Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
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Samael
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Quel est le meilleur texte ?
Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Thème : Exploration
Longueur: Minimum cent lignes
Délai : Entre 2 et 3 semaines
Informations supplémentaires : /
Les textes sont donc à me rendre pour le 11 janvier maximum.
Bonne chance et bon courage aux deux participants.
Dernière édition par Samael le Dim 20 Jan - 18:35, édité 1 fois
Samael- Coléoptère
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Bon courage à vous deux.
pikel999- Coloriste Addict
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Bonne chance et bon courage a vous deux
Dernière édition par daoudienforce le Mar 1 Jan - 21:59, édité 1 fois (Raison : Oublie d'un n a bonne ^^)
Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Voici les deux textes avec du retard (de ma part).
Texte 1:
Texte 2:
Bonne chance aux deux participants
Texte 1:
- Spoiler:
- Une main tremblante de nervosité vint essuyer les perles de sueur dégoulinant sur le front du professeur. Au même moment, la hachette maniée d'une poigne experte finit de trancher la dernière liane qui empêchait le groupe de continuer son voyage. Luciano Makit, le guide brésilien qui œuvrait depuis le début de l'expédition pour faire avancer le groupe à travers la jungle dense, laissa la place au professeur et à son assistant. Ces derniers s’avancèrent vers l'endroit magnifique où ils venaient enfin de déboucher. Après de si longues années de travail, de recherches, de nuits blanches à étudier les informations détenues sur les mayas, lui, le professeur Adriano Lastrani, allait enfin se faire un nom parmi ses collègues ! Il le savait. Il leur avait dit ! Il leur avait dit à tous ces ignorants du centre scientifique qu'il y avait encore des lieux non explorés, recelant sans aucun doute de magnifiques trésors et des informations importantes !
Il passa une nouvelle fois sa main sur son front. Il régnait dans la jungle une atmosphère pesante, chaude et humide. Les moustiques s’en donnaient à cœur joie, piquant sans répit le groupe. Mais Latsrani n'y faisait même plus attention. Le petit homme courut, comme un enfant voulant rattraper un ballon que le vent lui vole, jusqu'à la pyramide centrale. Les yeux brillants d'une étincelle fougueuse, un rêve enfin atteint. Une fois la pyramide admirée, il entreprit de gravir les marches, montant tout en haut. Enfin arrivé, il posa ses mains sur ses jambes maigres, reprenant son souffle. Le soleil tapait encore plus fort au sommet de la pyramide, que la végétation ne protégeait pas des rayons brûlant de la mi-journée. Il se redressa finalement pour regarder l'entrée qui s'ouvrait dans la pyramide.
Noir. Noir de ténèbres.
C'est à ce moment que son assistant, un jeune homme nommé Ayonn, le rejoignit. Jeune, certes, mais prometteur ! Lastrani en était fier, et il ne doutait pratiquement jamais des déductions que Ayonn lui offrait lors de leurs découvertes.
Pratiquement jamais.
Ayonn, qui scrutait chaque détail de la pyramide d'un œil acéré, auquel rien n'échappait, finit par désigner les fresques murales sculptées dans la pierre.
- Ces bas-reliefs ne ressemblent en aucun point à celles se trouvant à Uxmal, Tikal, ni même à Chichen Itza, remarqua-t-il. Je ne pense p...
- Au diable les bas-reliefs, répliqua immédiatement Lastrani. Cette pyramide a été construite par les mayas, j'en suis aussi sûr que je sais que je me nomme Adriano Lastrani, compris ?
- Mais, tenta de se justifier Ayonn qui fut à nouveau coupé par le professeur inhabituellement agacé.
- Regarde, toute son architecture le prouve ! Cet escalier juste devant nous, son orientation..
Ce fut cette fois-ci le professeur qui fut interrompu par son assistant qui venait de croiser les bras, secouant négativement la tête pour montrer son désaccord.
- Au contraire, dit-il, je n'ai vu qu'un seul et unique escalier, contrairement aux quatre habituels, sans oublier que je n'ai compté que sept paliers au lieu de neuf !
- Au diable les paliers également, fulmina le professeur ! Éclaire plutôt ce couloir et suis-moi !
Ayonn capitula d'un mouvement de tête fataliste et saisit la grosse lampe électrique dans son sac à dos. Il l'alluma et dirigea le faisceau lumineux vers le couloir. Les deux explorateurs pénétrèrent dans le noir abyssal du mystérieux passage.**
Lahira soupira bruyamment. Qu'est-ce qu'elle pouvait bien faire ici ? Pourquoi avait-elle décidé de faire partie de cette expédition, avec ce professeur désagréable et cet Ayonn trop séduisant pour être réel ? Elle soupira à nouveau. Ce devait être son besoin d'argent urgent. Ouais. C'était ça. Elle regarda autour d'elle et dut tout de même admettre que l'endroit était impressionnant ! Quelques habitations semblant aussi vieilles que le monde, et cette pyramide. Impressionnante. Filant vers le ciel comme si elle allait en caresser la douceur des nuages. Lahira regarda finalement ses compagnons de voyage. Le prof' et le beau gosse étaient partis jouer aux scientifiques. Il ne restait que Luciano, le guide, mesurant bien deux mètres et avec les avant-bras plus épais que deux fois une de ses jambes à elle, un vrai tas de muscle et de nerf, presque effrayant.. Et les porteurs, des mecs aussi peu intéressants qu'un asticot en train de dévorer une pomme moisie. Tout en lâchant un énième soupir, elle sauta du mur de pierre où elle se tenait pour atterrir sans aucun problème trois mètres plus bas.
Souplesse.
Son rôle à elle dans toute cette histoire ? Rien de bien important. Rationner les vivres, les rendre mangeables, et se rendre utile pour un peu tout et n'importe quoi. Elle fit quelques pas souples pour se rapprocher du reste du groupe. N’ayant personne avec qui discuter, la jeune femme alla s'asseoir sur un petit rocher, à côté de l’endroit où les autres avait posé leurs affaires et discutaient en se reposant. Ils avaient marché durant pratiquement une semaine dans cette jungle. A travers des marais. Des rivières. Des sentiers infranchissables barrés de lianes et de toutes sortes de choses. En gros Lahira, tout comme le reste du groupe, avait des raisons de vouloir se reposer. Elle s'allongea, le regard tourné vers le ciel. La jeune femme finit par fermer les yeux, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres, plongeant dans ses pensées.
Lahira était une jeune femme dans la force de l'âge. Du haut de ses 18ans elle avait déjà vécu plus de choses que bon nombre de personnes. Sans aucune attache, ni famille, elle vivait de ses différents petit jobs, et arrivait toujours à s'en sortir à peu près. C'était une fille envoûtante. Pas parce qu'elle avait des courbes affolantes ni parce que son visage était parfait, mais parce qu’il se dégageait d'elle une liberté féline étourdissante. Sa façon de marcher et tous ses mouvements étaient d'une telle fluidité qu'ils en paraissaient parfois flous. C'était cette grâce sauvage qui avait déjà poussé tant d'hommes à tenter d'en faire la conquête, mais aucun n'avait réussi.**
Le professeur avançait d'un pas rapide. La salle refermant le secret de la cité ne pouvait être autre part qu’au bout de ce couloir ! Son jeune compagnon, éclairant toujours le passage, le suivait de près. Il y avait dans cet endroit une atmosphère étrange.. Désagréable.. Comme si ils allaient tomber sur quelque chose de.. maléfique. Ils continuèrent leur route dans le silence. La poussière recouvrant le sol, les racines serpentant sur les murs et les quelques lianes au milieu du passage prouvait que l'endroit n'avait plus été visité depuis des millénaires. Ils finirent par déboucher dans une petite pièce. Les pierres semblaient aussi glaciales que vieilles et l'odeur de moisissure qui s’en dégageait donnait la nausée aux deux explorateurs. Ils se concertèrent du regard avant de faire un pas dans la salle. L'endroit n'était pas bien grand. Des pierres jonchaient le sol, des toiles d'araignée hantaient les murs et aucune issue ne semblait visible, il n'y avait que l'entrée par laquelle étaient arrivés les deux hommes. Le professeur écarquilla les yeux et courut jusqu'au centre de la pièce, examinant chaque recoin, mais ne trouva rien.
- C'est impossible, cria-t-il en passant ses deux mains dans ses cheveux grisonnants coupés courts. Il devrait y avoir quelque chose ici ! Pourquoi la salle est-elle vide ?!
Ayonn, ne faisant pas vraiment attention au professeur, s'avança vers le fond de la pièce avec la lampe électrique.
- Tiens, qu'est-ce que c'est..
Le professeur était déjà à ses côtés.
- Quoi, tu as trouvé quelque chose, demanda-t-il avec un espoir franc dans la voix.
- Je crois, répondit-il, regardez.
Il avait saisi un petit coffret en pierre, qui était posé sur un petit socle qui se fondait parfaitement avec le noir absolu de la salle, et le tendait au professeur qui le saisit. Il l'observa quelques instants. C'était un coffret magnifiquement ouvragé, taillé dans la pierre mais malgré cela lisse comme un miroir. Il y avait un signe gravé dessus. Et un petit système afin de l'ouvrir.
Le signe aurait dû l'alerter.
Ce n'était en aucun cas du maya.
Il l'ouvrit.
Une fumée aussi poisseuse que de l'huile en sortit. Aussi noire que les ténèbres.
Elle pénétra leurs âmes dans un cri silencieux de dangerosité.**
La douleur était insoutenable. Un étau se resserrait sur leurs poumons. Sur leurs esprits. Un étau glacial. Aussi glacial que la mort. Un souffle vint les entourer, leur murmurant une promesse à l'oreille. Une promesse d'agonie. Agonie menant à la mort. Par un effort de volonté impressionnant il essaya de se redresser. Il y parvint alors que l'étau se refermait avec encore plus de violence sur son âme. Il ouvrit la bouche mais rien ne passa la porte de ses lèvres. La fumée, poisseuse, rentra à nouveau par ses narines, sa bouche. Pénétrant tout son corps, allant empoisonner son cerveau. Il tomba à genoux, ses yeux se remplissant de noir. D'un noir abyssal. Le noir qui régnait à nouveau en maître dans le couloir et la salle. Un filet écarlate dégoulina le long de son menton. Il retenta. Réussi.
Un cri de souffrance intense. Un cri effrayant d'humanité, devenu bestialité. Un cri douloureusement noir. Effroi. Peur. Douleur. Un cri d'agonie.
Il cessa très vite.**
Lahira sentit un frisson d'épouvante parcourir son corps. Elle s'était redressée d'un coup quand le bruit, non, le cri, avait retentit. Comment était-il possible de pousser un cri aussi horrible. C'était comme si il était directement sorti d'un film d'horreur. Non. Un film d'horreur, même le plus effrayant, n'aurait pas réussi à réaliser le hurlement qui venait de retentir.
Tout comme la jeune femme, tous les membres du groupe venaient de sursauter. Ils se regardèrent..
Après le silence qui avait plané sur le camp, quelques murmures circulèrent. Lahira s'approcha légèrement des autres, pas vraiment rassurée par ce qu'elle venait d'entendre. Elle entendit finalement ce que les porteurs se racontaient. Des histoires de malédiction. Quelle bande de superstitieux ! Luciano, lui, avait saisi son pistolet, qui servait à pouvoir se défendre si un animal sauvage attaquait. Faisant quelques pas vers la pyramide où étaient partis le professeur et Ayonn, il chargea son arme. Effectivement le hurlement venait de là-bas, et la jeune femme pâlit en comprenant que c'était sûrement une des deux personnes avec qui elle venait de passer de nombreux jours qui avait poussé le cri. Qu'est ce qui avait bien pu se passer ? Elle appela quatre des porteurs, sur les six présents, qui, après une hésitation, se levèrent pour la rejoindre, avant de suivre Luciano. Tous les six montèrent l'escalier, le regard inquiet. Une fois arrivés en haut ils se figèrent. Devant eux se trouvait l'entrée du couloir. Mais il y avait quelque chose en plus. Quelque chose d'effrayant. De la fumée à l’aspect étrange en sortait. Lahira fronça les sourcils, se demandant ce que c'était encore que cette chose. Luciano fit un pas en avant quand un détail frappa le regard de la jeune femme. Il y avait une jolie petite fleur qui avait poussé entre les dalles de la pyramide. Une jolie petite fleur qui fut réduit en poussière quand la fumée la toucha.
Elle fit un pas en avant en criant, voulant stopper Luciano. Trop tard. La fumée atteignit ses narines, pénétra dans son corps, inonda ses organes, envahit son cerveau. Le colosse tomba à genoux dans un hurlement de douleur encore pire que celui qu'ils avaient entendu précédemment. Gesticulant comme pour se débarrasser d'une sangsue, il finit par s'effondrer au sol, les yeux transformés en deux puits noirs. Un hurlement d'angoisse s'échappa des lèvres de la jeune femme, les yeux écarquillés sous le spectacle. La fumée explosa soudainement, comme si elle avait plus de force. Elle se propagea rapidement vers les trois personnes tétanisées par la peur. Lahira réussi faire demi-tour, quittant la vision horrible de Luciano étendu sans vie au sol et de cette fumée. Ses quatre compagnons voulurent faire de même. Malheureusement pour eux la fumée fut plus rapide. Et les entoura en une seconde. Quatre corps inanimés tombèrent à leur tour au sol, deux gouffres à la place des yeux.**
Lahira n'avait jamais eu aussi peur de toute sa vie. Elle courait, dévalant l'escalier, risquant à tout moment de trébucher et de s'écraser contre les marches en pierre. Hors d'haleine, les poumons en feu et une larme coulant sur sa joue, elle arriva enfin au pied de la pyramide. Elle se permit de s'arrêter pour se retourner. La fumée se propageait tout autour du bâtiment, devenant de plus en plus effrayante. Que devait-elle faire ? Et qu'est-ce que c'était que cette foutue fumée ?! Elle se mordit la lèvre jusqu’au sang et se retourna pour reprendre sa course. Elle devait prévenir les deux autres, même si elle ne les appréciait pas spécialement, rester ici était bien trop dangereux !
Elle arriva essoufflée au campement. Vide. Lahira serra les poings.
- Les chiens ! Ils ont foutu le camp !
Se sentant soudainement terriblement seule, elle se retourna à nouveau pour regarder la fumée arriver droit sur elle à une vitesse incroyable.
Elle courut. Vite. Plus vite qu'on ne peut se l'imaginer. Son cœur battait à grand coup douloureux dans sa poitrine. Ses jambes s'alourdissaient, devenant deux blocs de pierre. Ses forces la quittaient, sa vue s’obscurcissait. Elle courut longtemps ainsi, sentant la présence maléfique de cette chose derrière elle. Tout dépérissait autour d'elle, tout devenait poussière et cendre. Elle voulut accélérer. Sa vision était trop floue, et ses larmes lui cachaient trop la vue. Elle ne vit pas le gouffre devant elle et continua sa course. Elle tomba. Elle se sentit s'envoler, légère, comme si tout ceci n'avait jamais existé. Elle ferma les yeux. Les rouvrit quand elle s'écrasa contre les pierres recouvrant le fond du précipice dans lequel elle s'était jetée. Ses yeux s'écarquillèrent, ses os craquèrent, son crâne se cogna contre le sol. L'obscurité l'envahit. La douleur parcourut son corps brisé. Ses esprits la quittèrent. Elle perdit connaissance, allongée au fond de ce gouffre noir.
La fumée passa au-dessus d'elle.
Texte 2:
- Spoiler:
- Enfoui sous terre, au fin fond de l'Amazonie, en compagnie de mon très cher frère, je déboulais dans les longs couloirs de pierres. Les muscles tendus, le souffle court, des sueurs froides glissant le long de ma nuque, je courrais. Oui, je courrais pour échapper à ma perte.
Mon nom est James Kyle Wolf. Je suis un aventurier, ou plutôt un jeune étudiant en archéologie ayant soif d'aventure et de savoir. Tout comme notre père, mon frère jumeaux et moi-même avons suivi la même voie, celle de l'aventure. Un rêve nous unit tous les trois, celui de trouver un trésor qui est en réalité un lieu.
Dès notre plus jeune âge, Peter Wolf, notre père, nous racontait une histoire qui fascina les enfants que nous étions, celle de la civilisation disparue la plus avancée de notre histoire, les Olfates.
Ce récit expliquait l'existence d'un peuple ayant vécu sur Terre. Ceux-ci étaient dotés d'une intelligence hors normes, créant ainsi des technologies dont nous ne soupçonnions pas l'existence. Ils vécurent sur le continent sud-américain dans la dense jungle amazonienne, cachés du monde extérieur.
En x2374, lors d'une expédition en quête de vestiges, des scientifiques de tous pays, passionnés des langues mortes, découvrirent une tablette aussi fine qu'une feuille, au cœur même de l'Amazonie. Cet objet de haute technologie confirma alors la légende des Olfates, cette découverte demeura fondamentale dans le monde de l'histoire. A ce moment là, mon frère et moi n'avions de 14 ans, or cet instant fut décisif pour notre avenir. Nous souhaitions découvrir la cité du savoir, la cité du peuple Olfate connue aussi sous le nom de « Cité du Savoir ».
- A quoi as-tu encore touché James ?! S'exclama mon frère, le regard noir de colère.
- Je n'en sais rien ! Répliquai-je, Et puis, c'est peut-être toi qui a enclenché le mécanisme idiot ! L'air humide et frais des sous terrains me fouettaient le visage, mais mes jambes commençaient à me faire souffrir ainsi que mes poumons qui, eux, s'embrasèrent dans ma poitrine.
- Rah ! Cours ! Le robot nous rattrape ! A ses mots, mes yeux aperçurent rapidement l'engin mécanique munit d'un sabre enflammé gagner du terrain.
- Si tu avais pas oublié la machette en fer rouge, on en serait pas là, Ben !
Lorsque je regardai de nouveau droit devant moi, je constatai que quelques dizaine de mètres plus loin, l'obscurité régnait. Le chemin lumineux sous nos pieds, censé nous guider à la cité, s'arrêtait net à la limite de ces ténèbres.
- James, tu as remarqué le chemin ?! Demanda Ben, à bout de souffle. Le pantin d'acier se rapprochait dangereusement.
- Oui ! Lance une sphère lumineuse !
A peine avais-je prononcé ces paroles que mon frère sortit de sa poche une bille blanche puis la projeta loin devant, juste la limite du tracé lumineux au sol. A la seconde où l'objet entra dans la noirceur de l'espace, celui-ci libéra une lumière blanche qui éclaira l'obscurité l'entourant. C'est à ce moment que l'on vît la même chose mon frère et moi. Le vide. Un ravin nous attendait au bout de chemin. Je déglutis péniblement en me rendant compte qu'il n'y avait plus aucune échappatoire.
- Le robot ! On doit le faire tomber ! S'écria Ben en pointant le vide.
Un déclic se produit dans mon esprit. J'extirpai de ma veste un bâton, pas plus gros qu'une lampe torche. Mon frère effleura du regard ce qui se trouvait dans ma main, et comprit ce à quoi je pensais, comme si nos esprits ne faisaient plus qu'un. Ben m'adressa un sourire entendu. Dans un même élan, nous accélérâmes notre course. Le ravin se situait tout près, encore quinze mètres. Les pas lourds et métalliques se rapprochaient. Cinq mètres, il était juste derrière nous. Une, deux, trois enjambées et ..
- Maintenant ! Lança-t-on d'une seule et même voix, au même instant, nous nous élançâmes vers les parois sur lesquelles nous prîmes appui avec nos pieds afin de sauter encore plus haut.
En une fraction de seconde, après avoir appuyé sur le bouton correspondant, mon bâton s'allongea de chaque côté puis vînt se loger dans les murs de roches formant ainsi une barre fixe. Mon frère et moi nous agrippâmes à celle-ci, comme si on tenait notre vie entre nos mains, ce qui en réalité, n'était pas tout à fait faux.Quant au robot, lui, pendant notre saut, n'avait pas réussit à maîtriser sa vitesse et fut emporté dans les ténèbres qui demeuraient au fond du gouffre.
J'inspirai profondément puis un léger rire de soulagement sortit de ma bouche. Il s'en était fallu de peu. Ben soupira à son tour avec un sourire en coin.
- Franchement. Faut qu'on fasse attention avec les pièges sinon, l'expédition se stoppera net. Déclara mon jumeau, retournant pieds à terre.
- Mais cela ne va pas être facile. Répondis-je en lâchant prise à mon tour, avec le bâton à la main. Malheureusement la tablette ne contenait que peu d'informations, seulement comment arriver à entrer dans les ruines et comment se rendre à la cité.
- On ne va pas s'en plaindre, on en serait pas là si la tablette n'avait pas été trouvé. Répliqua mon frère en inspectant les murs.
J'avais remarqué que de l'autre côté du vide, le chemin bleuté continuait. Il devait forcément il y avoir un mécanisme quelconque qui permettait de le rejoindre. Bien évidemment, Ben avait pensé à la même chose que moi, donc mes yeux se mirent à scruter l'autre paroi. C'est alors que je vis le symbole des Olfates gravé dans la pierre. Un triangle entouré d'un soleil.
J'interpellai mon frère afin qu'il vienne observer ma trouvaille. Une fois près de moi, il constata que les bords de la roche sur laquelle se trouvait le symbole, semblaient légèrement plus espacés des autres pierres constituant le mur. Sans plus attendre, je pressai du bout des doigts le symbole, ce qui enfonça le support déclenchant ainsi le mécanisme attendu. Un pont lumineux apparut au-dessus du gouffre. Sa largeur ne permettait qu'à une seule personne de le traverser. Sans une once d'hésitation, je fis un premier pas sur la paroi, laissant paraître le vide sous la passerelle.
Après avoir traversé le pont suivis de mon frère, nous continuâmes notre route descendant, arpentant, scrutant, observant, les murs rocheux.. Les pierres et l'air frais nous chuchotaient d'avancer. Chacun de nos pas résonnaient à travers les passages. De grandes inscriptions demeuraient gravées au plafond qui se trouvait trois mètres au-dessus de nos têtes. Ayant étudié les langues mortes avec mon frère, je lus les symboles : « Au bout de la lumière tu trouveras. Au bout du chemin, une cité tu découvriras. » Ces mots appartenaient également à la tablette retrouvée.
Grâce à l'aide de notre père, nous avons percé à jour l'énigme qu'elle renfermait. Ben et moi avions mis plusieurs mois à rechercher la solution. Des coordonnées géographiques. Voilà quelle était la réponse.
Oui, vous devez vous demander : « Pourquoi personne n'a trouvé cette réponse avant nous ? » A vrai dire, les scientifiques en question avaient estimé, allez savoir pourquoi, que cet objet ne devait être exposé. De peur que quelqu'un ne s'en empare, sûrement. Seule une poignée de chercheurs avait accès à la tablette et possibilité d'examiner celle-ci sous tous ses angles.
Notre père obtenu une autorisation afin de voir l'objet technologique découvert il y a de ça 6 ans. C'est grâce à notre curiosité et maladresse que mon frère jumeau et moi-même déclenchâmes un système caché aux yeux des chercheurs et autres scientifiques. Des écritures se dessinèrent dans la projection qu'émettait la tablette Olfate. L'énigme était là.
Sac à dos prêt ? Sans plus attendre nous arrivâmes ensemble ici. En Amazonie. Tout excités à l'idée de pouvoir enfin découvrir un indice pouvant menée à la Cité du Savoir.
Arrivés devant un magnifique arbre à lianes se situant à l'endroit même que nous indiquaient les coordonnées. Et là, à peine avait-on fait un pas, qu'une trappe nous fit chuter dans ces obscurs sous terrains, éclairés par la seule lumière bleuté que produisait le chemin à suivre.
- Tu penses qu'on est encore loin, James ? M'interrogea Ben.
- Qui sait.. Mais nous devons rester vigilant. Il suffirait que tu appuis quelque par pour que..
« Clic »
Je me sentis mon corps se figer en entendant ce bruit familier.. qui semblait être le même « Clic » qui précéda l'arrivée du robot sortant d'un mur.
- Attention ! S'écria mon frère en me jetant violemment sur le côté. Mes oreilles perçurent un léger sifflement lors de ma chute avec Ben. En me redressant, j'aperçus trois sabres plantés dans la roche.
- Bon réflexe. Ajoutai-je en fixant les sabres. Il ne répondit pas et se leva doucement.
- Heureusement que j'en aie. Sinon, nous serions embrochés à l'heure qu'il est. Rétorqua-t-il d'une voix légèrement énervée.
Une fois relevé, je saisis deux des trois sabres que je retirai du mur. « Après tout, nous en aurions peut-être besoin.. » pensai-je en revoyant le robot.
Arme à la main, c'est ainsi que nous reprîmes notre chemin vers « la Cité du savoir ». Chaque pas nous rapprochait de notre but, notre rêve. La pression montait en nous. On brûlait d'impatience tous deux, or nos visages ne le montraient pas. Ils restaient calmes et impassibles. Une demi heure que nous marchions, et que nous avions échappé à deux autres pièges. L'un consistait faire chuter et l'autre à nous empoisonner avec des flèches. Comme vous l'auriez remarqué, les Olfates n'avaient pas lésiné sur les pièges, mais je doute que nous ayons tous vu lors de notre trajet. Du moins, j'espérais que nous en avions assez vu et que la chance serait de notre côté.
D'un coup, le lourd silence fut briser par l'espoir qui nous tendait les bras au bout du couloir. De la lumière brillait. Ben me regarda avec ses yeux bleus emplis de joie, tel un gosse découvrant ses cadeaux au pied du sapin. Je lui souris en guise de réponse. Pressés par l'envie de découvrir ce qui nous attendait, nos pas s'accéléraient peu à peu. Je n'entendais plus que la voix de mon père en train de nous raconter cette histoire que nous connaissons tellement bien.
Faisant un premier pas vers la puissante lumière, nos yeux furent aveuglés quelques secondes. Lorsque mes paupières se rouvrirent, ce fut avec stupeur que je découvris ce qui se trouvait devant moi.. Dans mon esprit, je n'en revenais pas. Tout ce qui résumait notre rêve était là, juste en face de mes yeux. Nous l'avions trouvé. La cité des Olfates. Je n'entendais plus que les battements de mon cœur, comme si le temps s'était figé.
Un peu plus bas, s'étalait la ville enfouie, éclairée par une immense sphère lumineuse qui demeurait encastrée dans le plafond. Sous cette puissante source de lumière, presque similaire au soleil, trônait une haute tour entièrement constituée de métal avec une architecture hors du commun. De notre point de vu, la couleur initiale du métal était restée intact. Il ne s'était pas oxyder.
La plupart de l'espace semblait être occupé par des maisons bâties de bois et de fer, abîmées par le temps au fil des siècles. Descendant doucement les escaliers et le regard rivé vers la gigantesque salle, je remarquais qu'aux quatre coins de celle-ci y était posté un temple, correspondant sûrement à chacun des quatre dieux qu'ils vénéraient. Celui de la sagesse, du soleil, de la fertilité et des fleuves. Une petite rivière traversait la ville souterraine, laissant derrière elle un léger ruissellement. Les murs rocheux autour de la ville, eux, demeuraient ornés de magnifiques fresques représentant les Olfates ainsi que leurs dieux. Encore quelques marches, puis mes pieds atteignirent le sol recouvert de dalles blanches. Du marbre peut-être ? Non, même le marbre n'était pas d'un blanc aussi éclatant. On se serait cru en train de marcher sur les nuages. Magnifique. Voilà, le mot qui résumait à lui seul cet endroit secret, caché dans les profondeurs de la Terre.
Ben me tira de mes pensées en me faisant remarqué qu'il y avait une issue menant vers la sortie de l'autre côté de la ville. J’acquiesçai d'un léger mouvement de tête. Mais avant ça, je lui proposai de jeter un coup d’œil aux alentours, voir si ce lieu possédait une autre possibilité de sortie menant à l'extérieur. Alors que nous nous enfoncions un peu plus dans la ville émerveillés par la beauté du lieu, je sentis quelque chose sous ma chaussure. Relevant mon pied, je découvris une pièce d'or. Après l'avoir ramassé, je voulus l'observer, mais Ben ne m'en laissa pas le temps. Étant plus loin que moi, Il venait de se mettre à courir vers moi en me criant ce mot qui voulait tout dire.
- COURS !
Lorsqu'il passa près de moi, mon frère ajouta :
- Un lion !
A peine avais-je regarder le bout de la rue, que le lion en question surgit d'une allée et apparut dans la grande rue. Je me sentis devenir livide à la vue de l'imposant animal de trois mètres. Mes yeux ne voyaient que ses babines découvrant ses crocs et les griffes acérées qu'abritaient ses pattes métalliques. Je n'avais jamais rien vu de tel. Prenant alors mes jambe à mon cou, je rattrapais mon frère dans les ruelles toujours poursuivis pas le félin qui gagnait en vitesse. Deux courses poursuites dans une seule journée, cela faisant tout de même beaucoup. Nous fîmes deux virages, et au deuxième, je vis un passage sombre sur la droite et y entraîna violemment mon frère jumeau ne comprenant pas ce que je faisais. Nous étions dans une ruelle, je fis signe à Ben de se taire. Encore le cœur battant à mille à l'heure, nous restâmes tapis dans l'ombre, puis vîmes passer le lion à toute allure.
Mon frère me demanda ce que nous allions faire, le lion allait forcément nous retrouver dans peu de temps, de plus nous ne pouvions pas nous défendre avec ce qu'on avait. Les épées n'étaient d'aucune utilité face à la bête d'argent. Je lui proposais d'aller dans une maison, peut-être allions nous trouver quelque chose. Il approuva d'un hochement de tête. Nous nous faufilâmes dans une maison, sans faire de bruit. Au loin, le rugissement du lion retentit, nous n'avons plus beaucoup de temps avant qu'il ne nous repère. Ben et moi fouillâmes la maison de fond en combles, jusqu'à ce que mon frère trouve quelque chose.
- James ! Chuchota-t-il. Regarde. Il désignait de la main deux sortes de planches métalliques, l'une blanche et l'autre noire. Cela ne te rappelle rien ? Continua-t-il.
Je fonçais les sourcils ne voyant pas ou il voulait en venir. Observant ma réaction, un soupir exaspéré sortit de sa bouche. Il pris l'objet, le posa à terre et commença à l'examiner. Pendant ce temps, je retournais à ma tâche. Mes yeux scrutèrent les étagères et y découvrirent une boîte couverte de poussière. Chassant les particules avec mon souffle, des inscriptions virent le jour. Je pouvais y lire : « Gris → Fumé, Bleue → Eau, Rouge → Flammes » Lorsque j'ouvris la boîte, j'y découvris des anneaux, neuf en tout, dont trois de chaque couleur. A quoi cela pouvait-il servir ?
- Wow.. Wow ! Je me retournai vers mon frère, c'est à ce moment que je le vis en suspens dans les airs, les pieds posés sur la planche. Il m'adressa un large sourire.
- Fais pas cette tête ! Cela peut nous permettre, de nous déplacer plus rapidement.
- Oui, mais se ne sera pas assez puissant face à la vitesse du lion !
- Peut-être qu'avec ce que tu as trouvé on peut le ralentir, non ? M'interrogea Ben.
- Je ne sais pas vraiment ce que c'est. Vérifie par toi-même. Répondis-je en lui tendant la boîte qu'il saisit.
Mon frère fit descendre la planche à terre puis retira un anneau de son écrin. Alors que je pris l'autre objet métallique, il passa l'anneau gris à son index. Et du coup, un jet de fumé fut projeté en dehors du bijou. Voulant à tout prix évité d'être asphyxié, nous sortîmes en trombe de la maison. Après avoir pris une bonne bouffée d'air, je demandais à mon frère jumeau :
- Comment as-tu fait ça ?!
- J'ai juste passer l'anneau au doigt. Mais.. il n'est plus là ! S'exclama-t-il.
- Chut ! Sinon..
Un rugissement arriva à nos oreilles. Le félin n'était pas loin. Ne désirant pas rester un instant de plus dans les parages. Les anneaux dans nos poches, nous sautâmes sur nos planches volantes. Je manquais de tomber à cause de mon piètre équilibre. Une fois bien stabilisés, nous nous dirigeâmes vers le pont permettant de traverser le court d'eau mais dans la minute qui suivit, les foulées métalliques du lion nous rattrapèrent. La vitesse de nos engins augmenta et commença à distancer l'animal, or ceci ne dura que quelques secondes car lui aussi accéléra. Le vent nous fouettait le visage. C'est alors que le lion ouvrit sa gueule et un jet de flammes fut projeté dans notre direction que nous évitâmes de peu. L'arrière de ma planche blanche venait de noircir. Je plongeai ma main dans ma poche, de laquelle je sortis un anneau bleu. « L'eau. » pensais-je. Le félin se préparait de nouveau à une attaque. Quand une légère étincelle jaillit entre ses crocs, j'enfilais l'anneau, la main vers la bête. Une grosse vague d'eau sortit de celle-ci, le ralentissant.
- Bien joué ! Se réjouit Ben. Nous accélérâmes de plus belle. Le pont apparut alors au bout de la rue.
- Ben ! M'écriai-je, Utilise un anneau de fumée lorsqu'on traversera le pont !
- Compris James ! Passe devant !
A ses mots, je le fis. Plus loin, le félin arriva vers nous. On traversa juste à temps le pont qui à la seconde d'après fut caché par un écran de fumée. Nous tentâmes de le semer en brouillant sa vue. Malheureusement le nuage noir n'eut aucun effet sur lui et d'un bond il traversa la fumée.
- Il va nous rattraper ! S'exclama mon frère jumeau volant à plusieurs dizaines de centimètres du sol.
Je sortis deux autres anneaux de ma poche, un bleue et un rouge. Peut-être que le feu provoquerait des dégâts sur lui. Nous n'avions qu'un seul moyen de le vérifier. De gigantesques flammes atteignirent le lion d'argent, qui recula à la vue du feu. A présent, nous connaissions son point faible. Nous nous efforçâmes d'avancer vers la porte, mais les offensives du lion devenait plus agressives, et nous n'avions plus d'anneau d'eau qui permettait d'atténuer ses attaques.
Jusqu'au moment où, il donna un coup de pattes dans la planche de Ben, qui au même instant sauta vers moi. L'engin ralentit peu à peu avec la charge que nous faisions à nous deux. La porte n'était plus très loin ! Encore trente mètres ! Le félin tenta de nouveau de nous donner attaquer avec ses griffes, mais avant qu'il ne puisse bouger sa pattes, mon frère sortit son anneau de flammes. Lançant ainsi des flammes dans la direction de l'animal. Plus que quinze mètres ! C'est alors que le lion continua sa course, nous rattrapant à la seconde d'après. Une partit de sa crinière avait brûlé. On y était presque !
- Et c'est là que je vis un mécanisme, à côté de la sortie.
- Ben ! Quand on sautera, enclenche le mécanisme ! Voyant à quoi, je faisais allusion il me montra son approbation. Je lui passai le dernier anneau de flammes qu'il utilisa de suite.
Trois, deux, un.. Zéro ! Nous sautâmes de la planche. Et pendant notre saut, une muraille barra la route à la bête d'argent.. Après avoir fait au moins deux roulades, mon frère et moi nous retrouvâmes face contre terre, le cœur battant la chamade.. Nous étions vivants..
- Allons retrouver Papa, soufflais-je, le sourire au lèvre toujours allongé à terre.
- Mais James.. Nous n'avons rien provenant de la Cité.. Même les derniers anneaux sont tombés.. déclara Ben d'un air abattu.
- Non.. J'ai quelque chose.. répondis-je.
Après être rentrer chez nous, dans notre pays, mon frère et moi nous rendîmes dans la demeure dans notre père. Ce jour là, il était dans son lit, toujours perfusé, lisant un livre. Nous lui racontâmes ensemble, notre aventure. A la fin de notre récit, j'extirpai d'une petite boîte la pièce que j'avais trouvé et lui glissa dans la main, en lui glissant ces quelques mots : « Le voici, le trésor appartenant à ton rêve. »
Bonne chance aux deux participants
Samael- Coléoptère
-
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Bravo.
- Spoiler:
- Dur de choisir. Niveau écriture, les deux textes sont égaux, même si le premier est légèrement mieux à mes yeux. Je vais donc orienter mon vote grâce aux idées du texte :
Sur ce coup là, le deux, est celui que je préfère, même si je suis un peu déçu.
"x2374," Soit dans trois siècle. La technologie aura bien évolué d'ici là, et j'aurais bien aimé qu'elle fasse son apparition à côté de celle de l'ancienne civilisation. Ensuite, à par qu'il n'y pas de lion en amazonie ( un jaguar aurait été mieux ), j'ai pas de remarque à faire. J'ai adoré l'idée du duo de jumeaux
Pour le texte un, j'aurais préféré que les personnages soit plus coriaces. L'idée du gaz est bien, mais au lieu de les faire crever minablement, j'aurais aimé une fuite épique à la Indiana jones pour les deux scientifiques.
Enfin, bref, au final, je vote pour le texte 2, même si l'écriture du texte 1 m'a plus attirée.
Phantom- Vastolorde
-
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Excellent
J'ai eu du mal à déterminer qui aura mon vote. Tous deux ont une écriture qui se vaut et cela a rendu mon vote difficile.
J'ai eu du mal à déterminer qui aura mon vote. Tous deux ont une écriture qui se vaut et cela a rendu mon vote difficile.
- Spoiler:
- Dansle premier, la lecture est facilité par l'espacement de petit chapitre, cour mais bien fait. Il y a aussi le fait que les protagonistes soient différent de ce que l'on peut voir pour ce genre de thème.
Dans le deuxième, les héro sont assez classiques. Des archéologues qui partent à la recherche d'un trésor, un lieu. Ce qui les rend attachant est le fait que ce soit des jumeaux et partant pour leur père. J'ai beaucoups aimé la fin.
J'ai donc voté le deux pour son histoire essentiellemnt
olliraph- Vastolorde
-
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Bravo ,à tous les deux
- Spoiler:
- je vote le 1 ,car ,selon moi ,plus détaillé et accrochant mais le 2 est superbe aussi
Chii- Vastolorde
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Alors bravo pour les deux écrivains, c'est vraiment bien écrit.
Mais j'ai voté pour le texte 1 (malgré le début qui est un poil difficile a assimiler, et aussi le nom du scientifique qui varie entre "Lastrani"et"Latsrani")
Mais j'ai voté pour le texte 1 (malgré le début qui est un poil difficile a assimiler, et aussi le nom du scientifique qui varie entre "Lastrani"et"Latsrani")
pikel999- Coloriste Addict
-
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Le délai est terminer je pense non? A moins que d'autre personne veulent encore voté? Ça reste très serré là
Luffy-chan- Marchombre
-
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Oui j'ai d'ailleur voté la 2
Samael est encore en Espagne donc il ne pourra pas désigner le vaiqueur
Samael est encore en Espagne donc il ne pourra pas désigner le vaiqueur
Invité- Invité
Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
j'ai voté le 09/03/2013 à 1:02 comme ça vous prendrez en compte ou non mon vote.
Vraiment un grand bravo aux deux participants!
- Spoiler:
- j'ai voté le texte 1 car j'ai préféré son style d'écriture, par contre dans le texte 2 j'ai apprécié le début, quand tu (celui qui a écrit ce texte) mets en place le cadre avec les deux frères qui suivent les traces de leur père et qui veulent réussir à faire ce que personne n'a réussit à faire jusqu'ici, dans le cas présent découvrir la cité du savoir.
Un petit moins que je mets au texte 2 c'est qu'il y a des problèmes de concordance des temps.
Après quand je dis que j'ai préféré le style du texte 1, je veux dire que l'auteur de ce texte a plus su me faire entrer dans l'histoire avec une description de l'ambiance, de l'humeur des personnages, du paysage qui était un peu meilleur je trouve.
Mais sincèrement le deuxième texte était aussi très bon.
Vraiment un grand bravo aux deux participants!
Loracle- Mage
-
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Donc qui a gagné ? ^^
mugi- Amiral
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
On peut savoir qui a gagné !
ça fait six mois qui les votes ont été lancés.
ça fait six mois qui les votes ont été lancés.
pikel999- Coloriste Addict
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Je pense que je peux révéler le gagner non?
Luffy-chan- Marchombre
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Owi! C'est Luffy-chan qui a gagné!
Félicitations Cham!
Félicitations Cham!
Wendy Marvel- Arcobaleno
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Re: Duel Littéraire n°5: Luffy-chan vs Wendy Marvel
Oh bon bah tu t'en seras chargé p'tite Chamallow !
Bravo aussi à toi il gérait ton texte !
Bravo aussi à toi il gérait ton texte !
Luffy-chan- Marchombre
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Date d'inscription : 05/02/2010
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