La fille de la nuit.
4 participants
Page 1 sur 1
La fille de la nuit.
La fille de la nuit.
Chapitre 1
- Spoiler:
Chapitre 1
Il faisait sombre dans la forêt. Elle levait les yeux au ciel, voyant la pleine lune qui était éblouissante. Elle courait dans la forêt, entre les arbres, sentant la nature, écoutant la nature, laissant le vent toucher sa peau. Elle portait une cape à capuche noire avec un masque pour cacher son visage. Elle portait un surnom que tout les paysans de cette ville lui avait donné «la fille de la nuit». Il y a très peu de paysans en ville... Personne ne la connaissait, personne n'avait vu son visage. Elle sortait uniquement la nuit, la journée c'était comme si elle n'existait pas. Il y avait d'autres rumeurs sur elle, plusieurs paysans avait peur de cette femme, de ce qu'elle était. Ils imaginaient tous le pire depuis son arrivée dans cette ville, la ville de Washingtom. Cet endroit était désert... Apparemment, depuis qu'elle est apparue dans cette ville , les paysans ont mit une règle « Ne plus sortir à partir de 21heures sinon vous serez banni. » Elle marchait le long des rues, à la recherche d'un endroit pour manger, elle regarda de droite à gauche toute les maisons et boutiques étaient fermées. Elle soupira, tourna les talons, lorsqu'elle entendit une voix la questionner.
—Qui êtes-vous?
Elle se retourna, tête baissée et répondit :
—Une inconnue.
—Votre nom?
— J'ai dit que je suis une inconnue... Elle disait cela avec un ton froid.
Il s'approcha d'elle et elle recula. Il continua de s'avancer, chacun de ses pas elle pouvait les entendre, les sentir au plus profond de son être. Elle partit en courant, ne voulant pas qu'on la voie. Pourquoi ? Pourquoi cache-t-elle son visage ? Elle s'appuya contre un arbre, la tête baissée, elle croisa les bras et soupira.
—Alors madame, essaye de s'enfuir ?
—Tu me veux quoi ?
—Voir ton visage.
—Jamais
—Pourquoi?
—Je t'en pose des questions ?
—Je t'avais jamais vu par ici
Elle releva la tête vers lui mais elle fut surprise de ce qu'elle voyait, une homme au cheveux brun et au yeux marron . Ce qui était très étrange. Elle sentit une main sur son épaule, elle le retira d'aussitôt et le repoussa. Elle lâcha un soupir. Le jeune homme la fixa, elle sentait son regard sur elle. Elle avança en bousculant le jeune homme, elle faisait la dure, une femme froide ce qui ne toucha pas le jeune homme au contraire le jeune homme était attiré par elle mais elle l'ignora. Il l'a suivait, elle faisait un pas et il s'avança d'un pas. Elle grognait en serrant les mains, il était vraiment collant...
—Tu as finis de me suivre ?
—Non, je m'en irais si tu me dirais qui tu es vraiment
—Je t'ai déjà dis, je suis une inconnue !
—Ta voix me dit quelque chose..
Elle aussi ça voix lui disait quelque chose et pourtant elle ne lui disait pas, pourquoi ? Voulait-elle qu'on ne la reconnaisse pas ? Sûrement... Elle continua son chemin, elle s'avança de plus en plus vers le côté qu'il faisait sombre. C'est comme ça qu'elle pourra perdre le jeune homme qui lui faisait que de la suivre, Bien évidemment, elle seule connaissait bien cette forêt. Elle le connaissait sur le bout des doigts. Le jeune homme la suivait encore et encore. Elle tourna à gauche puis à droite, rentrant de nouveau dans la forêt ce laissa glisser entre les arbres. Elle entendit les cris de cette nature. Elle se retourna vers le jeune homme criant sur lui:
—Par d'ici de suite et vite !
—Non, je t'ai dis que non !
—Ils n'aiment pas voir des inconnus.. Pars de la !!
—Qui ?
—La nature...
Il la regarda étrangement, elle sentit son regard posé sur elle, tout en fixant le sol, elle n'entendit pas sa respiration, ni son cœur battre. Elle courra vite, se cachant derrière un arbre. Elle releva la tête, le jeune homme se mit devant elle. Il voyait que la couleur de ses yeux qui éblouissaient des yeux bleus ciel comme le ciel,le reste était caché par le masque.Il s'approcha de nouveau, son visage près de la siennes.
—Tu as de jolie yeux, dit donc
—Tu es qui ?
—Tu deviens curieuse maintenant ?
—Non.. mais tes yeux... ils sont bizarre.
—Oh tu t'inquiètes que pour ça ?
—C'est des lentilles de contacte, le rouge c'est ma couleur préféré.
—Moi, c'est le bleu...
—Au moins je sais un truc sur toi, ma sœur aussi aimé le bleu
—Elle a quel âge ?
—Elle a disparu quand elle était petite
—Oh je suis désolé..
—Ce n'est rien! Je peux rester avec toi alors ?
—Tu ne peux pas, c'est mieux pour toi.
—Et pourquoi ?
Elle décida de ne pas répondre et partir en courant. Elle se faufila entre les arbres, s'avança au plus profond de la forêt, la partit la plus obscure. Elle s'arrêta de courir après avoir perdu la traces du jeune homme. Elle était essoufflé. Elle s’essaya par terre lorsqu'elle entendit un cri, d’où venez ce bruit? Elle se leva en vitesse, essayant de repérer le bruit? Elle courra prenant le chemin tout droit devant elle, elle se rapprocha des bruits,c'était affreux, cette fois-ci la forêt était mouvementé et non calme, ce qu'elle n'aimait pas. Un bruit d'homme criant de douleur, la nature aussi criait de douleur, lui faisant mal au oreilles. Elle tomba à terre, posant ses mains sur ses oreilles, essayant de garder son calme. Tellement affreux d'entendre ces bruits qu'elle resta frustrée au sol. Des bruits de pas s'avança,traînant quelqu'un par derrière. Elle tourna la tête vers la direction de cette homme, se levant et suivit ses pas. Elle ne pouvait pas détecté le visage du jeune homme à terre ni le monsieur qui lui a fait du mal, il portait une cape noire en capuche comme elle. Elle prit un raccourci passant par la gauche ,allant à droite ,arrivant devant lui. Elle garda la tête baisser, se concentra sur le visage de l'inconnue au sol.
—Lâche le.
—Tu es qui toi? Pour être à travers de mon chemin?
—Tu es sur mon territoire, monsieur qui veut se la jouer.
—Ton prénom est marqué quelque part?
Elle s'approcha de lui pour être corps à corps avec lui. Elle lui chuchota à l'oreille.
—On me nomme la fille de la nuit...
Il resta choqué, il ne disait plus rien. Il faisait demi tour en continuant de traîner le jeune homme.
—Alors tu comptes me fuir ? Je ne mange pas... enfin pas encore.
Il grogna continuant son chemin. Cette fois-ci elle le suivit, elle n'aimait guère les gens prenant la fuite en pleines discutions. Elle siffla sur un ton un peu grave et froid pour une fille, elle ne s'arrêtera pas jusqu'à que le monsieur se retourna vers elle. Il grogna lui aussi. Un sourire se dessina sur ses lèvres, personne pût le voir. Il voulut enlever sa capuche mais elle attrapa sa main avant qu'il puisse l'atteindre.
—D’où tu oses me toucher ?
—Je veux voir ton jolie visage
—Rêve pas trop
—Tu caches quelque chose.
—Qui sait ? Bon maintenant lâche ce jeune homme et laisse le tranquille tu lui as fait assez de mal.
—Depuis quand la fille de la nuit se soucie de quelqu'un ?
—Tu ne me connais pas.» Disait-elle sur un ton froid et menaçant.
Il lâcha le jeune homme, elle regarda pour savoir qui c'était, c'était bien le jeune homme qui la suivait toute à l'heure. Elle le dévisagea du coin de l’œil en lui disant:
—Je te l'avais dis de partir loin d'ici, tu vois quand tu ne m'écoutes pas.
Il partit vite.
—Tu le connais ?
—Il me suivait toute à l'heure pour savoir qui j'étais, il n'a pas compris que je suis qu'une inconnue
—Voyons une jeune dame ne doit pas cacher son merveilleux visage.
—Tu caches bien le tien, non ?
Elle releva sa tête pour le regarder. Lui, il avait la tête baisser aussi. Elle posa sa main sur sa capuche le relevant un peu. Il garda la tête baissé, il se retourna. Elle recula, baissant de nouveau la tête.
—Tu vois, tu ne montres pas le tient, qui es tu ?
—Je me pose la même question pour toi
Chapitre 2
- Spoiler:
- Chapitre 2
On restait la, seul tout les deux. Le silence s'installa entre nous. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait gênée, jusqu'à présent, elle était toujours seule. Elle soupira encore et encore.
—Tu as quoi ?
—Rien, je vais te laisser.
—Non, tu restes ici.
—Et pourquoi ?
—Je dois te dire quelque chose..
—Je t'écoute.
Il s'approcha de mon oreille, lui chuchota :
—Je suis un loup...
Elle se mit à rire. Après, elle n'y croyait pas à ce genre de chose à par si elle avait des preuves. Elle lui tournait le dos, levant la main en l'air, montrant le majeur. Elle prenait le chemin qui était devant elle. Elle entendaitt un grognement venant de derrière elle. Il redevenait humain,la jeune fille restait sans voie. Il s'approchait d'elle en chuchotant à son oreille :
—Alors, tu me crois maintenant ?
Elle se retournait vers lui, sa tête heurtait son torse. La fille se reculait vite, gardant toujours la tête baissée. Le jeune homme posait sa main sur son bras. Elle se reculait de nouveau et celui-ci se rapprochaiy. Elle continuait, heurtant un arbre.
—Je te fais peur ?
—Non
—Pourquoi tu recules ?
—J'en avais envie.
Il se transformait en loup devant elle, il était blanc au yeux bleu avec une velours belle et soigneuse. Elle ne pouvait pas se détacher de ses yeux, se sentiment qu'elle ressentait... Elle pouvait se voir dans ses yeux. Elle s'agenouillait devant le loup, laissant sa main se dirigeait vers sa tête. L'animal baissait la tête se laissant faire, elle le caressait doucement. Il appréciait. Elle murmurait à elle-même :
—Comment t'appelles-tu ? Mon nom est....
Elle s'arrêtait sur ces mots, ne voulant pas qu'on sache qui est-elle. Le jeune homme devenait à nouveau humain. Elle ne savait pas si il avait entendu ce qu'elle disait, espérons que non. Et puis... les loups normalement peuvent tout entendre. Elle se déplaçait doucement, essayant de lui échapper. Elle se trouvait sous son emprise depuis quelques minutes. Il l'a bloquait, et puis c'est un garçon... et un loup... En y pensant ça lui donnait le mal de cœur. L'homme de tout à l'heure avec les yeux rouges étaient vraiment un humain? Ou un vampire? «Je suis devenu parano...» pensait-elle. Elle enlevait la capuche de cette homme pour voir son visage mais il portait un masque noire. L'homme se vengeait , on pouvait seulement voir les yeux de l'un de l'autre, ils étaient bleu ciel comme cette dernière. Un sourire s'affichait sur les lèvres de la demoiselle derrière son masque.
—C'est quoi ton nom le mâle ?
—Et le tien? Femelle.
—Je ne suis pas une femelle, désolé je me transforme pas en loup comme toi. Je suis une inconnue, je n'ai pas de nom.
—Je suis sur que tu as n'a un.
—Ou pas.
Le jour allait se lever. Elle fixait le ciel. Le ciel devenait bleu ciel, elle devait vite partir. Elle le poussait, partit en courant, cherchant un endroit pour dormir. La journée, ils y avaient pleins de gens qui venait se promener. Elle ne pouvait rien faire pour les repousser, malheureusement... La forêt était sa propriétée, elle ne sortait jamais de cette endroit à par pour chercher quelque chose à manger. Elle allait vers une cabine, pour y aller, il fallait grimper à l'arbre pour y accéder. Elle grimpa à l'arbre avec difficultée, elle tombait à plusieurs reprises, ne baissant pas les bras. Elle essayait de nouveau de grimper à l'arbre jusqu'à qu'elle atteingnait la cabane. Elle entrait dedans et entendit du bruit dehors. Elle jetait un coup d’œil et c'était encore lui...
—c'est pas vrais... Tu fous quoi ici ?
—Je cherche un lieu pour dormir.
—Va trouver ailleurs, je l'ai trouvé avant toi.
Il entrait. Elle n'eût pas le temps de le repousser. Elle ne pouvait même pas se changer, ou enlever sa cape vu qu'il était la... Elle se mit assis sur une chaise, prenant une feuille et un stylo se trouvantsur le bureau. Elle marqua:
Propriété privé, la jeune fille de la nuit.
Elle l'attachait sur la porte avec du scotch qu'elle trouvait dans un tiroir. Une personne habitait ici avant, elle fouillait de partout pour trouver autre chose mais plus rien. Elle avait espéré qu'il y avait de l'argent ou de quoi manger. Son ventre grognait. Elle n'avait pas pu mangé,c'était fermé de partout. Elle se retournait vers le jeune, elle ressentait son sourire à travers son masque.
—Tu as fini de fouiller chez moi ?
—Comment ça chez toi ?
—Beh j'habite ici, tu t'es incrusté chez moi.
Elle restait bête sur ce coup, elle ne savait plus trop quoi dire. Elle allait partir pour ne pas le déranger son «chez lui». Elle devait à nouveau chercher un autre endroit.
—tu vas ou ?
—Me trouver un endroit pour dormir, pourquoi ?
—Dort ici.
Elle n'avait pas le temps de dire non, qu'il fermait la porte à clef. Elle se mettait sur le lit, s'allongeait sur le côté, posant une main prêt de son visage. Il s'approchait d'elle et posa une couverture sur la fille. Elle s'endormait petit par petit jusqu'à tomber dans un sommeil profond. Il s'allongeait à côté d'elle,essayant de soulever son masque de la demoiselle, celle-ci se retourna, lui tournant le dos avant qu'il pouvait le faire. Il caressait ses cheveux, blond, belle, splendide. Il ne pouvait pas trouver les mots pour les décrire. Il sentait son odeur, la rose, une belle fleur entrain de dormir. Elle devait aimer les roses, c'était son hypothèses. Il finissait par s'endormir.
Plusieurs heures s'écoulaient, il était à présent 22 heures du soir. La jeune fille de la nuit ouvrait ses yeux doucement. Elle voulait se mettre sur le dos en écartant les bras mais elle sentait la tête de quelqu'un. Elle se relevait en sursaut. Le jeune homme se réveillait.
—Pourquoi... Pourquoi ... Balbutia-t-elle.
Il se touchait la tête timidement avec un sourire idiot. Elle cherchait dans sa mémoire comme il a pouvait se mettre à côté d'elle. Pourtant, elle avait toujours le sommeil léger, elle restait choqué sur ce qui c'était passé. L'avait-il drogué? Tant de question qui tournait dans sa tête. Elle se levait, marchait dans la cabane faisant les cents pas puis elle tournait sur elle même. Il la fixait, elle lui donnait le tournis à force qu'elle bougeait. Il se levait l'attrapa pour qu'elle arrête. Elle levait la main vers sa joue, lui donna une gifle, son masque tomba par terre. Il baissait vite la tête. Elle prenait le masque, s'approchait vers lui et le lui tendit.
—excuse-moi, j'y vais.
Elle partait vite, retournant à Whasingtom. Cette fois ci, il y avait un endroit pour aller manger. Elle entrait. Tout les regards se mettait à la fixer, elle lâchait un soupir, s'avançait vers le serveur et demandant une table. Il y avait des personnes qui parlaient à voix basses, j'écoutais leur conversation.
—Elle fait flipper...
—C'est qui maman ?
—Ne t'approche pas d'elle, mon fils. Elle est méchante.
Le serveur l'amenait à une table. Elle se mit assis, prit la carte et regarda les menus. Elle commandait des frites, hamburger avec un soda. Le serveur lui amena à manger. Elle commença à manger tranquillement qu'une personne venait interrompre son dîner. Elle levait la tête pour voir qui c'était, le monsieur avec les yeux rouges. Il lui voulait quoi encore? Elle serrait les poignets.
—Comme on se retrouve.
—Tu me veux quoi ?
—Je te cherchais.
—Tu me veux quoi ?
—Il y a une annonce sur toi, quelqu'un te cherche, alors je suis partis à te recherche.
—Et c'est qui ?
—Il ne m'a pas donné son nom.
Il attrapait son bras, serrant fort. Il tirait la fille vers lui. Elle essayait de reculer pour qu'il s'arrête. «Ils ont quoi tous à vouloir lui attraper son bras». Et pourquoi voulait-il la chercher? Elle n'avait pas du tout confiance en lui. Elle prenait le soda et lui versait sur lui, c'était tellement froid qu'il criait comme une fillette ce qui faisait rire la demoiselle. Elle partait vite en un coup de vent elle disparaissait des lieux. Elle ne pouvait plus retourner dans cette ville, fallait qu'elle change. Elle se retrouvait de nouveau dans la forêt, se parlant à elle même.
—Qui voulait me voir ? Pourquoi moi ? J'ai fais quoi ?
Elle s'avançait, regardant autour d'elle si on ne la suivait pas. Elle découvrait sur les arbres une photo de recherche. Elle arrachait la feuille de l'arbre pour lire ce qui était marqué.
«vis de recherche, La fille de la nuit. Pour celui qui me la trouve, appelé au 1205.1452.1493 et cette personne aura une récompense de 10 000$, Merci bien de me la trouver.»
Une colère se mettait en elle, elle prenait le téléphone qui était dans sa poche et composait ce numéro. Elle attendait que la personne réponde au téléphone. Une voix masculin répondait au bout du fil. Son cœur se serrait quand elle entendait sa voix. Une impression de connaître cette voix.
—Allo ?
—Bonjour.
—Qui êtes-vous ?
—La fille que vous recherchiez...
Chapitre 3
- Spoiler:
- Chapitre 3
Il disait plus rien, elle entendit sa respiration s'accélérer. Serait-ce le stresse? Il se répétait à lui même «ce n'est pas possible...». Elle faisait que de l'écouter, elle commençait en avoir marre de cette phrase qu'il répéta plusieurs fois.
—Bon, vous voulez quoi sinon je raccroche. Dit-elle froidement.
Il ne répondit pas. Il était comme hypnotisé par cette phrase qu'il répéta à plusieurs reprise. Devrait-elle aller le voir en personne? Une par de curiosité en elle, disait de lui rendre visite. Sur l'affiche de recherche, il était noté l'adresse. Ça se trouvé un peu loin d'ici, elle savait bien qu'elle ne pouvait pas aller seul. Elle retourna à la cabane cherchant le loup. Il l'était entrain de dormir, elle le bouscula du lit. Il se leva en ronchonnant.
—Bouge toi, on y va.
—On va ou?
—Ne discute et suis moi.
—Je ne te suis pas si tu ne me dis pas ou on va.
Elle lui montrait l'affiche, il n'était pas choqué en voyant cela, même il restait très neutre. Il déchirait la feuille en plusieurs morceaux, laissant tomber par terre les bouts de feuilles déchirés. Elle le bousculait, s'énerva contre lui. Pourquoi avait-il fait ça? Devait-elle se débrouiller toute seule? Ça ne l'aurait pas gêner,enfin elle croyait. Elle lui tournait le dos, croisait les bras, entendait qu'il prenait la parole. Elle entendait des excuses sortant de sa bouche, à la place il disait:
—N'y va pas.
—Pourquoi j'écouterai un chien ?
—Un loup. Répliquait-il.
—On s'en fou, j'irais quand même. Je veux voir ce qu'il me veut cette personne.
-—Sûrement, voir ton visage comme tout les autres.
—Cette voix me paraissait familière comme la tienne, je dois en connaître plus.
—Je crois que je suis obliger de te suivre..
—Tu seras.. mon loup.» Dit-elle avec une voix douce.
Jusqu'à maintenant, elle n'avait jamais parlé à quelqu'un comme ça, d'une voix douce et calme. Elle commençait à l'apprécier, il était mystérieux comme elle, ce qu'elle pensait. Elle sortait de la cabane, entendait le loup. Il arrivait tenant un arc et des flèches. Elle le dévisageait à travers de son masque. Il tendait l'arc vers elle. Elle le prenait sans rien dire, le mettant sur son dos.
—On doit aller ou ? Demandait-il.
—Je ne sais pas, il y a un idiot qui a déchiré la feuille.
—Désolé...
—Il doit y en avoir autre part des affiches de se genre.
—Attend moi ici, je vais en ville.
Elle n'eut pas le temps de répondre qu'il était déjà partit. Elle se mit assis au sol, attendant son retour. Il parcourait la forêt , cherchant une autre affiche d'elle pour trouver l'adresse. Il heurtait une pauvre petite dame. La petite dame tombait par terre, il tendait sa main pour la relever mais celle-ci avait peur de lui. Il s'excusait essayant de la rassurer, ça ne marcher pas trop. Elle n'avait pas le temps de fuir donc elle acceptait son aide. Elle le remerciait, lui tendit une pièce de monnaie mais il refusait.
—Si vous voulez me remercier faudra m'aider à chercher une affiche de recherche d'une personne vêtu comme moi, madame.
—Continuez tout droit... Il y en a là-bas.. Grelotta-t-elle.
Il partait vite, suivant toujours cette direction. Il voyait une foule autour d'un poteau. Il y avait trop de monde. Fixaient-ils l'affiche qu'il recherchait? Il s'avançait pour mieux voir. Tout le monde se retournait vers lui comme si il était un monstre, il prit l'affiche sans faire attention au gens autour de lui. Il repartit d'aussitôt avant de se faire poursuivre par ses gens.
La jeune fille c'était endormit contre l'arbre. Il mettait trop de temps pour chercher une affiche pensa-t-elle. Elle entendait des bruits de pas. Derrière, le jeune homme ils y avaient des gens hystériques qui couraient après lui. Elle se levait vite, quand il passa à côté de moi, il lui prenait sa main et continuait de courir. Elle n'avait pas eu le temps de prendre le rythme, qu'elle trébuchait. Il la portait sur son dos, courant à toute vitesse. Il se transformait d'aussitôt en loup, se retrouvant sur son dos poilu. Sa velours était douce, elle glissait sa main entre ses poils, sentait sa douceur. Elle fermait les yeux, laissant le courant de l'air aller sur son corps, elle enlevait son masque et sa capuche. Laissant ses cheveux bouger au rythme du vent, sentir le vent, la fraîcheur sur son visage. C'était agréable.. Il courrait à une vitesse. Chaque seconde passait lentement qu'elle en profitait. Il continuait jusqu'à qu'on perdait la trace des personnes, on allait trop vite pour eux. Il s'arrêtait de courir, elle remit vite son masque, sa capuche, descendait de son dos, faisant comme si de rien c'était passé. Il se transforma en humain.
—Tu as aimé cette balade ? J'ai sentis ton masque se poser sur mon dos, dommage que je n'ai pas pu te voir...
—Comment ça se fait qui nous couraient après nous ? Avec du feu, armes.
—On va dire que... je leur ai volé l'affiche.
—Tu n'es pas discret.
—Toi tu n'es pas discret quand tu caresses les poils d'un loup.
—Arrête avec ça...
—J'enlève mon masque...
Elle fixait son visage. Au moment qu'il enlevait son masque, il se transformait en loup. Elle a dû se douter qu'il allait faire ça.. Elle c'est fait avoir. Le loup se roulait au sol, c'est sa manière pour se moquer de quelqu'un. Elle croisait les bras, lui tournant le dos.
—Tu n'es pas drôle.
Il lui répondait en langue de loup, elle ne comprenait pas. Elle préférait de ne rien dire et reprendre le chemin. Elle prenait le chemin de gauche, essayant de se repérer l'endroit ou elle se trouvait. Elle n'était jamais partit dans le coin de cette forêt. Apparemment ils se trouvaient au nord est, encore quelque heures de marche et il se trouvait dans une ville qui lui était inconnue.
—Je ne connais pas cette endroit...
Son ventre grogna, elle avait faim.
—J'ai faim...
Elle se retournait pour voir le loup, il n'était plus la. Elle se retrouvait seule, perdue. Elle posait son dos contre l'arbre, fermant les yeux, écoutant la nature. La nature pouvait bien l'aider pour qu'elle retrouve son chemin ou quoi que se soit. Elle communiquait beaucoup avec la nature sauf avec les animaux. Elle ne savait pas parler «leur langue» comme on pourrait dire. Certes, elle était bizarre et cette endroit également. Un air frais parcourrait son corps, laissant la sensation de bien être s'enroulait autour d'elle. Une voix surgit jusqu'à son oreille, disant :
—Méfie toi au personne que tu rencontras... Ne fait confiance à personne sauf une, qu'il t'aidera.
Une main s'approchait de son visage, elle ouvrit les yeux , le repoussa de toutes ses forces. Il tombait par terre. Sa respiration c'était accélérer. Pendant un instant, elle perdait le contrôle d'elle même. Elle ne savait pas ce qui c'était passé.. comme si elle était ailleurs, la tête dans les nuages comme tout le monde disait. Il se relevait sans dire un mot. Elle fixait le sol, reprenant sa respiration. Elle se collait contre l'arbre, essayant de reprendre son souffle.
—Ne me retouche plus jamais. Dit-elle froidement ?
—Oh tu as vu un fantôme ? Ricana-t-il.
—Non, on dirait une chèvre qui ricane.
Il s'arrêtait de suite.
—Pourquoi, tu caches ton visage avec le masque ? Demanda-t-elle.
—C'est un secret, comme toi tu as n'a un.
—Pourtant, être un loup c'est un secret ?
—Je voulais que tu le sache avant que tu sois surprise.
Devrait-elle lui faire confiance? Depuis qu'elle entendit cette phrase, elle se mettait en doute. Elle ressentait la peur, la peur d'être trahi, de rencontrer des mauvaises personnes comme des hypocrites. Elle devrait se méfier à son instinct.
Elle lui donna un coup sur sa tête.
—Quel chemin faut prendre ? Demanda-t-elle.
—Je ne sais pas trop.
—Super...
—Essayons ce chemin» Pointa-t-il son bras à sa droite.
—Mais non, on est arrivé par ce chemin.
—Et bien, l'autre côté.
—Je crois, qu'il nous emmène à une ville.
—La quel ?
—Je l'ignore.
On continuait le chemin, plus en plus on marché vers cette ville, plus en plus on voyait des corbeaux sur notre chemin. La nature avait l'air morte, même pas une seule plante était à bonne état. Elle entendait les cris de souffrance. Elle s'arrêtait de marcher, se laissant tomber à genoux. Il s'arrêtait, se tourna vers elle, il la releva mais elle voulut rester à terre.
—Tu as quoi ?
—Rien.. ça va aller.
Elle se relevait avec difficulté. Les cris, bruits affectèrent son corps. Elle était liée à n'importe quelle forêt. Ça sentait pas bon dans ses parages. Elle se tenait à son bras, posant sa tête contre son bras.
—Tu es sur que tu veux continuer ?
—Oui.. Il faut juste avoir de l'eau.
—J'en ai pas...
—Il faut soigner cette endroit...
Chapitre 4
- Spoiler:
- Chapitre 4
Cette sensation était étrange, cette douleur qui rongeait l'intérieur de la femme. Son cœur s'accélérait, sa respiration diminuait petit par petit. Ce ressentiment était tellement fort, intense qu'elle dû s'évanouir. Elle sentait son corps s'emprisonner au fond de la terre, les racines qui entouraient son cœur serrant de plus en plus fort jusqu'à que sa respiration soit coupé.
Il était paniqué, ni quoi faire pour l'aider. Elle était simplement dans ses bras. Il caressait la tête de la femme avec douceur. Il l'a mettait sur son dos, sortant de cette forêt pour arriver jusqu'à cette ville.
C'était simplement sombre, du brouillard parcourait cette ville. Une pancarte cassé,abîmé,vieux disant le nom de la ville «Phantom Hills» Les bâtiments étaient en ruine, le brouillard se propageaiy dans tout les coins de rue, on y voyait rien. C'était comme si.. on était seul sur terre qu'autour de nous on voyait que du vide. On ne voyait même pas la terre sous ses pieds.
Elle commençait à bouger légèrement, Il l'allongeait au sol, restant près d'elle . Il pouvait en profiter pour enlever son masque, il ne le faisait pas. Pourquoi? Par son respect. Elle continuait de bouger légèrement, murmurant des mots qu'il ne comprenait pas. Au loin, des bruits de souffrance d'une femmes. Il se transformait en loup, partant vite voir le bruit de la jeune femme.
Il était près des hurlements de la femme, il y avait personne dans les parages. Il s'avançait dans un bâtiment désinfecté. Il reniflait l'odeur, plutôt la puanteur de ces lieux. Il s'avançait encore plus des hurlements de l'inconnu. Les bruits venaient d'une radio qui était posée sur une vieille table toute cassée.
Elle était à terre, essayant de lutter contre ses douleurs. Elle se leva avec difficulté, elle aussi, elle entendait la musique. Elle ne voyait plus le garçon, étant à sa compagnie. Elle prenait le chemin, la conduisant vers la musique. Elle comptait chaque pas qu'elle faisait, ayant le souffle court «un... deux... trois...». Elle comptait toujours, s'arrêtant devant le manoir. Elle arrivait jusqu'au chiffre «500». Elle entrait dans se bâtiment. En y voyant plus clair, ça ressemblait plus à un manoir désinfecté. Elle entrait, regardant autour d'elle. Elle se souvenait bien de ses lieux, chaque pièces qu'ils pouvaient y avoir. Elle s'approchait de lui, il avait les poings serré en écoutant le cris provenant de la radio. Il se retournait vers elle, tout en grognant:
—Pourquoi tu m'as pas dit qui tu étais vraiment !
—De quoi parles-tu ?
—Je suis....
—Tu es ?
—Je m'appelle Manu.
Elle restait choqué, elle posait sa main sur son masque, hésitant de le lever. Elle l'enlevait, baissant la tête. Elle appuyait sur le bouton de la radio pour l'éteindre, soupirant doucement.
—Je ne peux plus me cacher alors...
—Ces cris... c'était le jour qu'on t'avait kidnappé. Pourquoi je ne t'ai pas reconnu au son de ta voix... Je veux voir ton visage Maya...
Elle levait la tête, les larmes au yeux. Elle arrachait le masque de Manu. Elle voulait le regarder, le contempler. Elle lui ressemblait comme de goutte d'eau, simplement les mêmes visages. Des cheveux Bruns au yeux bleus. Elle avait une cicatrise près de son œil gauche, et une autre sur sa joue droite.
—Il t'est arrivé quoi ?
—Rien pas d'importance. Pourquoi tu es un loup ?
—Je tiens de père donc j'ai hérité de ce qu'il était.
—Ah je ne savais pas...
—Mère ne voulait pas te le dire, je suppose.
Elle enlevait la capuche en soupirant. Elle touchait le bord de la table avec son doigt, fermant les yeux. Il posait sa main sur l'épaule de la femme, puis il déposait un baiser sur sa joue qu'elle appréciait.
—Il c'est passé quoi ici...
—Après ta disparition, les parents ont fait des recherches pour te retrouver, mais... des gens sont venus nous attaqués et ils ont mit la ville en poussière. Il reste plus rien.
—C'est ma faute....
—Non dit pas ça.
Elle ne répondait pas, elle montait à l'étage, s'avançant vers une pièce. Elle entrait, touchant le mur. Il la suivait sans dire un mot.
—C'était ma chambre... Je m'en souviens comme si c'était hier.
—Dit, ils t'ont fait quoi les personnes qui ton enlevé ?
—Je ne veux pas en parler.
Elle entrait, le lit cassé, abîmer avec des peluches dessus. Le papier peint avait noircit et les rideaux déchirés. Sinon c'était vide, il n'y avait même plus mes affaires. C'était plutôt la chambre d'elle et de son frère. Ils sont jumeaux et ils ne se séparaient jamais au paravent. Elle serrait les poings en soupirant.
—On doit y aller, on a de la route à faire. Je te signale qu'on doit y aller, on doit trouver la personne qui me cherche.
—Je crois savoir qui.
—Ah bon?
—La personne qui t'a volé.
—Il me voudrait quoi? J'ai rien de spéciale. Arrête tes conneries, on y va.
On descendait en bas, un groupe de personne s'avançait. On se cachait dans un coin, regardant ses personnes.
—Trouvez les !
Ils portaient un uniforme tout en noir, on ne pouvait pas voir leur visage, seulement leur yeux. Il me chuchotait à l'oreille.
—Quand ils seront retournés, court vite.
—Tu sais que je peux pas , la nature m'affecte ici....
—Je crois en toi, tu es comme maman n'oublie pas.
—Elle avait quoi de particulière? J'ai toujours été orpheline.
—Il y a moi.
Elle se retournait vers lui, fixant dans ses yeux en remettant sa capuche sur sa tête.
—Tu n'étais même pas la quand on m'a enlevé.
Elle se mettait devant ses personnes. Ils pointaient tous leur armes vers elle. Elle posait son torse contre une arme avec un sourire au lèvres.
—Vous allez faire quoi ? Me tuer ?
—Emportez la.
—Aller ou ?
—Toi, ne pose pas de questions.
Chapitre 5
- Spoiler:
- Chapitre 5
Elle ouvrait les yeux doucement, bougeant faiblement contre le sol. Les bruits des chaînes se faisaient entendre dans la pièce. Elle bougeait ses mains, elle ne pouvait pas. Elle était emprisonnée par des menottes et des chaînes. Les chaînes étaient attachées au mur jusqu'à ses poignets et au cou comme un chien en laisse. Elle grognait, bougeant de toute ses forces, en avançant au maximum, les chaînes restèrent tendus. Elle essayait de s'en défaire en tirant de toutes ses forces, on attendait les claquements de chaînes. Au bout de quelques heures, elle s'arrêtait, étant essoufflé. Comment suis-je arrivé ici? Pensait--elle. Elle réagissait toujours sans réfléchir, au final elle ne savait qui était-elle, elle ne connaissait même pas sa mère. Elle tournait la tête à sa gauche, et vit son jumeau allongeait par terre.
—Manu ! Réveille toi !
Il était attaché exactement pareille comme elle, il se réveillait doucement, levant la tête en fixant sa sœur. Elle baissait la tête quand il disaitv:
—C'est ta faute....
Elle ne disait rien.
—J'espère que tu t'en souviens au moins.
—Non....
—Tu as réagis comme une idiote! Dit-il en criant.
—Désolé....
Des larmes coulèrent le long de sa joue, laissant tomber les gouttes sur le sol.
—Ils auraient pu te tirer sur toi... au lieu de ça, ils t'ont jeté par terre et ils t'ont attachés, pareille pour moi, j'ai voulu te sauver mais on a perdu.
—Qui suis-je ?
—La fille de la nuit.
—Non ! Non !
Elle commençait de nouveau à tirée sur les chaînes jusqu'à être essoufflée.
—Mais arrête tu vas te faire du mal!
—Comme si c'est pas déjà fait....
Un gardien arrivait, ils nous regardaient avec un grand sourire. Si je ne serais pas attaché je t'aurais fait manger tes membres un par un. Pensait-elle. Elle gigotait en fixant le garde.
—Ne croit pas que tu vas t'échapper comme ça.
—Pourquoi suis-je ici ?
—Quelqu'un te voulait.
—Je veux le voir, de suite!
—Sois patiente.
Elle commençait à s'énerver. Elle fermait ses poings fortement, grognant légèrement, ses yeux changeaient de couleur, du bleu ça passait au rouge. Une fumée rouge s'emparait d'elle, elle s'arrêtait d'aussitôt vu que les chaînes lui brûlaient la peau. Ses yeux revenaient vite au bleu.
—Et bien, on voit bien ta nature.
—Ne fait pas de mal à ma sœur!
—Je n'ai rien fait jeune homme, elle c'est fait mal toute seule, ta pauvre sœur.
Il grognait aussi. Ces chaînes lui bloquait sa transformation. Il gigotait comme elle avait fait auparavant , les chaînes faisaient beaucoup de bruit. Il grognait de toute ses forces, le gardien se bouchait les oreilles, tombait à terre, en criant:
—Arrête de hurler ! Tu fais mal au oreilles !
Un monsieur arriva, portant un masque au visage.
—Tu fous quoi, au sol toi ?
—Patron.... J'ai mes oreilles qui vont exploser.
—Je m'en fou, empêche le de crier alors, c'est ton boulot de t'occuper d'eux. Tu fais perdre mon temps.
Elle le fixait, elle serrait ses dents, en le dévisageant du regard. Il se tournait vers son jumeau.
—Toi, merci de me l'avoir ramené, mais je ne vais pas te rendre la liberté.
—Pourquoi ? J'ai fait mon travail.
—Tu t'es rapproché d'elle.
—Non je m'en fou ! Elle est rien pour moi.
Elle tournait la tête vers la gauche pour le regarder. Elle jeta un regard noir. Il la regardait d'un air désolé, mais elle tourna la tête du côté opposé, il l'avait trahi. Elle lui faisait confiance pour la première fois de sa vie, elle c'était fait avoir.
—Je verrais.
Il partait, il mettait une laisse à son garde, et il le traînait toute en avançant vers la porte sans dire un mot. Elle ne disait plus rien.
—Je suis désolé...
—Ferme la. Tu es comme tout les autres.
—Je ne savais pas que tu étais ma jumelle à la base...
—Je t'ai dis de te la fermer ! Disait-elle en colère.
—Je ne voulais pas...
—Quand je sortirais d'ici, je te ferais la peau....
—Je te ferais sortir, je te le promets.
—Garde tes paroles pour toi, idiot. Je ne te fais plus confiance.
—Toute à l'heure, tu as réagis bizarrement.. tes yeux ont changés de couleur.
—De quoi je me mêle?
Comment expliquer les sentiments qu'elle ressentait à l'instant présent? Se faire trahir par quelqu'un de sa famille, a qui elle faisait tellement confiance... Pour la première fois, elle ressentait de la peur au fond d'elle, peur de mourir? Peur de ce qui pourrait se passer? Qui sait? Elle ne connaissait pas le sentiment de la peur jusqu'à maintenant. Son cœur se serrait, le stress l'envahissait comme les sensations quand la nature est morte. Ressentait-elle la peur de la nature? Elle se posait trop de question. Elle imaginait d'être dans sa forêt, toute seule comme avant... mais revenons à la réalité. Ses pensées étaient seulement une illusion. Son monde de maintenant était devenu un cauchemar, elle espérait de se réveillait d'aussitôt, chaque mouvement qu'elle faisait, elle ressentait la douleur, ce qui lui faisait revenir à la réalité sans arrêt.
—Pourquoi m'as tu trahi ?
—J'aurais gagné quelqu'un chose en échange...
—T'aurais eu quoi ?
—Je ne peux pas le dire...
—Le patron c'est qui ?
—Je ne peux pas te le dire non plus...
—Il puait le chien comme toi.
—Depuis quand tu as de l'odorat ?
—Depuis toujours... Et encore... Tu connais rien de moi.
Chapitre 6
- Spoiler:
- Chapitre 6
-A l'aide! Maman! Papa! Manu! Aidez moi!! On veut me faire du mal j'ai peur!
Elle pouvait crier de toute ses forces, personne venait. Elle avait peur, elle c'était caché dans l'armoire. Elle tremblait... Elle était toute seule à la maison. Elle entendit les cris,hurlements de sa mère. Elle pliait ses jambes contre elle, pliant ses genoux contre elle. Les cris de sa mère devenaient de plus en plus immense, personne venait l'aider... Elle versait des larmes, tenant fort ses jambes contre elle, faisant le moindre bruit possible.
-Maman... Maman.... Quelqu'un va nous aider...
Elle essaya de se convaincre à elle même, alors que personne pouvait venir. Il était ou papa? Et Jumeau? Pourquoi n'était-il pas la pour nous sauver.... Pourquoi des gens méchants nous faisaient du mal... On avait fait un truc de mal? Elle avait à peine trois ans. Elle comprenait pas grand chose. Elle décida de sortir de l'endroit, elle partit en courant vers les cris de sa mère. Elle vit sa mère au sol, perdant pleins de sang. Elle pleurait, s'approchant d'elle.
-Maman.... Maman... réveille toi....
-Ma fille.... Ne fait confiance à personne.... promets le moi... -Balbutia-t-elle
Elle versait pleins de larmes en posant la tête sur le ventre de sa mère.
-Je te le promets Maman...
Elle ferma les yeux.
-Prenez soin de ma maman....murmura-t-elle.
Une voix se fit attendre derrière elle.
-Elle est ici, la fille de la nuit. Attrapez la!
Elle s'accrocha à sa mère en criant:
-Je veux pas quitter Maman! Laissez moi! Partez! Papa à l'aide!
Il l'attrapait, me tirant. Elle s'éloigna de sa mère petit par petit, elle gigota. En criant toujours la même chose. Il mit la main sur sa bouche. Elle mordit sa main, pour qu'elle puisse crier encore et encore. Ils passèrent à côté d'une porte et elle vit son jumeau, mais il fit rien. Il se cacha derrière Père. Pourquoi...? Pourquoi...?
-Papa!! Je suis la! Ils veulent me faire du mal! S'il te plaît, j'ai peur...
Elle entendit la voix de sa mère qui redisait:
-Ne fait confiance à personne...
Papa nous avait trahi? Et jumeau aussi? Pensa-t-elle.
Elle a fait quoi maman pour que tu faces ça?Elle comprenait rien, elle était encore petite. Son rêve était de revoir sa mère et d'être comme avant, une famille.
Elle avait trahi la promesse de ça mère, elle avait fait confiance à son jumeau et maintenant elle se retrouvait enfermer dans une cage. Elle fixait son frère, il dormait. Comment pouvait-il dormir dans ses lieux? En même temps, un chien pouvait dormir n'importe ou. Elle soupirait en repensant au passé. Elle se demandait si sa mère la détestait maintenant... Elle murmura doucement:
-Désolé maman...J'ai trahi ma promesse, pardonne moi.
Comme par hasard, il se réveilla au mauvais moment.
-Quel promesse?
-Ne fait pas semblant d'avoir oublié.
-Oublié quoi?
-La mort de maman...Pourquoi tu n'es pas venu me sauver? Et papa hein! Vous nous aviez abandonné comme si on était rien elle et moi!
Il baissa la tête sans rien dire. Elle soupira.
-Tu regrettes?
Il ne répondit pas. Elle prenait se silence pour un non.
Plusieurs jours passa, elle n'avait pas mangé, ne dormait plus. Et lui, il avait le droit de manger. Elle n'avait presque plus de forces dans ses bras, elle ne pouvait presque plus bouger. Elle voulait dormir mais elle avait peur qu'on vient la tuer ou autre qui pourrait lui faire du mal. Elle essaya de rester le plus éveillé possible. Son ventre grogna, il mourrait de faim. Son frère la regardait avec pitié, elle n'aimait pas qu'on la regarde comme ça.
-Fait moi sortir d'ici....
Elle ne supportait plus d'être comme ça, fallait bien qu'un jour elle lui demandait.
-Il faudrait que le patron me laisse partir.
-Pourquoi tu as suivi les caprices de cette homme minable?
-Je me le demande... Je suis tellement désolé.
-Je veux pas de tes excuses, je veux juste sortir d'ici, courir, manger. Reprendre ma liberté.
-Je vois...
-Non tu ne vois pas... Tu n'as pas vu maman mourir. Tu étais caché avec père. Tu n'as même pas bougeait le petit doigt pour nous aider.
Le patron venait nous voir, il souriait. Elle le dévisagea du regard en soupirant.
-Maya, tu va venir avec moi.
Elle écarquilla les yeux, restant choqué qu'il l'appela par son prénom. Comment connaissait-il son nom? Qui était-il à la fin? Elle ne l'aimait pas, elle voulait qu'il la laisse partir pour qu'elle puisse reprendre ça liberté. C'était son rêve le plus cher pour l'instant.
-D’où vous connaissiez mon prénom?
-Ne pose pas de question, tu es comme ta mère.
Il osait dire ça, alors qu'elle ne connaissait pas vraiment sa mère. Connaissait-il sa mère avant qu'elle mort? Elle se colla contre le mur, ne bougeant pas. Pliant ses jambes contre elle, toute tremblante. Elle ne voulait pas le suivre. Il ouvrit la cage s'approchant d'elle. Elle donna un coup sur sa main pour l'empêcher de la toucher. Il grogna, il commençait à être énervé. Il avait une haleine de chien. Elle fit une grimace en le fixant.
-Vous puez le chien...
-Et toi , tu empestes le rat!
Elle sentit son odeur, il avait raison. En même temps, c'est pas en restant enfermé ici, qu'elle pouvait prendre une douche. Elle le regarda droit dans les yeux, lançant un regard noir. Il faisait de même. Un genre de concours de regards qu'on faisait la?
Il me détacha, elle regarda autour d'elle cherchant un moyen de s'enfuir. Il l'attrapa par le bras, la tira en dehors de cette cage. Il mit un bandeau sur ses yeux, elle ne voyait plus rien. Il la portait sur son dos, elle tapa son dos en gigotant.
-Lâchez moi! Je suis assez grande pour marcher!
Elle n'avait pas beaucoup de force, elle savait qu'elle ne pouvait pas tenir sur ses jambes sans avoir mangé depuis des jours.
Désolé pour les fautes ^^'
Dernière édition par Skeletine le Dim 29 Mar - 20:05, édité 6 fois
Skeletine- Pirate
-
Nombre de messages : 29
Age : 26
Groupe :
Date d'inscription : 13/03/2015
Re: La fille de la nuit.
Yo !
J'ai lu tes chapitres et j'ai quelques remarques à faire, ne le prend pas mal surtout ^^
Alors concernant l'histoire en elle même j'aime bien mais y'a quelques petits trucs qui me chiffonnent.
Je trouve ça un peu confus, il y a certains passages que je n'ai pas forcément totalement compris. Je suppose que c'est dû au fait que tu cherches à aller un peu vite. Du coup ça manque un peu de descriptions et on n'a pas le temps de souffler. Trop d'informations d'un coup empêche la bonne compréhension de l'histoire je trouve.
Ensuite, il y a certaines fautes que tu aurais sûrement pût corriger avec une rapide relecture. Par exemple tu fais parfois parler ton personnage à la première personne alors que tout le reste est à la troisième, c'est assez étrange.
Sinon comme je l'ai dit j'aime bien l'histoire, bonne continuation !
J'ai lu tes chapitres et j'ai quelques remarques à faire, ne le prend pas mal surtout ^^
Alors concernant l'histoire en elle même j'aime bien mais y'a quelques petits trucs qui me chiffonnent.
Je trouve ça un peu confus, il y a certains passages que je n'ai pas forcément totalement compris. Je suppose que c'est dû au fait que tu cherches à aller un peu vite. Du coup ça manque un peu de descriptions et on n'a pas le temps de souffler. Trop d'informations d'un coup empêche la bonne compréhension de l'histoire je trouve.
Ensuite, il y a certaines fautes que tu aurais sûrement pût corriger avec une rapide relecture. Par exemple tu fais parfois parler ton personnage à la première personne alors que tout le reste est à la troisième, c'est assez étrange.
Sinon comme je l'ai dit j'aime bien l'histoire, bonne continuation !
Monkey D Kurama- Flemmard émérite
-
Nombre de messages : 1333
Age : 29
Groupe :
Date d'inscription : 21/06/2012
Re: La fille de la nuit.
Merci, pourtant je fais attention quand j'écris, faudrait que je le corrige ^^, et je suis pas très forte pour les descriptions, et puis c'est fait exprès qu'on ne comprend pas bien le personnage. J'ai essayé d'arranger les chapitres.
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 7
- Spoiler:
- Chapitre 7
Ce lieu lui était familier, les murs étaient grises, le sol en bois. Il y avait un bureau, c'était le lieu de travail du patron. Le seul souvenir c'était qu'elle joué avec quelqu'un auparavant,peut-être son jumeaux.
Elle se retrouvait attaché sur une chaise. Il lui mit un plat devant elle, elle avait envie de le manger. Son ventre faisait des bruits encore et encore. Elle avait envie de dévorer l'assiette, elle avait tellement faim... Une faim de loup.
-Tu as faim ?
-Oui...
-Tu réponds à mes questions et tu peux manger.
-D'accord...
Elle n'avait pas le choix, si elle tenait à sa vie fallait qu'elle coopérait.
-Pourquoi tu t'es enfuis, ta maison c'était ici.
-Vous m'aviez enlevé, nuance ! Et je me sentais enfermé ici.
-Il fallait me le dire.
-Je me faisais maltraité ici !
Il s'approcha d'elle, lui donnant une gifle. Elle ferma les yeux, essayant de garder son calme, calmer sa respiration.
-Tu es comme elle.... J'y crois pas.
De qui il parlait ? Elle espérait que se n'était pas sa mère,car elle avait envie de lui faire la peau. Il était mal élevé devant une femme. Il l'avait maltraité pendant des années, elle était heureuse depuis qu'elle c'était enfuit et voilà que maintenant elle se retrouve sous son emprise. Il enleva son masque, c'était bien lui... La personne qui m'avait enlevé.
Il s'appelait Jack, cheveux blond au yeux noire. Il faisait un mètre quatre-vingt. Il s'occupait des entreprise. A la base c'était son oncle, il l'a enlevé la fille vu qu'il ne pouvait pas avoir d'enfant avec ça femme Isabelle, elle est décédé il y a deux ans environs. Elle le détestait, il pouvait mourir en enfer , elle s'en foutait. Ce qu'elle voulait c'était qu'il meurt pour qu'elle aurait la liberté.
-Je te l'avais dis que j'allais venir par moi même.
-De quoi tu parles ?
-Des feuilles de recherche.
-Je ne vois pas de quoi tu parles....
Elle lui montra la photo de recherche de son téléphonne.
-Ce n'est pas moi.
-Alors qui ?
-Je l'ignore.
-Laissez moi partir, s'il vous plaît.
-Non !
-Je veux savoir qui sait, s'il te plaît..
-Tu es à moi. Je ne te laisserai jamais partir.
Elle gigota ses bras, qui étaient attaché contre la chaises, elle voulait se détacher. Il s'avança vers elle, lui donna encore une gifle.
-Je te laisse 48h, mais Manu vient avec toi.
Elle soupira quand elle entendit son prénom. Il l'a détacha, il partit libérer Manu. Pendant ce temps, maya mangea. Elle se leva, entendit Manu. Elle croisa les bras.
-On y va.
-Mon bisous ? Demanda-l'oncle.
-Même pas en rêve.
Elle partit de la maison. On se trouvait à Mont-Hells à l'ouest de Phantom Hills., c'est une petite ville à la montagne, il y avait beaucoup de paysans qui habitaient là-bas.
Manu attrapa ma main, elle se retira d'aussitôt.
-Ne me touche pas.
-Je m'excuse...
-Il me faut une autre cape...
Elle marcha dans les rues, c'était plutôt des bâtiments collé l'un contre l'autre, il y avait très peu de magasins. On entra dans un magasins de costumes, c'était désert.. même pas un vendeur en vue. On entra, regardant dans les costumes si il y avait une cape noire. La pièce faisait sombre, elle était gris foncé et le sol en noir, très peu de lumière. Un ricanement se fit entendre. Elle regarda autour d'elle si elle vit quelqu'un mais personne. Ce n'était pas tellement drôle, il ne s'arrêtait pas de dire. Manu était à côté d'elle entrain de grogner. Elle le dévisagea du regard.
-Ce n'est pas en grondant, que la personne va venir.
-Je trouve cette endroit étrange...
-En même temps, c'est un endroit pour des costumes.
-Oui mais se rire...
-Tu as peur ?
-Non non !
-Trouillard.
Elle trouva sa cape noire comme elle avait auparavant. Elle partit en caisse, il n'y avait personne. Elle soupira, croisant les bras et entendit. Les rires étaient toujours la, ça commençait à l'agacer ces bruits. Cette personne se foutait bien de nous. Elle posa l'argent sur la table, et elle partait. Seulement, c'était fermé à clef. Elle se tourna vers Manu, étant inquiète. Il ne fallait pas que la panique l'envahisse. Elle n'aimait pas se sentir enfermé, elle voulait de l'air. Elle manquait d'air dans ces poumons. Elle respira doucement, comptant ses respiration doucement. Manu s'inquiéta pour elle, donc il essaya de défoncer la porte mais ça ne marcher pas, il se faisait plutôt mal. Une ombre noire s'approcha de nous avec un sourire au lèvre. Il nous tendit la main en disant :
-Bienvenue dans la boutique de Magic.
-Si c'est pour l'argent, je vous les déposais sur la table, enfin à la caisse. On voudrait partir.
Il ricana. Il y avait quoi de drôle ? Elle essaya de garder son calme. Manu essaya toujours de défoncer la porte, il ne s'arrêta pas. Ce qu'il pouvait être idiot lui des fois..
Il s'approcha de nous, il avait de long cheveux gris, il avait une frange qui cache ses yeux. On voyait seulement son sourire, il portait une chemise de nuit gris avec son bonnet.
-Vous ne sortirez pas, enfin pas pour le moment.
-Et pourquoi ?
-Tu es bien la fille qui est dessus ?
Il me montra la feuille de recherche. Elle leva les yeux au ciel.
-Oui c'est moi, je comptais le rendre visite.
-Je ne vous crois pas. Ria-t-il.
-Ouvrez !
-Depuis quand une gamine comme toi me donne des ordres ?
Il posa sa main contre ses lèvre en riant. Il tomba par terre, se roulant sur lui même tout en riant. Il y avait quoi de drôle ? Elle ne comprenait pas. Il était fou, surtout dans sa tête. Il reprit son sérieux, prit le téléphone et il composa le numéro. Il lui disait son adresse pour qu'ils viennent la chercher. Manu regarda l'inconnu de travers en grognant.
-Donc, tu es bien la fille de la nuit ?
-Ça ne vous regarde pas.
-Et bien vous aviez peut-être une chance de vous en sortir...
-Je ne vous crois pas, vous êtes seulement idiot. On se débrouillera merci bien. Manu on y va.
On partit vers le fond de la boutique, il n'y avait pas d'autre porte, même pas une porte de secours. L'inconnue ria, il était derrière nous. Elle se retourna vers lui.
-Je vous l'avais dis....
-Je vous écoute. Dit-il Manu d'un air sérieux.
Elle l'avait du mal pour le prendre au sérieux, mais bon il faut bien essayer.
-Je veux voir le don de la demoiselle...
De quoi parlait-il ? Qu'elle don ? Il se fou d'elle ou quoi ?
-Je n'ai pas de don, vous vous trompez.
-Tu tiens de ta mère.
Elle en avait marre qu'on lui disait ça, c'était la seule qui ne connaissait pas vraiment sa mère ? Comment était-elle avant ? Cette question résonna tout le temps dans sa tête qu'elle ne pouvait pas répondre. Elle voulait en prendre plus. Avait-il une histoire sur cette famille ? Un passé ? Elle ne savait pas quoi faire pour lui montrer son « don ». Elle ne savait même pas qu'elle en avait un. Elle était perdu, perdu dans ses pensée.
-Je sais pas.... J'ai perdu ma mère étant enfant, avant que je me face enlevé par mon oncle. Donc je ne connais pas le don de ma mère. J'en suis désolé.
-Je m'en fou, je veux le voir.
Manu se transforma en loup, il grogna contre le jeune homme ? Elle caressait la fourrure du loup, avec douceur, c'était pour le calmer. Il finissait par ronronner.
-ça vous suffit de voir mon jumeau en loup ?
-Non, je veux vous voir.
-Je vous ai dit que je ne sais pas !
-Alors tu n'as pas le choix de rester ici jusqu'à qu'ils arrivent !
Elle serra les poings, la colère l'envahissait. Elle ne voulait pas rester ici, enfermer comme quelqu'un en cage. Ses yeux changèrent de couleur, devenant rouge. Une fumée se propageait autour d'elle, elle gifla le jeune homme de toute ses forces, en un coup il tomba par terre. Il était content de lui, il ricana. Elle s'approcha de lui, l'attrapa par le cou, le soulevant et le cogna contre le mur. Elle se mit à courir vite contre lui.
-Je vais te faire manger les boyaux, si tu continues à
me provoquer !
-J'aime ! J'aime!Tu es comme ta mère. Ria-t-il.
-Sale maso !
Elle donna un gros coups dans son ventre. Manu surgit sur sa sœur, celle-ci le repoussa. Personne pouvait se mettre dans son chemin quand elle était énervée, c'était la règle de la famille. La seul chose qu'elle avait pu retenir.
Cela remonte à fort longtemps, une semaine avant que sa mère meurt, elle lui avait dit :
-Ma princesse, faut que personne se met entre le chemin de quelqu'un qui est énervé.
Sa voix résonna tellement dans sa tête, que sa fumée rouge disparaissait, ses yeux devenaient bleu, et elle tomba par terre.
Chapitre 8
- Spoiler:
- Chapitre 8
Elle se réveilla, ouvrant doucement ses yeux tout en somnolant. Le plafond était blanc, ça ressembler à du vide, son regard était rivés vers celui-ci, sans aucune pensé. La fatigue l'envahissait, elle ne réfléchissait pas, ne cherchant pas à comprendre dans qu'elle lieu elle se trouvait, elle s'en foutait simplement elle voulait dormir. Ses paupières se fermèrent de nouveau.
Elle était caché derrière un arbre, regardant la scène. C'était une femme ayant les yeux rouges, une fumée noire se propagea sur elle-même, hurlant de terreur ce qui lui donna un frisson à la jeune fille, restant caché derrière l'arbre, regardant du coin de l’œil, restant muette. Il y avait un autre homme, un humain se transformant en loup gris au yeux Bleu, les mêmes yeux que la jeune fille. Ils se combattaient, ce n'était pas beau à voir. Au départ, on ne savait pas si c'était vraiment un combat ou un jeu, ils se sautaient l'un sur l'autre, se cherchant malheureusement il attaqua la femme par le bras puis la jambe, elle n'eut pas le temps d'esquiver, elle tomba par terre. Le monsieur se transforma en humain, il s'approcha d'elle, posant un pied sur elle, écrasant un son ventre. Elle cria de douleur. La petite fille reconnu son père, son père faisant du mal à sa propre mère.
-Non !!
Elle courra comme une folle vers sa mère, poussant son père de toute ses forces même si elle n'avait pas de force dans ses bras. Il ne bougea pas, il avait un sourire sur ses lèvres, posant sa main sur sa tête, caressant.
-Bien, ma fille on joue juste ensemble.
Elle fixa sa mère.
-C'est vrais maman.... ? Dit-elle tristement.
-Oui... Ma fille . Balbutia-t-elle.
Elle se força de sourire. Le jeune fille tapa son père par colère, elle s'en foutait que c'était un jeu ou non, il ne faut pas toucher à elle, ni lui faire du mal. Une femme ça se respecte, on me l'avait toujours appris. Elle donna des coups de jambes, laissant couler ses larmes le long de ses joues, en criant :
-Je te déteste !
Elle le disait à plusieurs reprises. Il la bloqua contre lui, caressant sa tête, lui murmurant à l'oreille :
-Ce n'est rien, calme toi...
Elle sursauta dans son lit, sa respiration s'accélérait à chaque respiration, posant sa main sur son cœur, les battements de son cœur étaient de plus en plus fort. Elle compta ses respiration, essayant de se calmer. Elle murmura à sois-même :
-Je sais que tu n'es pas mort papa... Je le sens... Tu t'es servis de quelqu'un pour pouvoir tuer maman, je me vengerais.
Elle se leva, explorant la pièce. Il y avait rien d'intéressant ça faisait plutôt vide, même beaucoup. On se croyait dans un hôpital, avec la petite tablette pour manger dessus, et la télécommande pour pouvoir bouger le lit comme on pouvait le souhaiter. Une chaise dans un coin et à côté un petit meuble, il y avait des médicaments. Elle regarda ça tenu c'était une chemise de nuit blanc poids bleu. Elle regarda dans le meuble, si il y avait des vêtements mais rien. Elle soupira, un médecin entra :
-Bonjour, Mademoiselle Lisa.
Elle écarquilla les yeux. Elle avait dû se tromper, mais Manu entrant d'aussitôt dans la chambre en disant :
-Hey Lisa ! Tu nous as fais une peur bleu !
Elle lui jeta un regard noire. Elle soupira, levant les yeux au ciel. Après tout ça pouvait être marrant.
-Vous allez bien, mademoiselle ?
-Oui oui, je pourrais sortir quand docteur ?
-Bientôt.
-Non mais c'est urgent, je dois partir aujourd'hui !
-Vous êtes encore faible, vous devriez reprendre des force.
-Je suis juste tombé des escaliers, tout va bien. Je me reposerais chez moi.
Elle me parla mais elle ne l'écouta pas.
-Manu, tu as pris des habits ?
-Dans ma voiture.
-Apporte les moi, depuis quand tu as une voiture ?
Il ria en regardant l'infirmière.
-Ce qu'elle peut-être drôle des fois.
Il partit lui chercher les vêtements, l'infirmière continuant de lui parler en disant qu'elle devait rester la et pleins d'autre chose. Elle soupira, ignorant tout ce qu'elle disait. Il était plutôt long à venir. Au bout d'une heure d'attente, il arriva avec ses vêtements. Elle le prit, partit dans la salle de bain et s'habilla. Elle porta un short et un débardeur noire avec sa cape. Elle sortit de la salle de bain, partant directement vers la sortit de l'hôpital. Manu la suivit, sans dire un mot, se retrouvant dehors. Elle se tourna vers lui.
-Depuis quand je suis ici ?
-Depuis quelque jours.
-Tu es fou ! Mon oncle nous a laissé 48 h, et on a échoué...
-Tu es resté dans le coma, ce n'est pas ma faute.
-il c'est passé quoi réellement ?
-Je ne peux pas vraiment te le dire.
-j'ai vu maman se faire frapper par papa, quand j'étais petite.. Mais souvenir me reviennent depuis que tu es la, depuis qu'on me recherche ! Maintenant, part, je veux reprendre ma vie d'avant.
-Tu veux fuir ton passé ? Fuir la personne que tu es ?
Il avait raison, elle fuyait toujours son passé, elle voulait avancer dans sa vie, vivre seul. Elle pensa à sa mère, au souvenir triste qu'elle a pu vivre. Du malheur…. Encore du malheur…,elle avait oublié le bonheur de son passé et de celui de maintenant. Elle vivait sans savoir la personne, qu'elle pouvait être. Perdue, triste, seule, trahie, vivant dans l'obscurité depuis toujours. Son seul bonheur était sa forêt, courir enfin de retrouver sa liberté, son ventre semblait grogner de faim, rougissant de honte.
-On va manger.
Elle baissa la tête, suivant le jeune homme. Ils se dirigeaient, au bout de cette petite ruelle, se trouvait une pizzeria. Les deux jeunes s'avançaient vers celui-ci commandant une pizza au fromage et à l'arménienne. Ils se mettaient assis au sol contre le mur. Elle mangea vite, tellement qu'elle avait faim, ne laissant pas le temps de déguster les pizzas. Manu la regarda manger sans rien dire, il souriait. Elle tourna la tête vers lui.
-Quoi ? Balbutia-t-elle avec la nourriture en bouche.
Il éclata de rire, elle finissait sa dernière bouchée, le regardant avec un air sérieuse.
-Te fou pas de moi !
Il continua. Elle se leva, partant dans une direction, s'éloignant du jeune homme.
-oh ! Ne te vexe pas !
-Je ne vais pas me gêner.
Il ne fit rien pour la retenir. Elle continua son chemin, elle prit à droite puis à gauche, retournant au point de départ. Elle vit Manu encore assis à côté de la pizzeria. Il se leva , levant ses bras en l'air, s'étirant, s'avança à grand pas vers Maya.
-Alors, tu t'es perdu?
-Non non!
-J'ai vécu mon enfance dans ses lieux.
-C'est un vrai labyrinthe.
-Tu veux toujours te débrouiller seul ?
-Oui. Dit-elle déterminée.
Elle partit prendre un autre chemin, elle suivit les traces de pas,se trouvant au sol. Tout les chemins qu'elle pu prendre, revenait toujours au point de départ. Elle passait des heures, trouvant une sortie, cela servait à rien. Elle ne savait pas si cette endroit était exprès pour les nuls, elle secoua la tête en soupirant:
-Je ne suis pas nulle.
Elle leva les yeux au ciel, un ciel bleu ciel, le soleil éblouissait trop ses yeux. Il faisait trop chaud, même pas un petit bout de vent. On était déjà en été ? Le temps passa très vite depuis qu'elle était avec Manon… Il lui fait perdre beaucoup de son temps. En vrais, elle avait rien de prévue dans sa vie, a par faire les mêmes choses, dans son habitude.
Elle passa dans un coin de la rue, quelqu'un surgissait sur elle. Elle tomba.
Skeletine- Pirate
-
Nombre de messages : 29
Age : 26
Groupe :
Date d'inscription : 13/03/2015
Re: La fille de la nuit.
Je n'ai lu que le premier chapitre, le prend pas mal je ne sais pas du tout écrire mais de celui-ci j'trouve ça un peu trop rapide, les dialogues s'enchaînent super vites et c'est pas assez décrit je pense
C'est un avis perso bien sûr, je vais continuer de lire pour me reprononcer au fur et à mesure
C'est un avis perso bien sûr, je vais continuer de lire pour me reprononcer au fur et à mesure
Coeur Vagabond- Genin
-
Nombre de messages : 6
Age : 25
Groupe :
Date d'inscription : 19/03/2015
Re: La fille de la nuit.
Merci, et j'ai du mal pour la description ^^'
Skeletine- Pirate
-
Nombre de messages : 29
Age : 26
Groupe :
Date d'inscription : 13/03/2015
Re: La fille de la nuit.
Yo, j'ai lu tes deux derniers chapitres.
J'aime toujours bien ton histoire bien que j'ai trouvé le début du chapitre 8 un peu embrouillé. Je n'ai pas tout de suite compris qu'il s'agissait d'un flash back et j'étais un peu perdu ^^
Aussi, j'insiste un peu là dessus parce que c'est assez gênant pour la lecture quelques fois, tu fais des fautes qui me paraissent corrigeables après relecture.
Petit exemple avec la première phrase du chapitre 7. "Ce lieu lui était familier, les murs étaient gris, le sol en bois. Il y avait un bureau, c'était le lieu de travail du patron. Le seul souvenir c'était qu'elle avait joué avec quelqu'un auparavant,peut-être son jumeau." J'ai mis en gras tes fautes.
Voili voilou ^^
J'aime toujours bien ton histoire bien que j'ai trouvé le début du chapitre 8 un peu embrouillé. Je n'ai pas tout de suite compris qu'il s'agissait d'un flash back et j'étais un peu perdu ^^
Aussi, j'insiste un peu là dessus parce que c'est assez gênant pour la lecture quelques fois, tu fais des fautes qui me paraissent corrigeables après relecture.
Petit exemple avec la première phrase du chapitre 7. "Ce lieu lui était familier, les murs étaient gris, le sol en bois. Il y avait un bureau, c'était le lieu de travail du patron. Le seul souvenir c'était qu'elle avait joué avec quelqu'un auparavant,peut-être son jumeau." J'ai mis en gras tes fautes.
Voili voilou ^^
Monkey D Kurama- Flemmard émérite
-
Nombre de messages : 1333
Age : 29
Groupe :
Date d'inscription : 21/06/2012
Re: La fille de la nuit.
Merci ^^
Skeletine- Pirate
-
Nombre de messages : 29
Age : 26
Groupe :
Date d'inscription : 13/03/2015
Re: La fille de la nuit.
Salut ! Alors Personnellement je trouve que c'est vraiment génial, tu m'as vraiment accrochée à ton histoire ! Et intriguée sur le fameux don de Maya ! Je t'avoue que j'ai aussi eu un peu de mal avec le flash back ... tu aurais peut-être dû plus l'introduire ...
J'espère sincèrement que tu vas continuer l'histoire , parce que personnellement j'ai vraiment vraiment trop envie de lire la suite !
J'espère sincèrement que tu vas continuer l'histoire , parce que personnellement j'ai vraiment vraiment trop envie de lire la suite !
Cynthia38- L'artiste incomprise
-
Nombre de messages : 2072
Age : 25
Groupe :
Date d'inscription : 24/12/2011
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum