Guerre civile dans la cité état d'Acatia.
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Guerre civile dans la cité état d'Acatia.
Il y a une semaine.
Cela faisait bien longtemps que Celes n’avait plus mit les pieds ici sur l’ile de Prima dans le QG principale d’east blue. Mais cette fois elle n’avait pas le choix, cela faisait trente ans qu’elle officiait sous le drapeau du gouvernement mondial, mais c’est sur les doigts d’une main qu’elle pouvait compter le nombre de fois ou elle était venu ici. Trois jours de bateau c’est ce qu’il lui avait fallut pour rejoindre cette ile. La jeune femme ne voulait pas perdre de temps et décida de se rendre directement au QG, arrivée devant les immenses porte de la base c’est le soldat en haut du mirador qui interpella la soldate.
Garde : « Et toi !! Qui es tu et que fais-tu ici ? »
Celes : « Je suis le caporal Celes, votre capitaine m’a convoqué ici pour me parler d’une certaine mission, il doit normalement vous avoir prévenu de mon arrivée. »
Garde : « Oui c’est exacte, désolé pour mon comportement caporal, mais avec votre tenue j’ai plus pensé avoir à faire à un bandit ou un pirate. Ouvrez les portes, voila le caporal attendu par le capitaine ! »
Les deux immenses portes s’ouvrirent alors devant Celes, malgré le fait que sa dernière visite remonte à plus de dix ans, rien dans l’agencement du QG n’avait changé, la femme pénétra à l’intérieur de la forteresse ou un soldat l’attendait pour la conduire voir son hôte.
Soldat : « Par ici caporal le capitaine vous attends dans son bureau. »
Celes rejoignit alors le marine et c’est à ses cotés qu’elle prit la direction qui devait la mener vers le bureau de celui qui l’avait convoqué quelques jours plus tôt. Après une marche d’une bonne dizaine de minute le guide de la jeune femme s’arrêta devant une porte en bois dans la plaquette indiquait simplement Capitaine Reed.
Soldat : « Vous voila arrivée caporal, le capitaine vous attends vous pouvez y aller ! »
Reed, ce nom disait quelque chose à Celes, mais elle n’arrivait pas à se rappeler de qui il s’agissait, pas la peine de ménager plus le suspens, la femme toqua à la porte et une fois l’autorisation d’entrée dans la pièce reçue elle poussa la porte et se précipita dans la pièce.
Reed : « Ah Celes te voila, tu as bonne mine dis donc ! »
Reed, en voyant la tête de l’homme en face d’elle la jeune femme reconnue immédiatement l’homme avec qui elle avait fait le début de sa carrière, pendant plus de trois ans ils avaient servi ensemble, mais une affectation les avait ensuite séparés.
Celes : « Mon dieu, Reed c’est bien toi, l’ancien petit soldat de première classe est maintenant un fier capitaine, et regarde comme tu as changé tu en impose maintenant ! »
Reed : « Oh je n’ai pas changé, je n’ai fais que vieillir, par contre toi tu n’as pas changée, toujours la même qu’il y a vingt ans, le temps n’a donc pas d’emprise sur toi. »
Celes : « Oui, mais crois moi c’est une bénédiction autant qu’une malédiction. Enfin assez parlé du passé, pourquoi m’avoir convoquée ici capitaine, et surtout pourquoi ne pas m’avoir dit que c’était toi ? »
Reed : « Pour ta deuxième question sache que j’aime toujours autant les surprises, le temps ne m’a pas enlevé ce trait de caractère, pour la première si tu es ici c’est que j’ai besoin de toi, ou plutôt que j’aimerais te confier un nouveau poste. J’ai reçu des directives d’en haut, east blue devient de moins en moins vivable pour ses habitants, le gouvernement m’a donc octroyé le droit de créer une unité d’élite pour enrayer ce cycle de peur, cette unité s’appelle la section zéro, et j’ai décidé de te nommer leader de cette escouade. Qu’en dis-tu ? »
Celes : « J’en suis ravie, mais n’y aurait il pas des soldats sur east blue plus à même que moi pour remplir cette mission ? »
Reed : « Je vais être franc avec toi, oui certains soldats sont plus puissant ou plus gradé que toi, mais c’est ton sens de la justice qui m’incite à te nommer à ce poste, tu as le droit de refuser bien évidemment, mais sache que c’est en tant qu’amis que je te demande de travailler sous mes ordres, et honnêtement je connais tes capacités, tu peux viser bien plus haut que caporal, alors qu’en dis tu de mon offre ? »
Celes : « Et bien j’en dis que j’accepte travaillons ensemble comme au bon vieux temps ! Alors nous sommes combien dans cette fameuse division zéro ? »
Reed : « Pour l’instant vous êtes deux, ton second ne devrait pas tarder … »
A l’instant précis ou Reed allait finir sa phrase l’escargophone posé sur son bureau sonna. L’homme ne dit que quelques mots puis raccrocha le combiné.
Reed : « Justement le voila, quel bon timing ! »
Un homme fit alors son entré dans la salle, il avait la trentaine et semblait plutôt sur de lui, une cicatrice traversait son visage de part en part, l’homme avait un long fusil sniper dans son dos et ce qui semblait être un couteau de combat accroché à la ceinture. Il se saisit alors de la cigarette qu’il avait au bord des lèvres et l’écrasa dans sa main sans sourciller.
Squall : « Soldat première classe Mathis Squall mon capitaine, j’attends vos ordres ! »
Reed : « Repos soldat, repos. Prenez place je vais vous expliquer pourquoi vous êtes ici. »
Après plusieurs minutes d’explication Squall était au courant de tout, le capitaine lui avait expliqué tout ce qu’il fallait savoir, et il faut dire que l’idée de faire partie de la division zéro enchanter beaucoup le tireur d’élite, une chose quand même faisait tache dans ce bien jolie tableau, il serait sous les ordres d’une femme, et d’une gamine qui plus est de dix ans plus jeune que lui.
Squall : « Je suis honoré de faire parie de cette division mon capitaine, mais ne croyez vous pas que le caporal est un peu trop jeune pour diriger ce groupe, sans vouloir lui manquer de respect ! »
Celes : « Et je peux savoir ton âge soldat ? »
Squall : « Trente cinq ans caporal ! » avait annoncé fièrement l’homme à la balafre.
Celes : tout en soupirant «Pff gamin… »
Reed intervint alors, expliquant à Squall que la jeune femme avait en fait le pouvoir d’un fruit du démon et qu’elle était en fait âgée réellement de 52 ans. Squall se calma alors de suite et pria Celes de l’excuser, Reed finit alors les explications concernant la division zéro, et sans perdre de temps expliqua de suite au membre de sa nouvelle escouade la mission qu’ils allaient devoir accomplir.
Reed : « La cité état D’Acatia est actuellement en train de subir de grand trouble, les révolutionnaires vont renverser les dirigeants si cela continue, le duc qui dirige cette ile à demandé l’aide du gouvernement mondiale pour cette situation délicate, nous devons l’aider sans quoi il perdra le contrôle de l’ile, rendant encore plus fort les révolutionnaire ici à East blue. »
Celes : « Tuer du révolutionnaire c’est justement ce pourquoi je me suis engagée, dis nous tout de suite quelle sera notre mission ! »
Reed : « Le chef du groupe, celui qui gère les opérations, il s’agit du très connu Dolf, connu comme étant le meilleur stratège d’East blue… ramène moi sa tête et nous balayerons ensuite tout ses hommes, occupez vous juste de lui voila votre mission. »
Retour au présent.
Celes et Squall venait d’arriver à Acatia, le navire de marine venait de les amener au port du QG de l’ile, les deux soldats ne perdaient pas de temps, et après s’être présentés au lieutenant en charge du quartier général, ils prirent tous les deux la direction de la ville.
C’est par le coté riche de la cité état que les deux marines commencèrent leur inspection de la ville, il faut dire que le QG avait été construit dans les quartiers de la noblesse, le palais du Duc, les grands commerces, les hôtels de luxe et autres résidences resplendissaient de beauté, des constructions en pierre blanche, ornée d’or, des sculptures en marbre mettant encore plus en valeurs les bâtiments, les œuvres d’art et autres jardins extérieur géant, tout ici ne laissait pas entrevoir la situation dans laquelle se trouvait Acatia, il faut dire que les quartiers noble étaient le seul endroit ou la marine faisait encore régnait l’ordre. Pour le reste de l’ile une véritable guerre civile faisait rage, opposant marine et révolutionnaire et surtout les pauvres qui voulaient voir leurs destins changer.
Celes interpella alors un soldat qui patrouillait par la.
Celes : « Excuse moi soldat, pourrais tu me dire comment me rendre au quartier sur pilotis ? »
Soldat : « Pour vous rendre dans les bidonvilles il vous suffit de suivre ce chemin, mais je ne vous conseille pas de le faire, ce quartier est aux mains des révolutionnaires maintenant. »
Celes : « Merci pour le conseil… Squall, on y va ! »
Le Balafré se leva alors du rebord de la fontaine sur lequel il était posé, allumant une cigarette qu’il venait de glisser à ses lèvres.
Squall : « Il est temps d’aller couper une tête n’est ce pas !! »
Laissant le soldat qui venait de les renseigner sur le bord du chemin les deux membres de la division zéro comptaient bien accomplir leur mission avec brio, et prirent alors la direction des bidonvilles…
roronoa zoro 57- Dragon Slayer
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Re: Guerre civile dans la cité état d'Acatia.
Ren marchait, un peu devant ses compagnons, dans les immenses bidonvilles d'Acatia. Ceux-ci avaient été construits sur des pilotis d'une manière suffisamment anarchique pour faire d'eux un labyrinthe de bois. Les habitations étaient des plus hétéroclites, allant des immeubles aux maisons basses, mais un point commun dominait : le matériau utilisé. Le quartier semblait composé de différentes plateformes, reliées entres-elles par des ponts de cordes et de planches, sommairement assemblées. Certaines ruelles étaient si étroites que le soleil lui-même ne s'y risquait pas, et Ren était sur d'avoir vu plus d'une fois luire la lame d'un couteau. Le groupe de révolutionnaire passa même devant les décombres d'une maison qui s'était effondrée et était à demi-immergée. Et pourtant, elle était toujours habitée... Si Ren tentait de se faire discret, ce n'était certainement pas le cas d'Annabel. Fascinée et charmée par cette ville construite juste au-dessus de la mer, elle ne cachait pas ses longs tentacules et se déplaçait dessus avec la grâce d'une danseuse. Elle riait en voyant les passants écarquiller les yeux de surprises et s'enfuir en courant à sa vue. Mais Khan, lui, était une véritable vision de cauchemar pour tout être humain. Lévitant au-dessus du sol, habillé d'une ample robe, couverts de peintures macabres, avec un crâne en guise de visage, et une couronne d'os. La mort elle-même avait élu domicile dans le quartier sur pilotis. Les deux révolutionnaires riaient sous cape, sans cesser de se pavaner.
Intérieurement l'Amant de Circé bouillonnait... Il ne supportait pas de savoir ce qui avait valu aux habitants de ces quartiers leur situation. Ils étaient tout simplement arrivé trop tard. Lorsque l'île d'Acatia s'était développé, elle avait attiré un monde incroyable de personnes. Mais l'île était petite, beaucoup trop petite. Alors, pour remédier à cela, les habitants entreprirent de construire au-dessus de l'eau, en s'aidant des larges troncs qui venaient de la forêt, mais également de bois importé grâce au commerce florissant. Au fil des siècles, les habitants de la terre ferme s'enrichirent, tandis que le quartier des pilotis ne cessa de grandir et de s'appauvrir... Ren serra le point violemment. Des milliers de gens rejetés, pour la simple et bonne raison qu'ils sont arrivés quelques années après les autres. Voilà une situation qu'il fallait changer.
C'est après deux bonnes heures de marche à travers le dédale de bois et de cordages du quartier nord que les trois Dark Clouds trouvèrent le quartier général de la révolution locale. Elle était menée par Dolf Oeil-de-Lynx, un subordonné du Loup de l'Orage, et il avait le soutien de tout le peuple de la zone. Hélas, celui-ci était complètement démunis face aux gardes royaux lourdement armés, qui avaient de plus reçu l'appui de la Marine. Le QG était en réalité la moitié d'un véritable de navire qu'on avait cloué à une large plateforme, proue vers le haut. Des hommes armés patrouillaient tout autour d'un bon pas, leurs yeux scrutant chaque recoins, chaque remous de l'eau et chaque passerelle. Ren avait hâte de travailler eux. Le sourire aux lèvres, il poussa la porte.
L'intérieur grouillait d'hommes affairés. Mais au centre trônait une table, sur laquelle était étalée une carte représentant la Cité-Etat d'Acatia. Et l'on pouvait tout de suite voir que la surface couverte par les bidonvilles étaient bien plus supérieure à la terre-ferme. On voyait également qu'il existait quatre quartiers sur pilotis, en fonction des différents points cardinaux. Le quartier général des révolutionnaires se trouvait à l'extrême nord de l'île. Avant d'avoir pu examiner la carte plus en profondeur, une main se posa sur l'épaule de Ren.
Dolf Oeil-de-Lynx : Bienvenue à Acatia mon garçon, mon nom est Dolf, je suis en charge des hommes que tu vois partout autour.
Ren : Mon nom est Ren Tsukuyomi, et voici mes amis et alliés, Annabel Li Soa et Khan Ybal. Nous sommes venus sur la demande du Loup de l'Orage afin de vous appuyer ici. J'ai appris brièvement la situation de l'île, et je n'ai de désir plus cher que celui d'aider ces pauvres gens.
Annabel : Et accessoirement écraser tous ceux qui s'opposeront au peuple !
Khan : Et étendre notre pouvoir jusqu'à la voie...
Annabel : Un conseil, n'écoutez rien de ce qui sort de sa bouche. Personne ne sait réellement à quoi il sert, mais comme j'ai insisté pour qu'il nous accompagne, Ren a cédé. Bref, on est venu pour avoir nos instructions.
Dolf sembla les étudier un court instant, tout en passant sa main distraitement dans sa barbe. Blond, ses cheveux courts étaient décoiffées, contrastant avec l'air grave qu'il affichait en permanence. Son visage brut, marqué par le temps et la douleur, évoquait un lourd passé rempli de guerre et de conflits. Une cicatrice lointaine lui barrait le visage au niveau de son orbite gauche, vide. Le révolutionnaire, qui devait bien avoir plus de quarante ans, était solidement bâti et même le plus banal de ses mouvements étaient empli d'une force tranquille. Une colère froide habillait ses yeux bleus.
Dolf Oeil-de-Lynx : Bienvenue mes frères et soeur. Si vous nous aidez à prendre cette île, nul doute que nous aurions progressé, même un tout petit peu, dans notre but. Comme vous pouvez le voir sur cette carte, les bidonvilles sont séparés en quatre quartiers. Dès le début de la guerre civile, les gardes royaux ont coupés tous les ponts qui les reliaient de sorte à les isoler et à mieux lutter contre nous. Malheureusement, leur stratégie a fonctionné et c'est pourquoi il nous est difficile de se coordonner. Il faut absolument que nous puissions unifier le quartier pilotis dans son entier ! C'est là votre mission. Les ronds dorés que vous voyez là sont des plateformes occupés uniquement par l'ennemi, à partir desquelles ils surveillent les frontières entre quartiers. Ne les sous-estimez surtout pas. Des questions ?
Ren : Sur la carte... Je vois qu'une passerelle relie la zone nord à la zone est.
Dolf Oeil-de-Lynx : Elle est inutilisable, elle est plus gardée que n'importe quel endroit à Acatia. Y aller c'est du suicide pur et simple.
Khan : Oh ça dépend pour qui...
Annabel : L'idiot marque un point. Si on est venu c'est pour débloquer la situation.
Dolf Oeil-de-Lynx : Ici c'est moi le chef de la meute, petite soeur. Alors tu obéiras à mes ordres, compris ?
Ren : Elle a compris. Bon, pourriez vous nous conduire sur une ligne de front, nous avons besoin d'un premier contact avec l'ennemi...
Dolf Oeil-de-Lynx : Suivez moi.
Intérieurement l'Amant de Circé bouillonnait... Il ne supportait pas de savoir ce qui avait valu aux habitants de ces quartiers leur situation. Ils étaient tout simplement arrivé trop tard. Lorsque l'île d'Acatia s'était développé, elle avait attiré un monde incroyable de personnes. Mais l'île était petite, beaucoup trop petite. Alors, pour remédier à cela, les habitants entreprirent de construire au-dessus de l'eau, en s'aidant des larges troncs qui venaient de la forêt, mais également de bois importé grâce au commerce florissant. Au fil des siècles, les habitants de la terre ferme s'enrichirent, tandis que le quartier des pilotis ne cessa de grandir et de s'appauvrir... Ren serra le point violemment. Des milliers de gens rejetés, pour la simple et bonne raison qu'ils sont arrivés quelques années après les autres. Voilà une situation qu'il fallait changer.
C'est après deux bonnes heures de marche à travers le dédale de bois et de cordages du quartier nord que les trois Dark Clouds trouvèrent le quartier général de la révolution locale. Elle était menée par Dolf Oeil-de-Lynx, un subordonné du Loup de l'Orage, et il avait le soutien de tout le peuple de la zone. Hélas, celui-ci était complètement démunis face aux gardes royaux lourdement armés, qui avaient de plus reçu l'appui de la Marine. Le QG était en réalité la moitié d'un véritable de navire qu'on avait cloué à une large plateforme, proue vers le haut. Des hommes armés patrouillaient tout autour d'un bon pas, leurs yeux scrutant chaque recoins, chaque remous de l'eau et chaque passerelle. Ren avait hâte de travailler eux. Le sourire aux lèvres, il poussa la porte.
L'intérieur grouillait d'hommes affairés. Mais au centre trônait une table, sur laquelle était étalée une carte représentant la Cité-Etat d'Acatia. Et l'on pouvait tout de suite voir que la surface couverte par les bidonvilles étaient bien plus supérieure à la terre-ferme. On voyait également qu'il existait quatre quartiers sur pilotis, en fonction des différents points cardinaux. Le quartier général des révolutionnaires se trouvait à l'extrême nord de l'île. Avant d'avoir pu examiner la carte plus en profondeur, une main se posa sur l'épaule de Ren.
Dolf Oeil-de-Lynx : Bienvenue à Acatia mon garçon, mon nom est Dolf, je suis en charge des hommes que tu vois partout autour.
Ren : Mon nom est Ren Tsukuyomi, et voici mes amis et alliés, Annabel Li Soa et Khan Ybal. Nous sommes venus sur la demande du Loup de l'Orage afin de vous appuyer ici. J'ai appris brièvement la situation de l'île, et je n'ai de désir plus cher que celui d'aider ces pauvres gens.
Annabel : Et accessoirement écraser tous ceux qui s'opposeront au peuple !
Khan : Et étendre notre pouvoir jusqu'à la voie...
Annabel : Un conseil, n'écoutez rien de ce qui sort de sa bouche. Personne ne sait réellement à quoi il sert, mais comme j'ai insisté pour qu'il nous accompagne, Ren a cédé. Bref, on est venu pour avoir nos instructions.
Dolf sembla les étudier un court instant, tout en passant sa main distraitement dans sa barbe. Blond, ses cheveux courts étaient décoiffées, contrastant avec l'air grave qu'il affichait en permanence. Son visage brut, marqué par le temps et la douleur, évoquait un lourd passé rempli de guerre et de conflits. Une cicatrice lointaine lui barrait le visage au niveau de son orbite gauche, vide. Le révolutionnaire, qui devait bien avoir plus de quarante ans, était solidement bâti et même le plus banal de ses mouvements étaient empli d'une force tranquille. Une colère froide habillait ses yeux bleus.
Dolf Oeil-de-Lynx : Bienvenue mes frères et soeur. Si vous nous aidez à prendre cette île, nul doute que nous aurions progressé, même un tout petit peu, dans notre but. Comme vous pouvez le voir sur cette carte, les bidonvilles sont séparés en quatre quartiers. Dès le début de la guerre civile, les gardes royaux ont coupés tous les ponts qui les reliaient de sorte à les isoler et à mieux lutter contre nous. Malheureusement, leur stratégie a fonctionné et c'est pourquoi il nous est difficile de se coordonner. Il faut absolument que nous puissions unifier le quartier pilotis dans son entier ! C'est là votre mission. Les ronds dorés que vous voyez là sont des plateformes occupés uniquement par l'ennemi, à partir desquelles ils surveillent les frontières entre quartiers. Ne les sous-estimez surtout pas. Des questions ?
Ren : Sur la carte... Je vois qu'une passerelle relie la zone nord à la zone est.
Dolf Oeil-de-Lynx : Elle est inutilisable, elle est plus gardée que n'importe quel endroit à Acatia. Y aller c'est du suicide pur et simple.
Khan : Oh ça dépend pour qui...
Annabel : L'idiot marque un point. Si on est venu c'est pour débloquer la situation.
Dolf Oeil-de-Lynx : Ici c'est moi le chef de la meute, petite soeur. Alors tu obéiras à mes ordres, compris ?
Ren : Elle a compris. Bon, pourriez vous nous conduire sur une ligne de front, nous avons besoin d'un premier contact avec l'ennemi...
Dolf Oeil-de-Lynx : Suivez moi.
- Spoiler:
Aventure annulée.
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