Une FIC dont VOUS êtes le HEROS !

C'est parti pour la A. Va falloir que je m'améliore un peu niveau choix, une quasi unanimité cette fois... En tout cas, merci de lire et de prendre le temps de voter ! Le rythme de parution commence à varier, mais je tacherais de ne jamais trop vous faire attendre... Passons à la suite !


Alors que vous voyez l'agresseur sortir un long couteau, vous prenez votre courage à deux mains et vous élancez. Vous couvrez rapidement la distance qui vous sépare de l'homme en noir mais, au moment où vous vous apprêtez à le frapper, il se retourne vivement et plante sa lame dans votre ventre. Vous êtes projetés en arrière par la puissance de l'attaque, et vous écroulez à terre à cause de la douleur. Véritable professionnel, l'assassin reporte aussitôt son attention sur sa victime originelle, mais encore une fois vous l'empêchez de porter le coup de grâce. Cette fois-ci vous parvenez à le surprendre en tirant brutalement sa jambe en arrière, le faisant chuter à son tour. Il amorce aussitôt une roulade mais vous parvenez à l'en empêcher et le plaquer au sol avant de lui asséner un premier coup de poing en pleine mâchoire. Bon sang ça fait mal de cogner quelqu'un ! Profitant de votre surprise, il parvint à dégainer une lame plus et vous la plante à plusieurs reprises au niveau de l'estomac. Le sang coule à flots et vous sentez vos forces qui vous abandonne... Mais alors le meurtrier baisse sa garde et vous en profitez pour renfermer vos mains autour de sa gorge. Il pousse un hoquet de stupeur et d'horreur, tandis qu'un sourire mauvais étire vos lèvres. Vous sentez une pulsion malsaine qui vous pousse à tuer, à lui voler sa vie... Vous vous abandonnez à ce désir malsain et lentement vous voyez le visage de l'assassin commencer à se putréfier, de larges pans de peau se détachant, rendant visible le crâne. Pire, il hurle à la mort, durant tout le processus. Il mit de longues minutes à mourir... De longues minutes pendant lesquelles vos blessures se refermèrent et une force magique pulse en vous. Vous vous relevez d'un bond, marchant délibérément sur le cadavre décomposé de votre victime et avancez vers l'homme que vous venez de sauver.
Ce dernier poussa un cri et recule vivement. Vous lui expliquez qu'il n'a rien à craindre, que vous avez fait ça pour le sauver. S'il arrête de reculer, il continue de vous dévisager avec méfiance, et surtout avec une peur viscérale. Finalement il parvint à bégayer de sanglotants remerciements, avant de vous demander ce que vous voulez en échange. Vous laissez échapper un petit rire, avant de lui demander un moyen de faire du feu, ainsi que son épaisse cape de voyage. Il semble hésiter un court instant puis son regard s'attarde sur le corps pourrissant de l'assassin. Un frisson agite son échine et il vous donne ce que vous demandiez avant de s'enfuir sans demander son reste. Une fois seule, vous vous accroupissez auprès du cadavre de votre première victime et lui dérobez ses vêtements. Vous emportez également deux dagues tranchantes, qui pendent à votre nouvelle ceinture.

De jour comme de nuit vous avancez vers l'Est, uniquement guidé par une boussole magique, et une torche allumée grâce au briquet fourni par l'homme que vous aviez sauvé quelques jours auparavant. Sa cape, chaude est confortable est particulièrement utile la nuit, bien qu'un peu encombrante en journée. Après une bonne semaine de marche intensive, le marais commence à se transformer peu à peu en forêt clairsemée. Les cours d'eaux et étangs boueux laissent la place à des bosquets touffus et larges étendues d'herbes hautes. Un peu plus loin vous voyez des collines pierreuses sortir de terre, ici et là. Après encore deux heures de marche, un village se dresse en travers de votre route. Le hameau a été bâti contre le flanc d'une haute falaise. Vous sentez que le pouvoir que vous recherchez se trouve encore après, mais votre impatience grandit chaque jour un peu plus. Alors que vous vous approchez des maisons, vous êtes surpris par le silence pesant. Pourtant c'est la fin d'après-midi, l'endroit devrait bourdonner d'activité. Vous sentez que quelque chose ne tourne pas rond. Que faites-vous ?

A - Vous traversez le village le plus rapidement possible.
B - Vous décidez de vous attarder et d'explorer un peu le hameau.
C - Vous contournez le village en grimpant la falaise qui se trouve à sa gauche.
D - Vous le contournez par la droite, qui n'est rien de plus qu'une partie de la lande.

Et c'est la B qui gagne ! Je suis nul, j'arrive pas à proposer des choix intéressant, désolé. xD
Je vais tacher de faire mieux...



Le village est comme mort. Portes et volets sont rabattus et les rues son désertes... Pour seul bruit vous entendez le vent souffler, accompagné d'un léger bourdonnement. Mais vous n'y prêtez même pas attention et vous approchez d'une maison. Lorsque vous appuyez sur la poignée elle s'ouvre en grand et vous entrez. Aussitôt une puanteur atroce vous frappe les narines et vous esquissez une grimace de dégoût. Même la potion verte laissait échapper un délicat parfum en comparaison. Vous vous commencez à fouiller un peu la maison, pour constater que tout est parfaitement en ordre, aucun signe de lutte quelconque. Vous empruntez les escaliers qui gémissent sous vos pas, et cette fois le bourdonnement se fait entendre de manière bien distincte. Il vient de derrière une porte. Ni une ni deux, vous vous engouffrez dans la chambre pour voir deux cadavres enlacés pourrir dans un lit. Des dizaines, non des centaines de mouches sont occupées à pondre leurs larves immondes dans leurs orbites et leurs plaies purulentes. Craignant que tout le village ait subi le même sort, vous vous empressez de quitter la maison et d'en explorer quelques autres. Même spectacles macabres. Des corps couverts d'insectes grouillants, à un stade assez avancé de décomposition. Vous remarquez une autre similitude troublante : les corps sont couverts de bubons noirâtres et de blessures laissant échapper un pus épais.
La population du village avait été décimé par une épidémie. Mais au vu de la position des cadavres, on aurait dit qu'ils étaient tous morts en même temps, surpris dans leur sommeil. Vous frissonnez. Finalement s'attarder dans ce hameau était loin d'être une bonne idée... Une mouche se pose sur votre main mais vous la chassez d'un geste vif. Vous pressez le pas et prenez le chemin de la sortie. Mais vous êtes particulièrement mal à l'aise. Vous avez l'impression d'être épiés de toutes part. Le bourdonnement s'intensifie, le bois craque et grince. Et alors, dans un silence de mort, vous voyez les habitants qui avancent vers vous, traînant lentement leur carcasse putréfiée. Bon sang au pire moment : vous êtes sur la place centrale et ils arrivent de toute part. Vous perdez du temps à chercher une issue et l'étau se ressert peu à peu. Ils sont au moins trente, mais probablement plus... Des femmes, des hommes. Des enfants et des vieillards aussi. Lorsque vous levez la tête, vous voyez un nuage noir. L'instant suivant vous réalisez avec horreur qu'il s'agit d'une nuée de mouches... Vous devez prendre une décision, et vite.

A - Vous vous jetez dans la mêlée dans le but de les vaincre avec vos pouvoirs.
B - Vous les laisser se rapprocher, guettant une ouverture pour prendre la fuite sans combattre.
C - Vous tailladez la masse à coup de dagues pour vous frayer un chemin vers la sortie du village.
D - Vous allumez votre torche et tentez de les effrayer avec le feu pour les faire reculer.

A vos votes ! L'histoire s'emballe, on peut dire que l'aventure commence vraiment. Attention, une succession de mauvais choix peut s'avérer mortelle...

Un nouveau lecteur
Merci pour vos votes et avis ! La suite tout de suite :



Le ciel se teinte de rouge alors que petit à petit la nuit succède à la journée. Une couleur sanglante, qui n'augure rien de bon pour cette soirée. Vous jetez un rapide coup d'oeil autour de vous, à l’affût de la moindre faille dans le groupes de morts-vivants. Le soleil embrasé disparaît peu à peu derrière vers la falaise, et une idée germe en vous. A l'aide de votre briquet, vous embrasez votre torche et vous mettez à l'agiter vivement devant un groupes de cadavres, dans l'espoir de les faire reculer. Et ça marche ! Du moins au début... Les créatures ont comme un mouvement de recul et vous vous engouffrez entre elles, profitant de leur peur. Mais alors que vous prenez la direction de la sortie du villages, les morts-vivants se remettent à avancer vers vous, et l'un a même l'audace de vous attraper le poignet. Vous vous dégagez d'un mouvement sec et lui asséner un coup de torche en plein visage. La créature pousse un cri terrible alors que les flammes dévorent sa chair tuméfiée et ses cheveux clairsemés. Le cadavre s'effondre en arrière, tombant à la renverse contre ses congénères. Leurs corps déshydratés et putréfiés sont facilement inflammables, et rapidement c'est un véritable incendie qui gagne la masse grouillante. Vous voyez des corps brûler au sol, d'autres pousser de grands cris en se frappant les uns les autres. Vous profitez de cette aubaine pour courir vers l'autre bout du village, malgré la chaleur de plus en plus forte. Les flammes ont atteint le bois sec des maisons, transformant le hameau en une fournaise infernale. Et les cadavres des pestiférés laissent échapper une fumée verdâtre nauséabonde... Une fois de plus, vous êtes heureux d'être mort vous aussi.
Mais alors que vous voyez des silhouettes enflammées tout autour de vous, vous réalisez que  le feu n'était peut-être pas une bonne idée. Après quelques instants de panique, les morts vivants s'étaient tous arrêtés de conserve, vous fixant de leurs yeux verts. Une lueur malsaine dansait dans leurs orbites, une lueur presque intelligente. Un frisson parcourt votre échine. Bien qu'enflammés, les cadavres sont subitement devenus plus calmes, et se remettent à avancer vers vous. Ils sont lents, mais moins qu'avant... Certains tombent pour ne plus se relever, leurs corps consumés par le feu. Mais le plus terrifiant, est qu'ils sont devenus plus ordonnés. Comme si... quelqu'un ou quelque chose les contrôlait. Pendant votre course, vous jetez un coup d'oeil au ciel, et constatez avec effroi que les mouches s'étaient bien à bourdonner bien plus fort et que leur essaim formait un étrange symbole. Une rune noire et grouillante qui se découpait contre le ciel écarlate. Il ne vous reste qu'une vingtaine de mètres à parcourir pour quitter le village et déboucher dans la lande... La lueur du couchant vous indique un terrain plat sur des kilomètres à la ronde, avec quelques bosquets et massifs pierreux ici et là... Vous serez à découvert là-bas. Vous tournez la tête à gauche et voyez, au bout d'une rue, un trou noire encastrée dans la falaise. Une mine ? Un nombre assez important de monstres vous barrent la route, mais rien d'insurmontable : la plupart sont dans votre dos. Vous réfléchissez aussi vite que possible. La chaleur s'intensifie, les monstres se rapprochent ! Que faites vous ?

A - Vous campez sur vos positions et affrontez la horde de morts-vivants qui arrive, en comptant sur le feu pour vous aider à les anéantir.
B - Vous courrez vers la lande en évitant les quelques zombies qui se trouvent en travers de votre route.
C - Vous escaladez la falaise pour lancer des pierres vers l'essaim de mouche qui vole au-dessus du village.
D - Vous prenez la direction de la mine, pour trouver un passage souterrain ou au moins une cachette.