prit de l'envergure avec un peu d'âge. De mignon il passa à magnifique. Sa culture et son talent fleurirent à la même vitesse. Il attirait la sympathie de tout le monde, par ses compositions, son esprit agile et ses opinions. Car le jeune homme défendait la cause de l'égalité dès qu'il avait mis le pied dans la connaissance de l'échelle du pouvoir. Il avait lu les livres des gagnants de l'Histoire, encore et encore, écoutait les témoignages des perdants dans sa petite ville. Les pages de la Gazette des Mouettes filaient sous ses doigts. Ces pirates, les actes de la Noblesse, les révolutions dans d'autres pays... Plus que les événements en eux-mêmes, il voulait savoir les causes, les composantes profondes. Puis au fur et à mesure, il se forgea l'idée que les changements radicaux en faveur des plus faibles, du plus grand nombre, se devait pas se faire dans la révolution aveugle. Car dans ces soulèvements se trouvent toujours des dominants qui prendront le pouvoir à la place de ceux qui contrôlaient. Il y avait une autre voie, le dialogue. Un dialogue forcé car le plus grand nombre réussirait à forcer, à accabler les dirigeants pour que ceux-ci puissent les entendre. Arthez se plongea dans une réflexion et une recherche assidue pour trouver des solutions concrètes.
Il travailla encore et encore sur le sujet, avec la rigueur que son père lui avait transmise, et la terrible réponse, la terrible conclusion était qu’il n’y en avait pas de rapide, qui apportait une reconnaissance immédiate. Ce combat pour une utopie qui était plus difficile encore que faire la révolution l’effraya, sa vie risquait de passer sous ses yeux sans voir le moindre résultat s’il y allait par une voie tranquille. En publiant gentiment ses connaissances après un travail acharné, son combat pouvait être repris mais lui sombrerait dans l’ignorance, sans jamais s’être démarqué dans l’Histoire. Même si le jeune homme croyait dans ses idées et était prêt à se sacrifier pour, il ne supportait pas de finir dans l’ignorance. Il voulait écrire, se battre pour sa vision plus égale du monde et être reconnu pour ça. De toute façon, il devait avoir un petit talent pour que son entourage entier l’idole… Même son père lui lâchait des compliments. Ils comprendraient, surtout lui. Il comprendrait la nuance de l’idée qui venait de germer dans son esprit.
« Journaliste ? »
Arthez hocha la tête, tout sourire après avoir commencé à expliquer son idée. Il pourrait ainsi faire réfléchir les gens plus vite, ses recherches seront sérieuses pour qu’il puisse prouver que…
« T’es un con. »
La remarque tomba ainsi, implacable, comme la guillotine sur le cou d’un condamné, mais au lieu de laisser un temps de réponse à son fils, le professeur lâcha à la vitesse d’une balle :
« T’es un con.
Plutôt que faire quelque chose de propre avec tes mains, tu vas prostituer ton talent. Le tuer dans l’œuf et emmerder le monde, tromper les gens et faire partie de ceux que tu dénonces. Tout ça à cause d’une impatience, d’une vanité juvénile. Oublie ça. »
Une douche froide, violente, qui, plutôt que d’alerter le jeune homme, mis en chaleur ses hormones. Qu’est ce que ce vieux croûton y connaissait ?
« C’est sûr que c’est facile de dire ça pour toi ! Tu es reconnu par tes élèves, mais moi je ne me contenterai pas de gamins dans un patelin ! Ton talent est immense, pourtant tu le gâches dans ton petit plaisir égoïste alors que tu pourrais redorer la gloire de Maman avec ! Sale lâche ! »
Les petits yeux de Guillemin lançait un regard triste à travers ses lunettes, son air désolé alarma pendant une fraction de seconde le fils, l’avertissant de tous les dangers qu’il allait rencontrer et ne voulant pas le perdre dedans. Mais il chassa sa compassion et sa pitié, préférant résister, se dire que son père n’avait rien compris. Il ouvrit la bouche mais fut coupé par un :
« Tu ne comprends donc rien. »
Le vieil homme se tut, baissa les yeux et reprit son livre. Laissant son fils ébahi, seul avec sa colère, comme si il était devenu une statue devant son livre. Et c’est cette image qu’Arthez garda de son père lorsqu’il claqua la porte de la maison une heure ensuite, avec sa mère bien aimante en larmes. Certaines perlaient sur sa propre joue… Mais il se rachèterait, il lui donnera la gloire qu’elle mérite. Il avait sa plume, son petit sac et sa tête pour ça.
- Le Journaliste:
Mais par où devait-il commencer ? Lire, s’informer lui semblait une bonne chose !
Il connaissait l’actualité, l’Histoire, les grands penseurs. Mais pas ceux qui faisaient sensation… Ou plutôt, comme lui, ceux qui partent de rien, qui sont contre la doxa dominante. Qu’importe leur ligne si elle est bien construite, il verrait la méthode et l’appliquerait pour ses idées. Après avoir pris un bateau pour quitter son île, il emménagea à la capitale de la région. Une magnifique ville remplie d’activité, de bruit, de charme avec de magnifiques châteaux de cristal en son centre, la noblesse comme les gens de bien marchaient heureux, tandis que dans leur dos, d’autres travaillaient, s’épuisaient et dormaient dans des quartiers plus sales, basés sur un ancien marécage. Ces coins en avaient même gardé le nom, le Quartier du Marais. Il alla bien sûr là-bas, pour se sentir plus proche de ceux qu’il voulait défendre, les estropiés de l’Histoire. Et puis sa bourse ne se constituait pas de grand-chose. Avec ceci il s’installa dans une petite chambre sympathique, avec une pleine vue sur le café du quartier populaire ce qui lui permettrait de manger facilement et d’avoir une excellente preuve du type d’organisation social auquel il souhaitait mettre fin.
Il descendit directement après avoir rangé ses affaires, la librairie l’attendait. Elle était, petite, modeste, quasiment miteuse mais le savoir, la culture présente en ses murs était presque palpable. Les livres présents n’étaient pas forcément connus disait le libraire, mais ils sont essentiels. Arthez déambula longtemps dans les rayons, sans trop savoir quoi prendre… Plusieurs titres semblaient intéressants, venaient d’auteurs connus dont l’opinion plaisait au jeune homme. Mais il secoua la tête, il voulait quelque chose de nouveau, quelque chose qui pourrait l’emballer, qui pourrait faire avancer sa réflexion. Son regard s’arrêta sur un petit pavé d’environ 500 pages, cela se nommait « L’échelle », écrit par un parfait inconnu nommé Xerxès. La couverture était parfaitement neutre, et le titre n’était pas aussi pompeux que ceux des autres bouquins autour de lui (« La misère comme elle est », « Ah, sens-tu l’odeur de la révolution ? »… ). Arthez fixa ce livre pendant une petite minute, il hésitait, il avait à la fois envie d’être en terrain connu et prendre un livre d’un auteur qu’il aimait, et voulait découvrir aussi le contenu de ce petit bouquin. Il finit par l’acheter, pour la modeste somme de quelques berrys. Le libraire semblait être amusé de son choix.
« Un bouquin intéressant L’échelle, une fraîcheur de pensée… Parfois extrême mais bon… C’est assez théorique donc ça passe. »
Ce commentaire ne fit que perturber Arthez qui n’arrêta pas de regarder son nouveau bouquin durant tout le trajet jusqu’à sa chambre. Arrivé, il soupira, jeta le livre sous son lit et piqua un petit somme. Comme si le simple fait d’acheter cet objet et réfléchir l’avait complètement vidé de ses forces. Il se réveilla en début de soirée. Ayant faim, il alla au café en bas de chez lui et prit un repas à la hauteur de sa bourse. La taille de cette dernière l’inquiétait, il pouvait vivre ainsi encore un mois, mais après, il sera à sec. Son père lui avait coupé les vivres, il fallait trouver un travail, et vite. Et Arthez ne voulait pas un travail manuel, mais un travail intellectuel, d’écriture. Il fallait qu’il s’améliore et transmette ses connaissances au plus grand monde. Son idée de journaliste était parfaite, mais il ne savait comment le devenir, il ne connaissait pas les grands journaux autre que la Gazette de la Mouette et le North Blue’s Whale.
Pour se vider un peu la tête, il commença à observer les gens autour de lui. La plupart était de petites personnes, à qui la pauvreté collait à la peau comme la mouche se collait à la vache : cela ne les empêchait pas d’être heureux, vivants, de rire entre eux. L’un hurla joyeusement le nom d’une femme, Coraline. Une des danseuses sortit alors du fond du bar. En la voyant, Arthez ne put détaché son regard d’elle. Une petit femme, aussi jeune que lui sans doute, aux yeux bleus comme des perles d’océan, aux cheveux de jais coupés courts, avec une petite bouche écarlate alors qu’elle ne mettait pas de rouge à lèvres… Elle le remarqua et continua elle aussi à le fixer, fascinée par les grands yeux d’Arthez. Celui-ci entendit son cœur exploser dans sa poitrine, s’empourpra et détourna immédiatement les yeux. La dénommée Coraline gloussa élégamment et se tourna vers le groupe qui l’avait appelée. Arthez n’arrivait plus à réfléchir, il ne pouvait que regarder le visage fin de cette jeune fille…
« Une merveille, pas vrai ?»
Un jeune homme venait de s’asseoir à côté. Il avait au début de la trentaine, une coupe assez élégante et une petite paire de lunettes. Mais le détail qui retint l’attention d’Arthez était le bloc-note et le crayon qu’il avait en main. Il avait l’air plutôt sympathique et bienveillant.
« En plus d’être magnifique, notre chère Coraline est une actrice et danseuse d’exception. Elle laisse rarement quelqu’un indifférent. »
« Vous la connaissez bien ? » Répondit Arthez, plus agressif qu’escompté à cause du « Notre » qu’avait employé son interlocuteur.
« Bien sûr Monsieur. Lorsqu’on est critique au North Blue’s Whale, on connaît les personnes que l’on voit passer sur scène ! Je suis Lousieau. »
« Arthez… Sa colère avait fondu comme neige au soleil, son cœur battait de nouveau la chamade mais pour d’autres raisons. Je viens d’arriver dans la capitale. »
« Je vois cela. Vous avez une bourse pleine sans avoir d’emploi, il sourit, je me trompe ? »
« En effet, je suis sans travail. Je comptais venir ici et devenir… journaliste… »
Il disait ça un peu honteusement, comme un petit enfant qu’on venait de prendre sur le fait. Mais Lousieau gardait son sourire et rit d’un coup très chaleureusement.
« Ah bah dis donc, je dois donc être une opportunité pour vous… Et vous pouvez être une opportunité pour le journal… Chacun peut faire le bonheur de l’autre. Reste à savoir si vous rentrez dans le poste manquant actuel… Vous avez l’air cultivé, dans quel domaine ? »
« Je m’y connais très bien en Histoire, en géo-politique et en organisation socio-économique. Je sais aussi faire des critiques littéraires, m’y connais un peu en philosophie… Après s’il vous faut un poste de journaliste scientifique c’est fichu. » Il était un peu plus à l’aise, il sentait qu’il pouvait plaisanter tout en étant franc avec ce gars.
« Merci de votre honnêteté. Mais voyez-vous il nous faut… Il prolongea le suspens en buvant son verre, deux petits yeux malins scrutaient Arthez, qui n’en menait pas large tellement il stressait… Un journaliste qui puisse commenter les évènements politiques ! Ce serait alors très jouable vu vos champs de connaissance ! Si c’est pas un excellent hasard ! Je vous offre un verre et on voit tout ça demain. »
La soirée fut angélique pour Arthez qui trouva en Lousieau un homme fort sympathique. Ancien garçon de rue, il avait acquis une solide connaissance du théâtre, danse et musique en s’infiltrant toujours dans les cafés. Il devint un commentateur aguerri connu dans la capitale entière. Il y a de ça 10 ans, sa réputation poussa le journal de North Blue à l’engager comme critique et fit carrière. Son influence était telle qu’un seul article de sa part pouvait faire monter un artiste comme l’anéantir à tout jamais. Heureusement, il n’avait pas oublié d’où il venait : il profitait de sa notoriété pour faire monter des talents prometteurs qui n’avaient normalement aucune chance dans cet univers, souvent des gens de la rue, des prostituées ou des petits employés qui n’avaient pas le temps de vivre leur passion. Coraline était une de ses protégées, une ancienne esclave. Devant le regard noir d’Arthez, celui-ci précisa en riant.
« T’inquiète, elle n’est pas mienne. J’ai une femme depuis 5 ans que j’ai aussi fait monter, ma Juliette, dramaturge de génie. Et accessoirement mon ancienne femme de chambre, mais lorsque qu’elle me reprenait quand j’écrivais mes articles, j’ai compris qu’elle serait une grande auteur. Mais tu as l’air d’y tenir à ta Coraline, plus que d’autres… »
La remarque fit rougir Arthez, ce qui fit éclater de rire Lousieau. La discussion bascula sur différents sujets, les deux compères s’entendaient biens et s’appréciaient. Ils finirent tard dans la nuit, le critique donna rendez-vous à Arthez demain matin pour que celui-ci puisse entrer au journal.
Le lendemain, Lousieau emmena comme prévu Arthez au siège du North Blue’s Whale. Le garçon fut comme un enfant qui entrait dans un magasin de jouets. Il était fasciné par les imprimeurs, par les dresseurs d’oiseaux voyageurs qui distribuaient le journal, la quantité d’articles et de livres dans les archives. Le bâtiment était comme une fourmilière et grouillait de vie, de bruit, de gens qui couraient, qui discutaient ou écrivaient. Lousieau le mena au dernier étage, dans le bureau du directeur du journal. La porte s’ouvrit sur un petit homme rond, à lunettes, une sorte de mouche gonflée aux cheveux grisâtres. Malgré cette apparence ridicule, Shisei Joffre était un des hommes les plus puissants des quatre mers de par sa position, à l’influence égale d’officiels du Gouvernement Mondial ou de membres de la Pègre…
Il ne semblait pas spécialement mauvais, mais pas chaleureux de moins. Concentré sur des fiches, un stylo en main, il ne leva même pas les yeux sur les nouveaux arrivants.
« Lousieau. Qu’est ce que tu veux qui nécessite la présence d’un inconnu ? »
« J’ai trouvé notre nouvelle plume de lance, il peut écrire sur la politique, il peut réagir. Et ce n’est pas un opportuniste, il a de vraies convictions. C’’est un nouveau venu dans la capitale, ça lui donnera aussi un boulot. »
Cette annonce semblait assez importante pour Joffre, qui daigna un regard au nouvel arrivant. Il le fixa puis demanda.
« Des convictions… De quel bord ? Nous avons une ligne éditoriale monsieur, je n’aimerais guère vous demander de trahir vos idées pour la suivre. Vous êtes plutôt pro ou anti-Gouvernement. Pas d’extrémisme attention, je parle dans la mesure du raisonnable. »
« Je suis plutôt contre la ligne de rigueur qu’il peut appliquer, mais je reconnais lorsqu’il y a de bonnes actions. » Répondit Arthez, droit et sûr.
Cette réponse apporta un petit sourire, le premier, au directeur et leva cette fois totalement la tête vers lui, abandonnant sa paperasse. Il remit ses lunettes correctement et dit.
« Je veux bien vous prendre… Mais il va falloir vous tester pour savoir si vous valez le coup. On a un tirage dans une heure, on a pas d’édito’ sur l’actualité depuis un mois. Vous ferez le retour, prenez un évènement de l’actualité, n’importe lequel, et vous écrivez dessus. Vous avez 30 minutes. »
Lousieau regarda Arthez, inquiet, mais celui-ci sourit et lui tapota l’épaule. Il sortit ensuite une plume de sa poche et prit un pot d’encre dans le fond de la pièce.
« Je m’y mets Monsieur. »
Il se posa dans une table du fond sous le regard satisfait de Joffre et commença à écrire. Il choisit de parler de la façon, parfois désastreuse, parfois tyrannique, parfois absente, que la Marine avait de s’installer sur une île dite « à risque », que leur action avait des fois plus tendance à aggraver le cas de l’île plutôt que l’améliorer. Il décrivit clairement l’organisation, puis fit référence à des évènements de bonne conduite dans l’Histoire comme contre-exemples. En une demi-heure, il avait terminé et donna le papier aux deux hommes qui le regardaient. Lousieau éclata de rire et asséna une tape amicale dans le dos d’Arthez tandis que Joffre sifflait d’admiration.
« Bien… ça me plait énormément. Votre édito passera à l’imprimante, priez maintenant que les lecteurs aiment aussi. Vous aurez les résultats ce soir. Allez vous reposer, cette journée va être stressante. »
Arthez le remercia et sortit avec son nouvel ami qui était toujours en train de rire en parlant du futur article à chaque membre de la rédaction. La plupart souriait et souhaitait déjà la bienvenu au jeune journaliste, en lui disant qu’ils avaient hâte de voir l’édito’. Sauf la chef de la section « Internationale », Merryn.
« Z’êtes un p’tit jeune qui pète plus haut que vot’ c*l. Vous crachez sur le Gouvernement mais vous s’rez pas bien sans eux, c’que personne n’arrive à capter dans ce journal… »
Son commentaire commença à stresser Arthez, mais Lousieau le rassura gentiment et lui proposa de se reposer chez lui, ce que son ami accepta. La maison de Lousieau était dans un quartier d’habitations banal, avec des gens différents, aussi biens riches que pauvres. Sa maison était spacieuse sans être luxueuse, remplie de livres de théâtre, d’audio-dials et de photos de Lousieau avec des artistes. Des fois, il n’était sur aucune photo, mais une figure revenait souvent. Une jeune femme au visage agréable, avec de longs cheveux blonds. « Ma Juliette » disait Lousieau qui offirt généreusement un verre à Arthez. Le reste de la journée fut sous le signe de la peur, il n’avait aucun retour de son article (qu’il avait signé Arthez Guillemin) et ne pouvait sortir de l’appartement sous ordre de Lousieau. Celui-ci prenait un malin plaisir à le voir comme ça, mais pas par méchanceté, plus par bonhomie et taquinerie. Il le rassurait en permanence, en vain. Puis il eut une idée, et saisit un audio-dial.
« Je sais pas pourquoi, mais j’ai le sentiment que ça va te plaire. »
Arthez haussa les épaules, beaucoup trop stressé pour devenir ce que Lousieau comptait faire. Une voix d’homme tonna, dictant un texte compliqué. Le jeune homme eut un sourire amusé par un si mauvais jeu d’acteur et regarda Lousieau en levant gentiment les yeux au ciel. Celui-ci était pourtant très sérieux et lui fit signe d’attendre. Car juste après la tirade du bonhomme, une voix différente se leva. Une voix de femme… Un peu éraillée, mais très belle, rauque mais pure… La femme devait être très jeune… Arthez était totalement sous le charme.
« C’est magnifique. C’est ta femme ? Je comprends que tu l’aies épousée, elle… »
« Non. J’ai beaucoup d’audios-dials avec Juliette, mais là, c’est pas elle. C’est Coraline. C’est dingue qu’elle te fasse cet effet. Moi qui ne croyait pas au coup de foudre… »
Coraline… Il se délecta de la suite, imaginant l’ange qu’il avait vu hier soir prononcer ces mots, parler. Il était béat… Puis trembla de peur. Et si elle lisait son article et qu’elle… le trouvait affreux ! Il se prit la tête dans les mains, se rongeant la main. Lousieau éclata de rire, comme s’il avait lu dans ses pensées. Il lui tapota l’épaule.
« C’est l’heure champion, on va goûter la température pour voir comment tu t’en tires. »
Tellement il était stressé, Arthez eut l’impression d’être téléporté de la chambre de Lousieau à l’entrée du bar en bas de chez lui. Lousieau le tira et fut accueillit en client habitué par le barman qui lui parla de sa critique des danseuses du bar, lui disant qu’il avait peut-être été un peu dur avec le chanteur.
« Il n’y a que la vérité qui blesse mon cher. Sinon vous avez vu, l’édito est de retour, on a trouvé un nouveau gars. »
Moment décisif pour Arthez, qui pensait qu’il allait s’évanouir de stress… Le groupe d’ouvriers qui était à côté dit…
« L’édito sur les interventions des Marines ? pu**** je lai adoré, le mec écrivait vachement bien, donnait des exemples et nous prenait pas pour un con comme l’autre crétin d’il y a un mois. »
« Ouais, c’était vraiment bien, j’avais l’impression de suivre une enquête… »
« Et c’était bien informé… »
Les compliments fusèrent, tous aussi agréables les uns que les autres. Arthez avait l’impression que le temps s’arrêtait, qu’il rêvait. Une larme de joie perla sur sa joue.
« Pourquoi y chiale ton pote Lousieau ? »
« Car c’est lui qui a écrit cet article » Répondit fièrement le critique, heureux pour son ami.
Une marée humaine tomba sur Arthez, lui demanda son avis, lui dit félicitations… L’intéressé reprit peu à peu ses moyens et accueillit chaleureusement ces gens, leur demandant ensuite qu’ils étaient, ce qu’ils faisaient et qu’est ce qui les dérangeaient actuellement… Il était heureux d’être avec des « vrais gens », ceux qui vivent ! Il était heureux que ceux-ci aiment ce qu’ils faisaient… Après cela, Lousieau le tira sur une table et lui sourit.
« C’est génial hein ? »
« Lousieau… Merci… »
« C’est normal Arthez. Quand je te vois je me dis que tu aurais fait pareil pour moi si tu étais à ma place, et je suis content d’avoir enfin un ami journaliste qui ne soit pas pourri. »
« Quoi… ? »
« Rien, tu verras, tu verras. Tu transpires pas la malhonnêteté, tu les aimes toi ces gens » Dit-il en désignant le groupe autour du bar. « Maintenant… Il manque quelque chose je crois… » S’en suit un sourire mesquin qui ne dit rien de bon à Arthez.
Lousieau se leva, verre en main et alla vers la scène, où les danseuses prenaient leur pause. Il se dirigea vers un joli minois qu’Arthez reconnut tout de suite avec plaisir… Avant de commencer à trembler en fermant les yeux.
Oh le sal**d… Arrête toi, stop… C’est pas le moment non…
Il entendit Lousieau rire fort, puis des pas s’approcher de lui. Il avait envie de disparaître sous la table tellement il avait peur.
« Je peux me mettre là… ? »
Sa voix était aussi belle en vrai que sur audio-dial, plus authentique en plus. Il la dévorait du regard, tout en étant affreusement gêné… Mais il fut un peu plus à l’aise lorsqu’il vit qu’elle n’en menait pas plus large que lui. Ce qui était bon signe. Il lui offrit à boire et lança la discussion sur elle, voulant ne pas parler de l’article et mieux la connaître… Facilet en plus, Coraline était intéressante, gentille… Il était pris dans son récit lorsqu’elle parlait de ce qu’elle faisait, de la dureté comme du plaisir… Il était bien, vraiment bien… Jusqu’à…
« J’ai lu votre édito… »
Crispation d’Arthez…
« Je suis libérale comme vous, et j’étais content de voir qu’une personne rentre enfin dans les détails. »
Arthez se souvint que c’est là où ils se sont pris la main pour la première fois. La nuit qui suivit fut un vrai bonheur.
Un quotidien s’installa. Arthez continua à travailler, enchaînant chaque semaine des éditos qui étaient de plus en plus populaires. Au profit de la rubrique « Internationale », ce qui enterra définitivement les relations entre Merryn et Arthez dans les profondeurs de la haine. Mais il était aimé, soutenu par le directeur et pas les lecteurs. Ses éditos prirent tout d’un coup un poids incroyable. Son papier sur la gouvernance d’une île de North blue poussa le peuple à renverser le dirigeant… L’influence d’Arthez sur le milieu politique était considérable… Mais sa compagne, Coraline, et son lieu de vie minable réussissaient souvent à lui faire garder les pieds sur terre.
Il fut invité à un moment, avec Lousieau, à une soirée du « grand monde », avec de grands auteurs, des officiels du Gouvernement, bref, tout un petit monde très favorable à Arthez. Lorsqu’il entra l’accueil fut poli, sympathique mais sans la chaleur qu’il avait pu connaître dans le bar. La plupart discutait en groupe… Il reconnaissait ces gens, avait mis en valeur les actions de certains dans ses articles, les connaissaient tout simplement par leur notoriété. Plusieurs personnes s’attroupèrent autour de lui, un poète, deux officiels du gouvernement, une jeune financière… Ils venaient voir l’attraction se disait Arthez…
« Vous êtes le nouveau de chez Joffre… »
« Un style acerbe je reconnais. Vous êtes pourtant bien documenté… »
Ils se perdirent en politesses et galanteries, sauf la jeune femme, qui le regardait avec envie. Ne pouvant en placer une, il décida de s’échapper, laissant à un Lousieau surpris le soin de les occuper. Autour de la table à manger, il se servit modestement, ne voulant guère rester longtemps à cette infamie. Mais il fut suivi, son joli minois avait réveillé l’appétit de la financière, qui pensait déjà l’avoir pour elle. Il faut dire que Mlle Seki n’était à femme à avoir de tels obstacles, une beauté voluptueuse, aux traits pommelés tout en étant très fine… Connu aussi pour sa richesse et sa capacité à dévorer n’importe quelle entreprise qui pouvait la gêner. Ses origines nobles lui permettaient aussi d’avoir des contacts dans les plus hautes sphères du Gouvernement. Bref, Arthez ne venait pas d’attirer l’attention de n’importe qui…
« Je suis admirative. »
« Comment cela madame ? »
« Mademoiselle… Elle semblait s’amuser en disant ce mot, faisant assez de sous-entendus. Admirative de votre courage, faire des articles aussi poussés dans un journal. En appeler à l’Histoire même… Cela change des vulgaires polémistes… »
« Je vous remercie… Mais vous ne vous rendez pas compte, ce que je fais n’est en aucun cas recherché, travaillé et étudié. Je ne serai pas publié sinon… » Arthez se réfugiait dans la politesse froide, voulant confirmer ses soupçons.
« Pourtant dans mes salons, même de grands historiens trouvent vos écrits recherchés… » Elle ponctua sa phrase en lui faisant du pied.
« Si c’est ce que disent ces chiens de garde… Il se retira froidement. Ils devraient alors ouvrir un livre, ils comprendraient. »
Malheureusement, ce refus fut assez mal pris par Mlle Seki, peu habituée à se faire recaler… Elle s’approcha vivement de lui, tout en gardant un souffle extrêmement calme. Et bien que cette femme lui était insupportable, il ne put s’empêcher de rougir.
« Ecoutez, ce serait beaucoup plus simple pour vous de plier… Ce serait même très avantageux. »
« J’ai des principes, suis fidèle, contrairement à des gens de votre classe… Madame ! »
Même si la rage commençait à l’envahir, Seki était excitée de voir autant de résistance venant d’un homme… C’était intéressant comme sentiment… Elle avait à la fois envie de le posséder, tout en voulant l’anéantir, le traîner dans la boue… Pour qu’il demande grâce, qu’il devienne sien. Elle l’embrassa fougueusement, surprenant Arthez, puis lui dit.
« Alors tu vas les appliquer ces principes… Guillemin, un nom de roturier, un prof je crois non ? Tu oses te dire notre égal, voire que tu es supérieur vu que tu penses que l’on ne pense pas de façon poussée… Alors faites un article recherché qui paraîtra dans la Gazette des Mouettes, étudié et travaillé, sur ce que tu veux, si celui-ci est un succès, reconnu par tout le monde, puissants comme peuples, je m’avouerai vaincue et reconnaîtrai ma défaite, ferai ce que tu veux. Mais si ton article est considéré comme mauvais par ces petites gens que tu aimes tant, tu seras à moi. Après… Elle savoura ces mots comme un rayon de miel. Je connais très bien le chef de la Gazette, et il n’accepte pas les gens de basse naissance comme toi. Tu as trois mois pour voir comment contourner ce problème et faire ton article…
Elle le lâcha et se mêla à la foule. Laissant un Arthez fou de rage, blessé dans son orgueil. Il sortit violemment de la salle, suivi par un Louiseau déboussolé, qui ne comprenait pas la situation.
« Qu’est ce qui ne va pas Art’… ? »
Coraline n’avait pas osé lui demander lorsqu’elle l’avait vu rentrer alors qu’elle l’attendait comme d’habitude devant sa chambre. Elle ne comprenait pas pourquoi celui-ci avec les larmes aux yeux, cherchait nerveusement une feuille et était extrêmement agité. Lorsqu’il se retourna, elle eut l’impression de voir un démon enragé qui allait l’attaquer… Qui s’effondra en pleurant sur ses genoux.
« Je suis foutu… j’ai laissé mon orgueil parler… Il lui expliqua la situation. Même si elle comprenait sa détresse, Coraline était extrêmement heureuse du fait que son compagnon ait refusé les avances d’une aussi belle femme que Leki.
« Peut-être que ça tombe bien… »
« Comment cela ? »
« Tu m’avais dit que tu en avais marre, que tu étais honteux de faire des articles bâclés, non pas étudiés et longuement travaillés, et de ne pas suivre la maxime de ton père. C’est le moment idéal pour te racheter ! Pour partir sur une nouvelle voie de journalisme ! Et c’est pas comme si tu étais à cours de sujets…»
La maxime du professeur Guillemin résona en Arthez Il faut que tu travailles, que tu t'exerces. La réussite ne s'obtient qu'après un long travail. L’optimisme de Coraline lui redonna le sourire et l’embrassa alors longuement. Ce qui la fit rire mais elle s’arrêta aussitôt et le regarda avec inquiétude.
« Mais pour te faire publier… Ton nom. »
Arthez soupira et commença à baisser le regard comme un enfant qu’on punit.
« J’ai.. ; J’ai le nom de ma mère qui peut me sortir de là. Je voulais t’en parler mais… Ma mère est une Oblige. »
« Les nobles déchus !? C’est de la folie ! Jamais… »
« Bah si… Un Oblige qui sort un article, c’est rare, ça fera de la vente. Après, ça n’aidera pas pour le pari. »
Coraline hocha la tête, Arthez était capable d’un discernement parfois cynique mais toujours très juste. Elle sourit, le prit dans ses bras et lui chuchota.
« C’est à toi de jouer désormais… »
Arthez était bien capable de travailler, de se dépasser. Il avait pris pour sujet, « l’Organisation mondiale du Gouvernement ». Un sujet qui parlerait plus d’organisation sociologique, avec des bouts historiques, qui analyserait les bonnes comme les mauvaises choses. Il rechercha absolument tous ses livres qui traitaient ce sujet, alla acheter des livres d’histoire d’écrivains sous la main du Gouvernement comme de ceux qui ne l’étaient pas… La lecture lui prit un mois. La pile de bouquins s’amassait, il passait parfois des nuits blanches à prendre des notes, les trier… Coraline venait souvent lui apporter à manger et le soutenir. Il lui montrait toujours sa gratitude en allant voir chacun de ses spectacles, malgré son travail.
Un soir, en fouillant parmi la pile, il retrouva le petit pavé qu’il avait acheté en arrivant en ville… L’échelle… Il n’avait pas pu le lire vu qu’il pensait alors à autre chose. Ce moment était alors parfait pour le lire. Il se posa sur son lit qui jouxtait son bureau et commença à lire. Il ne put s’arrêter… Le lendemain, il eut l’impression de sortir d’une folle nuit d’amour, ce livre, ces idées… Il les avait embrassés, il était d’accord à sa façon avec la théorie du livre qui mettait en valeur la dangerosité de l’Ordre face au Chaos. Le Chaos serait le véritable état du monde selon Xerxès. Le seul bémol était que pour Xerxès, arriver au Chaos serait une grande source d’amusement… Arthez n’adhérait pas à une finalité si douteuse, mais ce qu’il avait lu démontrait alors que le Chaos, la liberté totale suite à la chute d’un Ordre, permettait la libéralisation et la purification d’une population. Cela confirmait toutes ses théories jusqu’ici ! Il reprit ses notes et plancha d’arrache pieds. Il le fit lire à Coraline qui adhérait à la finalité libératrice de ses idées et à l’analyse qu’il portait sur l’Ordre mondial. Ce soutien maintint Arthez dans cette voie. Qui fit un immense travail de réflexion, de synthèse et de rédaction : il ne fallait pas oublier qu’un article de journal ne devait pas faire 100 pages.
Les deux mois restants furent écoulés, Arthez se présenta au bureau de la Gazette de la Mouette avec son travail, qui tenait en 4 pages, signées Arthez Oblige. Il était fier de ce qu’il avait fait, ne portait pas son nom comme un fardeau et espérait que ses parents le liraient. Le chef de la rédaction regarda les quatre pages, lui annonça froidement qu’il était au courant, puis les donna aux imprimeurs.
Rentré chez lui, Arthez s’endormit, exténué après tout ce boulot, heureux et certain de gagner son pari.
« Arthez ! Bordel ! »
Le cri de Louiseau à sa porte le réveilla. Le sourire au lèvres, il lui ouvrit, s’attendant à voir l’habituel sourire amical que son ami le gratifiait après un bon édito. Mais il eut plutôt droit à un regard d’épouvante, un journal froissé dans une main, un escargophone dans l’autre… Il lui fit signe de le suivre.
« Faut que tu viennes, Joffre te demande. »
« Pourquoi… ? Mon article est mauvais… ? »
Malgré sa terreur, Lousieau émit un soupir amusé.
« Non, c’est pas ça le problème, il est même un peu trop bien… »
Arthez ne comprit pas cette phrase, ou plutôt, ne voulut pas la comprendre. Un immense stress commença à l’envahir alors qu’il traversait les rues de la capitale de North Blue. Lorsqu’il monta les escaliers du North Blue’s Whale, il aperçut Merryn qui avait un regard triomphant. Arthez eut alors très peur… Entré dans le bureau, il vit Joffre, suant, faisant les cent pas avec, bizarrement, une larme sur le coin de l’œil.
« Arthez Guillemin, ou Oblige, comme vous voulez. Il faut qu’on parle… » Ces mots ne signifiaient jamais quelque chose de bon.
« Monsieur... J’avais fait avec la financière Seki… »
« Je sais, j’étais au courant. Toute l’élite de North Blue savait pour votre concours. Et personne à part moi ne pensait que vous feriez un aussi bel article. Il a été adoré, les tirages ont été triplés, ce que vous dites est clair, bien dit et, c’est ça le problème, peut-être trop juste… »
« Comment… ? »
« Je sais de quoi vous vous êtes inspiré et je sais que vous avez de biens meilleurs buts en adhérant à l’idéologie de l’opposition Ordre/Chaos que Xerxès ou son prédécesseur. Mais c’est ça le problème, c’est que le Gouvernement a peur de ce que quelqu’un qui croit en cette idéologie est capable de faire. Et lorsque c’est un reste des rebuts Obliges qui l’écrit… »
« Mais… Mais si on cherche à briser l’Ordre du Gouvernement Mondial, c’est par l’action collective, par l’utilisation des connaissances et leur transmission pour une prise de conscience… C’est ce que veut dire mon article après avoir montré que l’Ordre du Gouvernement est dangereux mais je n’appelle pas à la vio.… »
« Arthez… Mettez-vous dans la tête des puissants… Xerxès en parlait dans un livre, d’un point de vue théorique, vous dans le journal le plus lu au monde et de façon brillante. Vous inquiétez… Ils ont peur de revoir des gens comme celui qui vous a précédé dans votre idéologie. »
« Mais qui a été aussi malade pour leur faire peur avec une idéologie qui a un fond vertueux ? »
« Peu importe le fond lorsque la méthode est mauvaise… Ils ont peur de voir réapparaître des monstres comme Dameon Kaliban ou Erin Rider. Ils vont vous envoyer le Cipher Pol. Vous devez fuir Arthez, je vous renvoie du North Bleu’s Whale pour que vous preniez la fuite. Je vais vous donner une partie de mon argent pour que vous puissiez fuir et survivre. »
« Mais Monsieur… »
« Pas de discussion, Lousieau est d’accord avec moi. Il va vous aider à faire vos affaires… je suis désolé Arthez, il baissa la tête le regard dans le vide, puis adressa un sourire paternel au jeune homme, j’ai aimé avoir eu un éditorialiste aussi talentueux et gonflé. Je suis fier de vous. »
Arthez le remercia du regard, les larmes aux yeux et sortit avec Lousieau derrière lui. Alors qu’il montait dans sa chambre, il s’arrêta dans les escaliers et fixa son ami.
« Et Coraline ? »
« Il va falloir qu’elle reste ici… » Dit tristement son ami.
« Malheureusement je le sais, je l’avais prévu, dire ça lui déchirait le cœur, il avait refusé de se l’avouer à lui-même durant tout le chemin. Il n’allait plus revoir son actrice préférée. Mais tout le monde sait qu’elle est liée à moi ! Elle va avoir des problèmes ! » Lousieau ne savait quoi dire, le regard affolé, ils restèrent ainsi durant quelques secondes jusqu’à ce qu’une voix teinta un étage au-dessus.
« J’ai peut-être la solution Mr Oblige. »
Surpris, Arthez se précipita jusqu’au couloir où se trouvait sa chambre. Juste devant se tenait un homme. Mal rasé, aux cheveux bleus ébouriffés, à l’âge indéterminé… Car bien qu’il semblait assez jeune, quelques grisonnements se voyaient à travers sa barbe ou sa coupe… Il portait un long manteau noir et s’appuyait sur une canne. L’air assez détendu, joyeux… Il se dirigea vers les deux hommes.
« Pour votre chère Coraline… Elle peut s’échapper à ce marasme si elle rentre dans une troupe d’artistes qui produit sur GrandLine. »
« Vous parlez des grandes troupes de théâtre là… Et il faut beaucoup d’argent, vous croyez qu’elle travaille et économise pour quoi ? Et comment pouvez-vous me parler de ça, qui êtes vous et que voulez-vous ?! »
« Je suis un fan… De votre travail. Et le dernier article… M’a subjugué, vraiment. Mais je me suis douté que vous alliez avoir des problèmes, donc je suis arrivé aussitôt pour vous aider. Je suis content de voir que des amis à vous l’auraient fait à ma place, il jeta un hochement de tête de sympathie à Lousieau, mais donc, je peux régler le problème de la troupe. J’ai des… contacts qui me permettraient de faire à fois en sorte que Coraline puisse rentrer dans une troupe de GrandLine et qu’elle ait une protection. Elle est pas belle la vie ?’ »
« Un peu trop belle oui… ça me paraît beaucoup trop parfait. Qu’est ce que vous voulez en échange ? »
« Pas grand-chose, que vous vous rendiez à un endroit avant de mener la vie de fugitif. Cela ne nuira surtout pas votre vie, ce sont des amis à moi qui sont aussi très fans de votre travail. Y a presque que le Gouvernement Mondiale actuellement qui fait la gueule à votre article. »
« Et pourquoi tiendrez-vous parole ? »
« Car je fais toujours ce que je fais Mr Oblige. Que je vous trouve passionnant et que je ne veux surtout pas votre malheur… Aussi je vous ai préparés un bateau pour votre fuite, avec une carte vous disant où aller. Je vais ensuite aller voir Coraline, votre ami pourra m’accompagner et vous écrire ensuite pour vous prouver ma bonne foi. De plus j’ai besoin de lui… »
Lousieau plissa les yeux, méfiant. « C’’est à dire ? »
« Faîtes marcher vos neurones… » Répondit l’inconnu, joueur.
« Tu vas pouvoir défendre Coraline et l’aider à s’élever vu ta renommé en tant que critique… »
« On a l’oiseau rare, beau et intelligent. Pas étonnant que vous faites tourner les têtes… Vous lui écrivez un petit mot au moins... ? »
Arthez ne se fit pas prier et passa son temps à écrire pendant que Lousieau et l’inconnu rangeait ses affaires. Il lui souhaitait la meilleure vie possible, lui présentait ses plus sincères excuses et signa, à la fin avec « Arthez Oblige »… Elle approuverait. Il pleura en pliant la lettre mais, de façon extraordinairement délicate, l’inconnu aida gentiment Arthez à se lever, à le réconforter.
Arthez se leva, serra son meilleur ami contre lui.
« Merci pour tout ce que tu as fait. »
Lousieau commençait à pleurer alors qu’Arthez descendit l’escalier, accompagné de l’homme mystérieux. Celui-ci ne lui adressa qu'un vague signe de tête amical.
« L’embarcadère est là-bas, y a un plan. Bon courage Arthez Oblige, vous avez été brave. »
- Le maître et son apprenti:
Arthez trouva une petite voile vide sur un des quais, sans trop savoir où était le sien, il regarda à l’intérieur. En voyant une carte et des vivres, il comprit que c’était celle préparé par cet homme étrange. Il dressa rapidement la voile, sans trop essayer de penser à ce qu’il abandonnait, laissait derrière lui. Il avait passé dans cette capitale une des meilleures années de sa vie, et cela s’arrêtait comme ça… Car il fut entraîné par son orgueil. Certes ce qu’il avait laissé comme travail valait le coup mais… Le prix à payer était peut-être trop cher. Mais Arthez avait foi bizarrement : l’attitude de Joffre, Lousieau et la gentillesse de cet inconnu… De pareils actes étaient si rares, mais si agréables. Il ne pouvait pas ne pas avoir foi en l’humanité après avoir vécu cela. Qu’allait-il faire ? Il ne savait pas, verrait après être allé voir cet endroit sur l’île que son bienfaiteur avait entouré.
Il mit un bon mois mais arriva à destination. C’était une île parfaitement banale, à la seule exception près : l’immense pic montagneux qui se dressait en plein milieu. Le reste était assez désert, avec une grande forêt qui entourait le pic. Il était gris, presque lisse. Arthez ne savait pas trop quoi en penser, mais à force de l’observer, il le trouva plutôt beau comme monument naturel. Son embarcation finit par s’échouer d’elle-même sur la plage. Tout en faisant gaffe, Arthez amarra son bateau et commença à faire l’exploration de l’île. Il traversa la forêt, en somme toute assez vide. Il pensa s’arrêter, se poser sous un arbre lorsqu’il entendit des voix humaines… Intrigué, il chercha à s’en rapprocher, puis tomba sur un sentier qui traversa le bois. Un sentier fait par la main de l’homme. Il le suivit et finit par tomber sur une sorte de camp. Celui-ci se trouvait dans une sorte de carrière qui jouxtait la montagne. Il grouillait de vie, était rempli de femmes, d’enfants… l’organisation semblait être gérée par de mystérieux hommes en noirs capuchés.
Hommes en noir qui se trouvaient aussi juste derrière Arthez. Celui-ci se mit en garde, s’attendant au pire, mais le groupe qui lui faisait face ne bougeait pas. Ils ne semblaient pas hostiles. Ils l’invitèrent poliment à les suivre, Arthez descendit avec eux, observant et analysant l’organisation, la vie de ce camp. Elle ne semblait pas malheureuse ou miséreuse, mais la présence de ces hommes vêtus gâchait un peu tout en fait… Ceux qui accompagnaient Arthez avaient de différents un signe blanc sur leur capuche noir, un signe ressemblant vaguement à un as de pique. La plupart de ces hommes en noir ne possédaient qu’une capuche de jais… Cette marque devait donc être un symbole de pouvoir, signifier un grade dans une hiérarchie. Penser à une hiérarchie l’énerva directement, hiérarchie est égale à Ordre, donc à emmerdes et problèmes. Mais ses hôtes se révélèrent très polis et révérends à son égard. Lui demandant s’il avait soif, en lui évitant les endroits caillouteux… Ils le menèrent sur un piédestal de bois. L’un d’eux, avec une capuche avec un pique blanc, évidemment, pris la parole devant la population du camp entier.
« Il est arrivé. Celui qui a réussi à porter notre rébellion, qui a osé porter le Chaos. Il est là pour devenir notre Lord ! »
Cette annonce provoqua une ovation à travers la foule, pleine de joie et d’espoir. Arthez ne montra pas sa surprise et préféra plutôt plisser des yeux interrogatifs sur l’orateur. Celui-ci tira une révérence.
« Excusez-moi seigneur… Je dois vous prendre un peu au dépourvu… Mais voyez-vous, votre message nous a permis une révélation. Vous êtes celui qui peut continuer notre lutte. Nous sommes les Che’ets, agents contre l’Ordre. Regroupement de personnes qui ont cru les paroles de Xerxès dans son livre. Nous avons mené plusieurs actions contre le Gouvernement, des attaques, des manifestations… En vain, nous n’arrivions pas à faire passer correctement et affirmer clairement notre message aux autres gens malgré notre puissance économique... Mais vous, avec votre article, vos mots, vos connaissances… Vous avez fait bien plus, vous incarnez parfaitement notre chef. »
« Vous êtes le seul qui a pu prouver avec Lord Xerxès que l’Ordre actuel nous faisait du mal…Je vous en remercie, une femme sortit de la foule. Elle était parfaitement banale, son enfant la suivait. On n’osait rien faire, on n’osait pas fuir. Puis y a eu le livre de Lord Xerxès, puis votre article… On a pu enfin fuir de notre usine d’armes pour la Marine. Certes aujourd’hui on vit dans une carrière, mais plus dignement, mieux… »
Cette femme mit les larmes aux yeux à Arthez. Il avait réussi… Il avait pu changer des choses directement par sa plume, ce simple fait le combla de joie durant quelques secondes. Voyant en ces gens que de grandes personnes courageuses, lui avec ses lettres n’étaient rien en fin de compte…
« Seigneur… Pour que vous guidiez les Che’ets, il faut une dernière chose. Suivez-nous. »
Arthez s’exécuta et talonna les cinq Che’ets aux marques blanches. Ceux-ci allaient au fond d’une grotte taillée dans la roche. Le jeune héros découvrit alors une pièce éclairée par des torches, avec un fruit mystérieux au centre. Il en reconnut aussitôt la forme… Un fruit du démon, qui maudissait son porteur par les eaux au profit d’un pouvoir fantastique à la première bouchée, se tenait sur une petite tablette en pierre en plein milieu de la pièce.
« Seigneur. Nous pensons que ce fruit ne pourra que vous renforcer dans votre combat. Mangez-le s’il vous plait. »
Un piège ? Non, Arthez sentait que tout cela était trop franc, trop sincère pour être un quelconque guet-apens. Le fruit était authentique, la foi de ces gens aussi. Il prit le fruit, rouge, et croqua dedans. Comme il s’y attendait, le goût était affreux, amer, mais il se força à avaler. S’en suivit un moment de souffrance horrible où il eut l’impression que son corps parait en pièces dans tous les sens, il fut secoué de spasmes violents. Les disciples Che’ets se regroupèrent autour de lui, inquiets, hurlant son nom. Puis tout s’arrêta, Arthez se releva en toussotant et regarda son visage dans un morceau de métal qui trainait près des disciples. Ses yeux, autrefois d’un magnifique vert, avaient viré au rouge écarlate.
Ce fruit… Lui permettait plein de nouvelles possibilités, ce camp lui avait permis de comprendre que ses actions pouvaient avoir un sens… Il se sentait… Bien. Mais il avait un autre problème à régler d’abord.
« Levez-vous, Lord Agony ! Leader suprême des Che’ets, celui qui apportera le Chaos qui nous libérera tous ! »
« Arrêtez immédiatement. »
Le disciple s’arrêta et le dévisagea. Le ton d’Arthez était très calme mais le menace était présente au fond de sa voix. Il posa un regard froid sur ces cinq énergumènes.
« Vous êtes ridicules. Vous transformez une idéologie en une sorte de secte nommée Che’et, alors que vous êtes juste des anarchistes. Et en tentant d’aider des gens qui se révoltent, vous les endoctrinez, les enfermez dans une organisation d’Ordre… »
Les pauvres hommes commencèrent à comprendre ce qu’il avait en tête et se mirent à genou, à le supplier. Pourtant Arthez ne démordit pas et continua.
« Vous êtes comme le Gouvernement, animés de bonnes intentions mais vous allez aussi oppresser la vie d’autres gens. Et ça voyez-vous, il monta vers le haut de la caverne, posa une main calme sur le mur, il faut le rayer de l’Histoire, les rayer des connaissances. »
Et pour la première fois Arthez utilisa son pouvoir. Il fit dégénérer la roche qu’il avait sous la main pour que celle-ci se détruise, dans un tonnerre de petits crépitements rougeâtres. Les cinq disciples furent ensevelis, hurlant à la pitié. Arthez s’éloigna, pour ne plus entendre, tant leurs cris cognaient la paroi de son cœur. Il ravala sa bile et retourna sur le piédestal, sous les yeux d’une foule interrogative.
« Je ne suis pas Lord Agony, les Che’ets agents du Chaos ne sont que des conneries ! Vous vous enfermez juste dans un nouvel Ordre. Le vrai Chaos, la liberté totale, c’est de vous laisser choisir ce que vous voulez faire. Je pense que c’est cela, la véritable forme du Chaos que nous devons atteindre, pour le bien de tous. »
Il tourna ensuite le pas, digne. Laissant les gens derrière lui étonnés, mais satisfaits de ce qu’il venait de dire. La plupart finit par applaudir, mais Arthez était déjà bien loin. À reprendre son bateau… Il sut alors qu’il n’y avait qu’un endroit où il voulait aller.
Quelques semaines plus tard, son bateau finit par s’échouer sur le banc de sable de son île natale. Il attacha son amarre et traversa les chemins qu’il connaissait depuis enfant. Les terrains vagues remplis d’herbe étaient bien plus vides qu’avant… Plus aucun enfant n’y jouait. Arthez fronça les sourcils, se doutant que quelque chose n’allait pas. Les rues n’étaient pas vides, il y avait autant de monde que prévu dans les rues, mais juste… plus d’enfants. Pourtant c’était l’heure de la fin des cours de son père. Arthez avait déjà fait le lien et avait une supposition, mais il la cacha au plus profond de lui, ne voulant pas y croire.
Il finit par se trouver devant la porte de chez lui, n’osant pas entrer. Il respira un bon coup et frappa timidement à la porte. Quelques secondes plus tard, le visage de sa mère apparut. Elle sourit gentiment puis lui fit signe d’entrer. La maison n’avait pas changé, mais quelque chose troublait Arthez. Il s’assit et observa sa mère, elle n’avait quasiment pas changé, seulement quelques cheveux argentés s’étaient incrustés vers ses tempes. Elle revint avec deux tasses de café, il la remercia.
« Comment ça va alors… ? »
« Très bien. Comme je te le disais dans mes lettres, ça n’a pas vraiment changé. »
« Mais Papa est… ? »
Sa mère soupira gentiment et lui prit la main… Mais la retira immédiatement, comme si elle avait été brûlée… « Nous sommes fiers de toi ma puce. J’aimais beaucoup tes articles normaux, mais là, j’étais subjugué. Et ton père… Il disait souvent que tes articles étaient bons, mais pas assez travaillés… Il fut fier après avoir lu la Gazette, « un peu discutable, mais excellent ». J’étais aussi assez touchée que tu signes Oblige… »
« Car je pense que seul ce nom me permettrait de faire honneur à mon travail. » mentit Arthez, mais le compliment fit plaisir à sa mère.
« Mais tu es un fugitif désormais… On l’a compris directement, on se disait que tu avais eu beaucoup de courage de faire cela… Coraline est sauve… ? »
« Oui… Il avait parlé plusieurs fois de sa compagne dans les lettres qu’il adressait à sa mère. Cette dernière avait été enchantée de savoir que son fils s’était entiché d’une si gentille personne. Un… ami l’a mise à l’abri en soutenant sa carrière sur GrandLine. Elle sera bien. Mais bref Maman… Où est Papa ? »
Sa mère soupira, elle voulait éviter le sujet manifestement. « Il a été tué par le Cipher Pol. Peu après ton article, ils sont arrivés. Ils étaient à ta traque pour le compte du Gouvernement Mondial sur ordre de la grande boursière Seki. Ils pensaient que ton père savait où tu te cachais. Il a refusé de répondre et a même soutenu la véracité de tes analyses. Il a été tué. Il était fier de toi, comme quand tu étais petit, que tu lisais des choses dites trop compliquées… Il était comme ça. »
Arthez avait l’impression d’être frappé par la foudre par ces révélations et le nom Seki. Des tremblements le saisirent au fur et à mesure. Puis il hurla, en pleurant, en se griffant le visage, se haïssant, se maudissant intérieurement. Sa mère, les larmes aux yeux, lui hurla que ce n’était pas sa faute. Mais Arthez savait que si, il n’osait pas l’avouer, pour qu’elle continue à le soutenir, pour ne pas affronter un regard de dégoût, il avait tué son père par son orgueil. Il ne devait pas l’oublier, c’était sa faute : il avait péché, il fut puni en conséquence. Il se calma tout en continuant à être saisi de spasmes, malades en pensant à ses actions.
Quelques jours plus tard, il visita enfin la tombe de son père, au nom d’Henri Guillemin. Il avait cessé de pleurer au bout du deuxième jour, mais il s’en voulait profondément. Mais cette mort lui avait permis de savoir ce qu’il voulait faire… Il posa des fleurs face à la tombe, murmurant des excuses.
« Tu te montres enfin ! Je t’attendais ici depuis plusieurs jours ! Rien niet, tu m’avais fichu un vent je pensais… Mais après je ne t’avais pas donné rendez-vous donc bon… Mais ç’aurait été dégueulasse que tu viennes pas voir ton père ! remarque moi aussi je suis pas allé le voir…Mais je sais même pas à quoi il ressemble… »
Arthez se retourna en reconnaissant la voix de l’inconnu qui l’avait aidé. Mais il tomba sur une personne assez différente. La barbe n’était plus là, il était très bien coiffé, portait un long manteau bleu, blanc et noir… Bien qu’il lui restait des sillons dans les joues, les rares cernes qu’il avait avant avait disparu. Il put mieux l’observer. Des cheveux bleus, des petits yeux bleu et ambre, des traits très fins, une petite bouche souriante… Il s’était métamorphosé. Pourtant, par la taille, la silhouette et la voix, Arthez savait que c’était l’homme mystérieux qui lui était venu en aide.
« Coraline… ? »
« Elle a gardé votre lettre en pleurant. Mais elle est rentrée dans une troupe de GrandLine avec le soutien d’une critique de votre ami, je te la montrerai. J’aimerai beaucoup qu’une femme m’aime ainsi… »
Arthez soupira de soulagement et s’assit en s’adossant à la tombe de son père, fixant son interlocuteur. Sans se cacher, il le balaya du regard, cherchant le moindre indice qui aurait pu lui donner plus d’informations. L’homme sourit et alluma une cigarette.
« Tu vas faire quoi maintenant ? »
« La mort de mon père… M’a permis d’assumer ce que je pensais depuis longtemps. Ce seront les connaissances qui aideront les hommes à combattre l’Ordre, en plus de quelques actions réels. Je vais donc voyager, faire une carte de mon voyage, noter l’Histoire, ce que je verrai. Pour à chaque fois étendre ma réflexion. Mais je pourrais être des fois celui qui fera avancer l’Histoire ou qui modèlera les cartes… »
La réponse fit éclater de rire l’homme en bleu, visiblement amusé par ta réponse.
« Tu es bien plus passionnant que ce que je pensais… Comment te sens-tu avec ton nouveau pouvoir ? »
« Bien. Il est pratique mais m’empêche tout contact physique, c’est assez emmerdant… Vous m’avez envoyé là-bas pour ça, pour acquérir ce pouvoir et se débarrasser de cette bande d’extrémistes gêneurs qui pourrissaient votre idéologie… N’est ce pas Mr Xerxès ? »
L’intéressé siffla d’admiration, puis il hocha tranquillement la tête.
« En effet, je suis celui qui un jour s’est nommé Xerxès… Car j’ai fui mon vrai nom, mon vrai moi. Je m’appelle Erin Rider. »
Arthez souleva un sourcil d’étonnement, ça il l’avait pas vu venir. Erin Rider était un pirate connu il y a deux ans sur North Blue valant une soixantaine de millions de berrys à cause de ses actes de pirate qui étaient… Peu orthodoxes. Pourtant il ne ressentait aucune peur ou haine envers cet homme, seulement de la gratitude et du respect. Il n’avait pas la sensation de faire face à un monstre.
« Et que voulez-vous de moi ? »
« J’espère juste que tu auras un bon avenir… Tu t’es formé dans mes idées mais tu as pris un chemin différent du mien. Plus pur, qui ne fait pas de toi un mort qui marche. J’en suis heureux, tu me rappelles quelque chose qui m’a abandonné y a deux ans. Voir que je suis capable de faire quelque chose de bien comme toi me fait au fond plaisir. En plus tu es un joueur très amusant… »
« Amusant… J’imagine que vous, vous auriez tué tout ceux qui se trouvaient dans le camp des Che’ets, pas seulement les disciples. »
« En effet, ils n’étaient que des coquilles vides, qui n’auraient pas d’intérêt dans le jeu. Toi tu vois l’Ordre comme une vraie menace sociale, moi c’est plus la personnification de l’ennui et le Chaos comme une vraie politique, alors que pour moi c’est juste l’état des choses le plus amusant. »
« Et donc quoi ? Vous allez me condamnez car je n’ai pas la même vision que vous ? »
Erin se tourna, sourire aux lèvres, tirant un coup de sa cigarette. Il dit : « Le vrai Chaos, la libe
Dernière édition par kurotsu of mist le Ven 24 Juil - 12:51, édité 1 fois
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Description physique et psychologique:
Un dessin arrive.
Arthez est un magnifique jeune homme. Au physique presque androgyne, il est caractérisé par des grands yeux, rouges, et une grande bouche alors que ses lèvres sont très fines. Ses cheveux sont couleur cendre, ils sont assez longs, ébouriffés et il les porte en queue de cheval. Il est de taille normale, faisant environ 1m75. Il porte toujours une écharpe rouge un peu trop grande pour lui et des vêtements avec des bouts de tissu qui volent au vent.
Arthez est un homme bien. Il aime beaucoup les gens, est assez gentil, sympathique et blagueur, aime beaucoup rendre service aux petites gens. Assez observateur, il n’arrête absolument jamais de prendre des notes ou de dessiner une carte, il fait gaffe à de très petits détails. Assez intéressé par ce qui l’entoure, il n’arrête pas de poser des questions pour gagner des connaissances : s’il sent des atomes crochus, il passe alors à l’attaque. Il est très attaché envers les personnes qu’il aime bien qu’il rencontre, pensant que l’Humanité a toujours un bon fond.
Militant affirmé contre l’Ordre Mondial ou l’Ordre en général, il pense que seul le Chaos pourrait être la liberté totale qui rendra heureux les gens. Il est assez moqueur quand il est en face de ces situations. Cela sert souvent à cacher son immense colère envers ces situations.
Orateur charismatique et bon écrivain, il n’hésite jamais à faire des discours passionnés ou une démonstration complexe… même à des moments peu opportuns pour.
Malgré sa bonne foi, il est aussi capable d’être très manipulateur pour arriver à ses fins et n’hésite pas à tuer ceux qui sont garants de l’Ordre. Mais, contrairement à Erin, il ne supporte pas les meurtres inutiles ou de civils.
Ce qui montre le principal défaut d’Arthez, il se voile énormément la face quand quelque chose le gêne. Il évite toujours le conflit, les questions gênantes, surtout sur les dégâts qu’un Chaos général peut provoquer, n’hésite pas à mentir.
C’est quelqu’un de très intelligent et cultivé, quand je dis observateur, c'est-à-dire d’une minutie totale, limite à la Sherlock Holmes. C’est un excellent stratège et, comme dit plus haut, un très bon manipulateur, capable d’élaborer des plans poussés et tordus. Il adore acquérir de nouvelles connaissances : il est un très bon historien, géographe, économiste et sociologue mais s’y connaît au très bien en psychologie ou en littérature. Il pense qu’aucun savoir est inutile, sauf quand ça touche à la physique : étant une daube dans ce domaine, il rejette totalement cette science. Il espère un jour regrouper le maximum de connaissances dans un livre qui permettra aux humains de prendre conscience des choses : pour lui, le savoir est l’émancipation.
Il voue une admiration et une dévotion sans faille à son capitaine Erin Rider, qu’il appelle souvent Maître.
Il est très fier de la symbolique que son fruit lui procure. Mais comme celui-ci lui empêche tout contact physique, il évite de toucher les autres et est souvent mal à l’aise avec ça. Il maudit alors le fait qu’il plait beaucoup aux femmes, il cherche alors à les éviter pour éviter de leur faire du mal, se montrant alors faussement désagréable.
But : « Je vais donc voyager, faire une carte de mon voyage, noter l’Histoire, ce que je verrai. Pour à chaque fois étendre ma réflexion. Mais je pourrais être des fois celui qui fera avancer l’Histoire ou qui modèlera les cartes contre l’Ordre. ». Il veut faire aussi une livre regroupant le maximum de savoirs et le diffuser sur le reste du monde.
Navire : Le Messager Gris.
Petit voilier possédant deux hélices, une à la proue, l’autre à l’arriève et un genre de moteur qui fonctionne à l’électro-dial qui lui permettent de voyager dans les airs.
Équipage: Cards Games.
Prime: 15 000 000 de Berrys (30/07/2015)
Aventures: Aucune pour le moment.
Fruit du Démon: Le Fruit de la dégénérescence.
L’organisme d’Arthez produit lui-même du Chaos. En effet, Arthez peut faire « dégénérer » les objets qu’il touche, la dégénérescence de l’état d’un objet le pousse à la destruction. Arthez peut utiliser deux types de dégénérescence.
Dégénérescence active : Arthez touche un objet, l’objet dégénère, se disperse donc se détruit au contact d’Arthez. Il peut donc détruire ce qu’il touche. Souvent, de petites étincelles rouges se forment autour de l’objet qui se détruit, représentation « physique » de son pouvoir.
Dégénérescence passive : Arthez touche un objet qui est alors entouré de crépitements rouges/oranges. L’objet tombe dans un état dégénérant qui le pousse alors à l’explosion quelques secondes après.
Plus l’objet est gros, plus il met de temps à le faire dégénérer.
Il ne peut pas faire dégénérer des organismes vivants comme des humains ou des animaux. Mais le contrecoup de son pouvoir fait que son contact créé de la douleur, comme une brûlure. Il ne détruit rien, n’a aucun impact physique, mais il transmet une dégénérescence passive qui fait mal à l’organisme des êtres vivants. Ce qui lui empêche tout contact physique. Cette dégénérescence passive ne s’applique pas aux objets, qu’il choisit lui-même de faire dégénérer ou non.
Dials :
Armes:
Arthez possède un pistolet en métal au canon très stylisé, avec un puissance de feu un peu supérieure à celles de pistolets normaux. Il possède une fente à l’endroit des balles qui lui permet de les toucher avant de tirer, créant alors des balles dégénératives explosives.
Références et inspirations:
Un dessin arrive.
Arthez est un magnifique jeune homme. Au physique presque androgyne, il est caractérisé par des grands yeux, rouges, et une grande bouche alors que ses lèvres sont très fines. Ses cheveux sont couleur cendre, ils sont assez longs, ébouriffés et il les porte en queue de cheval. Il est de taille normale, faisant environ 1m75. Il porte toujours une écharpe rouge un peu trop grande pour lui et des vêtements avec des bouts de tissu qui volent au vent.
Arthez est un homme bien. Il aime beaucoup les gens, est assez gentil, sympathique et blagueur, aime beaucoup rendre service aux petites gens. Assez observateur, il n’arrête absolument jamais de prendre des notes ou de dessiner une carte, il fait gaffe à de très petits détails. Assez intéressé par ce qui l’entoure, il n’arrête pas de poser des questions pour gagner des connaissances : s’il sent des atomes crochus, il passe alors à l’attaque. Il est très attaché envers les personnes qu’il aime bien qu’il rencontre, pensant que l’Humanité a toujours un bon fond.
Militant affirmé contre l’Ordre Mondial ou l’Ordre en général, il pense que seul le Chaos pourrait être la liberté totale qui rendra heureux les gens. Il est assez moqueur quand il est en face de ces situations. Cela sert souvent à cacher son immense colère envers ces situations.
Orateur charismatique et bon écrivain, il n’hésite jamais à faire des discours passionnés ou une démonstration complexe… même à des moments peu opportuns pour.
Malgré sa bonne foi, il est aussi capable d’être très manipulateur pour arriver à ses fins et n’hésite pas à tuer ceux qui sont garants de l’Ordre. Mais, contrairement à Erin, il ne supporte pas les meurtres inutiles ou de civils.
Ce qui montre le principal défaut d’Arthez, il se voile énormément la face quand quelque chose le gêne. Il évite toujours le conflit, les questions gênantes, surtout sur les dégâts qu’un Chaos général peut provoquer, n’hésite pas à mentir.
C’est quelqu’un de très intelligent et cultivé, quand je dis observateur, c'est-à-dire d’une minutie totale, limite à la Sherlock Holmes. C’est un excellent stratège et, comme dit plus haut, un très bon manipulateur, capable d’élaborer des plans poussés et tordus. Il adore acquérir de nouvelles connaissances : il est un très bon historien, géographe, économiste et sociologue mais s’y connaît au très bien en psychologie ou en littérature. Il pense qu’aucun savoir est inutile, sauf quand ça touche à la physique : étant une daube dans ce domaine, il rejette totalement cette science. Il espère un jour regrouper le maximum de connaissances dans un livre qui permettra aux humains de prendre conscience des choses : pour lui, le savoir est l’émancipation.
Il voue une admiration et une dévotion sans faille à son capitaine Erin Rider, qu’il appelle souvent Maître.
Il est très fier de la symbolique que son fruit lui procure. Mais comme celui-ci lui empêche tout contact physique, il évite de toucher les autres et est souvent mal à l’aise avec ça. Il maudit alors le fait qu’il plait beaucoup aux femmes, il cherche alors à les éviter pour éviter de leur faire du mal, se montrant alors faussement désagréable.
But : « Je vais donc voyager, faire une carte de mon voyage, noter l’Histoire, ce que je verrai. Pour à chaque fois étendre ma réflexion. Mais je pourrais être des fois celui qui fera avancer l’Histoire ou qui modèlera les cartes contre l’Ordre. ». Il veut faire aussi une livre regroupant le maximum de savoirs et le diffuser sur le reste du monde.
Navire : Le Messager Gris.
Petit voilier possédant deux hélices, une à la proue, l’autre à l’arriève et un genre de moteur qui fonctionne à l’électro-dial qui lui permettent de voyager dans les airs.
Équipage: Cards Games.
Prime: 15 000 000 de Berrys (30/07/2015)
Aventures: Aucune pour le moment.
Fruit du Démon: Le Fruit de la dégénérescence.
L’organisme d’Arthez produit lui-même du Chaos. En effet, Arthez peut faire « dégénérer » les objets qu’il touche, la dégénérescence de l’état d’un objet le pousse à la destruction. Arthez peut utiliser deux types de dégénérescence.
Dégénérescence active : Arthez touche un objet, l’objet dégénère, se disperse donc se détruit au contact d’Arthez. Il peut donc détruire ce qu’il touche. Souvent, de petites étincelles rouges se forment autour de l’objet qui se détruit, représentation « physique » de son pouvoir.
Dégénérescence passive : Arthez touche un objet qui est alors entouré de crépitements rouges/oranges. L’objet tombe dans un état dégénérant qui le pousse alors à l’explosion quelques secondes après.
Plus l’objet est gros, plus il met de temps à le faire dégénérer.
Il ne peut pas faire dégénérer des organismes vivants comme des humains ou des animaux. Mais le contrecoup de son pouvoir fait que son contact créé de la douleur, comme une brûlure. Il ne détruit rien, n’a aucun impact physique, mais il transmet une dégénérescence passive qui fait mal à l’organisme des êtres vivants. Ce qui lui empêche tout contact physique. Cette dégénérescence passive ne s’applique pas aux objets, qu’il choisit lui-même de faire dégénérer ou non.
Dials :
Armes:
Arthez possède un pistolet en métal au canon très stylisé, avec un puissance de feu un peu supérieure à celles de pistolets normaux. Il possède une fente à l’endroit des balles qui lui permet de les toucher avant de tirer, créant alors des balles dégénératives explosives.
Références et inspirations:
- Spoiler:
-Oblige fait référence à Agnès Oblige, un personnage de Bravely Default.
-Henri Guillemin est le nom d’un historien.
-Une des inspirations principales d’Arthez est Lucien de Rubempré, des Illusions Perdues de Balzac. Poète qui chercha à devenir journaliste mais qui fut traîné dans la boue par une femme en quête de vengeance amoureuse. Le prénom Arthez vient en plus d’un ami de Lucien, D’Arthez.
-Certains moments de l’histoire d’Arthez, comme sa capacité à faire des argumentations parfois inutilement complexes est inspiré de l’homme politique Michel Rocard.
-Certains moments de l’histoire sont inspirés de la vie de deux révolutionnaires : Léon Trotsky et Lénine.
-Le but de rassembler le maximum de savoir puis de les diffuser s’inspire du projet de l’Encyclopédie de Diderot.
-Le physique d’Arthez, en particulier la forme du visage et ses grands yeux rouges sont inspirés du design de Flam, un personnage de Dreamland.
-Le pouvoir de la dégénérescence a de nombreuses inspirations. La flamme de la tempête de Reborn, l’alchimie de Scar et de Kimblee, Gambit et Rogue des X-mens.
-La règle des deux, le Maître et l’Apprenti sont des références à la règle des Siths, tirée d’une saga cinématographique connue dont je ne vous ferai pas l’affront de la nommer.
Dernière édition par kurotsu of mist le Mer 5 Aoû - 18:29, édité 1 fois
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Re: Equipage Cards Games , Erin Rider le Météore Bleu
Salutations Kuro' !
Alors tout d'abord une fiche juste magnifique je tiens à le dire, j'ai tout simplement adoré l'histoire de ce personnage qui était très bien détaillée et plus qu'intéressante tu as toutes mes félicitations pour ça.
Puisque cette validation a également pour but de donner à ton personnage une prime je me permettrais d'être pointilleux et de donner mon avis par rapport à la troisième partie de l'histoire d'Arthez. A mon sens tu as été un peu vite sur le passage chez les Che'ets, et j'ai également trouvé que la décision d'ensevellir les dirigeants de cette "secte" était un peu brutale pour cet homme plutôt pacifiste qu'était Arthez. C'est le genre de décision que je ne l'aurais pas vu prendre avant d'apprendre la mort de son père. Mais en dehors de cela la perfection, sans parler d'Erin qui est très bien introduit.
Cette magnifique histoire ainsi que les supers efforts généraux que tu auras fait pour ce personnage lui vaudront donc une prime de départ de 15 millions de Berry's, fais en bon usage, un grand pouvoir implique de grandes responsabilités :p
Personnage Validé.
Validation faite depuis mon portable, alors que je tentais désespérément d'atteindre ma maison après être sorti d'un bar. Un modérateur dévoué.
Alors tout d'abord une fiche juste magnifique je tiens à le dire, j'ai tout simplement adoré l'histoire de ce personnage qui était très bien détaillée et plus qu'intéressante tu as toutes mes félicitations pour ça.
Puisque cette validation a également pour but de donner à ton personnage une prime je me permettrais d'être pointilleux et de donner mon avis par rapport à la troisième partie de l'histoire d'Arthez. A mon sens tu as été un peu vite sur le passage chez les Che'ets, et j'ai également trouvé que la décision d'ensevellir les dirigeants de cette "secte" était un peu brutale pour cet homme plutôt pacifiste qu'était Arthez. C'est le genre de décision que je ne l'aurais pas vu prendre avant d'apprendre la mort de son père. Mais en dehors de cela la perfection, sans parler d'Erin qui est très bien introduit.
Cette magnifique histoire ainsi que les supers efforts généraux que tu auras fait pour ce personnage lui vaudront donc une prime de départ de 15 millions de Berry's, fais en bon usage, un grand pouvoir implique de grandes responsabilités :p
Personnage Validé.
Validation faite depuis mon portable, alors que je tentais désespérément d'atteindre ma maison après être sorti d'un bar. Un modérateur dévoué.
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